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Freiner l’innovation?

Il y a un moment que je dis le contraire. Nous devons innover et utiliser nos ressources. Si nous ne le faisons pas nous même , d’autres le feront pour nous.

C’est pourquoi il est clair que l’attitude complexe au regard de l’innovation du ministre du redressement productif laisse particulièrement perplexe, et dubitatif.

http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-etat-ne-peut-heureusement-pas-reguler-innovation-leweb-13-arnaud-montebourg-erwan-noan-930970.html

« elle n’en révèle pas moins les difficultés de l’Etat à accepter les bouleversements de l’économie de marché en général et de l’écosystème numérique en particulier ».

Pourtant nous ne pouvons pas, nous ne devons pas freiner l’innovation, la créativité, la prise de risques.

Nous ne pouvons pas refuser le progrès, au prétexte qu’il tuera l’emploi.

Car c’est déjà fait. Si nous continuons à le refuser, nous finirons par devenir des dindons, se pavanant sur les ruines de l’industrialisation du 20eme siècle.

Et en ce cas les pays émergent nous écraserons. Sans état d’âme aucun.

Nous avons des atouts, des créateurs, scientifiques ou découvreurs, des talents, et de l’imagination.

Mais de plus nous avons une nation, complète, avec un appareil bureaucratique peut être excédentaire selon certain, mais avec des milliers de fonctionnaires à même de permettre la promotion d’un véritable plan national de création de richesses, intellectuelles, œuvres de l’esprit, avant leur production à haut niveau d’exigence, grâce à un appareil productif encore en place pour le moment.

Pourquoi, par exemple devrions nous laisser les japonais avec cette avance dans la robotique? Ou google et sa position dominante sur l’internet mondial ? Ou Apple et ibm et leurs ordinateurs ?

Mais surtout, nous avons des centaines de chercheurs d’excellence, et d’autres en train de se former, qui, si on leur en donnait les moyens, pourraient redonner à la France son image mondiale si méritée du siècle des lumières.

Mais c’est l’affaire de tous. Et d’abord de personnes au courant de ce qui se passe aujourd’hui, formées, empiriquement, puisqu’il n’existe pas de formation toute faire à ce niveau, sur ce qu’est aujourd’hui le capitalisme moderne, les arcanes du libre échange et du commerce mondial, et surtout des réseaux et d’un internet totalement interconnecté, sans doute plus que nous ne le souhaiterions, mais c’est bien la réalité,.

Nous sommes loin des espoirs de régulation d’un ministre qui ne maîtrise sans doute pas son sujet ? Ou ne comprend pas les enjeux actuels ?

La politique c’est bien, mais le bon sens pratique est fortement nécessaire aujourd’hui.

Pour gagner.

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Une solution à la crise ? Le développement durable ? Une utopie oui !

La crise peut changer nos modes de vie apprend je à la lecture de cet article :

http://www.francesoir.fr/actualite/scienceecologie/developpement-durable-la-crise-peut-changer-nos-modes-de-vie-204835.html

 

Et ce, par un changement des modes de consommation.

Mais a qui veut on faire croire cette vaste galéjade ? Qui pourtant fonctionne vraiment si l’on s’en tient à la progression marquée des écologistes, à l’acceptation forcée du tri sélectif, et au développement de moyens empiriques comme le co-voiturage pour des économies de combustible fossile (le pétrole et le charbon).

D’ou la progression des tenants du concept de la

http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9croissance_(%C3%A9conomie)

décroissance.

Il y a un moment que je me pose une question simple : les ressources sont limitées. En tout cas c’est ce qui est dit actuellement. Et la terre est en tout cas un espace clos et fini.

La population mondiale croit actuellement exponentiellement. Et aura besoin mathématiquement de toujours plus de ressources, même si celles ci sont encore plus économisées et rationnées pour chacun d’entre nous.

Sauf à trouver de nouvelles ressources sur d’autres cieux (d’autres astres) nous ne pourrons continuer à vivre indéfiniment sans un contrôle strict des naissances. ( ce faisant que l’on ne me fasse pas dire ce que je ne dis pas : l’homme souffre trop de ne pouvoir se reproduire; il m’est impossible d’envisager l’éventualité de ce contrôle sans me remémorer les précédents historiques, en particulier la Chine; et un contrôle strict n’empêchera pas la destruction des dernières ressources. Ou l’on retrouve « Soleil vert » http://fr.wikipedia.org/wiki/Soleil_vert_(film)).

Ou bien une catastrophe d’ampleur mondiale (c’est bien, parti avec le nucléaire et les bombes atomiques) permettra de remettre les compteurs à zéro et à la terre de se ressourcer. Sinon, elle disparaîtra sous la main de l’homme qui la détruira pour s’approprier ses dernières richesses consommables.

 

Ce n’est pas en économisant quelques barils de pétrole, ou en nous obligeant à nous éclaire avec des lampes à économies d’énergie (discutables d’ailleurs au niveau de notre santé mais c’est un autre débat) que nous arriverons à inverses la tendance lourde de destruction de notre environnement de vie.

L’homme, par cupidité et par ignorance, a déclaré la guerre à notre planète, pour s’en approprier les organes vitaux. Il n’est que de voir l’appauvrissement de l’eau potable du fait de la pollution.

Les dernières ressources naturelles (l’océan et les pôles) vont bientôt disparaître, ou devenir des déserts dévastés.

Il est urgent de réagir, mais pour de bon. Oe temps des mesurettes est derrière nous.

Ou nous décidons de prendre la question à bras le corps, ou nous allons mourir.

Peut être que son dernier enfant disparu, enfin la Terre pourra t’elle panser ses plaies ?