Une silicon valley dans chaque région ou département !

http://www.bfmtv.com/economie/luniversite-vraie-cle-competitivite-374422.html

 

Comme je l disais dans mon précédent article, toutes nos ressources devraient être consacrées à l’exhalation des talents de nos concitoyens, la recherche, et la mise en pratique des découvertes issues de ce melting pot  humain tourné vers la science.

 

Si ce campus va dans le bon sens, celui de l’agrégation de l’université et des entreprises, il est cependant trop timide.

La France, aujourd’hui, et malgré la crise, devrait déjà avoir relié son territoire afin que tout un chacun puisse participer à ce nouvel effort de compétitivité, Le territoire devrait être complètement en réseau, imbriqué dans un but commun : la puissance et la gloire de nos recherches et leur mise en pratique.

 

Sinon, d’autres s’en chargeront.

Sans compter que nous avons bien des défis à relever, et que nous devrons consacrer une forte proportion de ces ressources à de l’imaginaire, de la prospective afin de parer à diverses possibilités risquées pour notre pays.

Et consacrer une autre partie à planifier la France de demain, savoir ce que nous voulons pour nous et nos descendants.

 

 

Les malades, les personnes agées ont besoin de la technologie

Dans le cadre du développement de l’économie, et de la création de nouvelles technologies accessibles à tous et toutes, je reviens sur le plan cable pour tous qui aurait du voir le jour il y a quelques années.

Dans les années 70, un effort sans précédent fut acté pour la mise en place de points d’accès individuels au téléphone. En quelques années gràce à une entreprise publique et ces hommes, tout un chacn put être relié au téléphone, et joindre le monde entier sans sortir de chez lui.

La mise en route du téléphone cellulaire, son succès prodigieux que personne ne prévoyait, et les tenants de l’économie de marché ont mis à mal l’un des fleurons du minitère ancien des p et t, devenu aujourd’hui France Telecom et quasiment sorti du giron de l’Etat.

Pourtant, nous aurions bien besoin aujourd’hui et très rapidement d’un nouveau plan de cablage de l’hexagone, mais cette fois dédié aux nouvelles technologies de communications.

Ce nouveau challenge que je propose est motivé par plusieurs raisons :

  • Economiques : créateur d’emploi et de richesses : les résultats du téléphone ont démontrés l’intérêt de cette démarche, et créteur d’emplois hautement qualifiés.
  • sociales: création de richesse, d’emploi, mise en relation facilitée de divers intervenants économiques, ou des particuliers facilitée. Une demande m’a été faire récemment : pouvoir faire des exercices physiques simples en étant chez soi, mais en les faisant à plusieurs…., l’essor des sites sociaux n’étant plus à démontrer
  • psychologique : des offres commerciales adaptées permmettaient la mise en relation permanente de visu (par caméra et grands écrans) des personnes en difficultés, permettant aux personnes agées de conserver des contacts humains tout en restant chez elles, à des malades d’avoir des contacts et des conseils, à des enfants de pouvoir être surveillés…
  • Ecologique : de nouveaux métiers pourraient apparaitre via ces technologies, limitant certains déplacements non essentiels telles des consultations médicales, des prises cde commandes
  • durables : la limitation des déplacements permettrait de vraies économies, et sortirait le télé travail de son ornière.
  • Economique : dans nos campagnes difficilement accesibles, cela permettrait une limitation des déplacements.
  • scientifique : création de nouvelles technologies à vendre ensuite au monde entier
  • éducatives : il est urgent de revoir le système éducatif français : les balbutiantes hésitations et les essais de l’enseignement à distance sont à revoir dans leur totalité; gageons que l’épidémie grippale entrainera un salautaire essor des nouvelles technologies.

Que de chemin parcouru depuis le vhs et les premiers caméscopes accessibles au grand public, et les cours magistraux sur cassettes, mais que de chemin encore à parcourir, et que de promesses nouvelles à tenir…

Le Numérique au service de la solidarité conférence le 10 septembre 2009 en présence de Martin Hirsch, Haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté, Haut commissaire à la jeunesse
– Nathalie Kosciusko-Morizet, Secrétaire d’Etat chargée de la Prospective et du Développement de l’économie numérique (sous réserve)

les billets américains couverts de drogue

Les billets américains sont couverts de drogue.

Cette étude est interessante à plusieurs niveaux.

En effet elle prouve de façon certaine la progression de la tendance à la prise de stupéfiants dans le mileu américain, sans cependant permettre d’en connaitre les raisons, or la raison principalement évoquée de difficultés sociales, car correpsondant à la crise économique.

Elle démontre, n’en déplaise aux empêcheurs de tourner en rond et à ceux qui estiment que les études ne sont pas fiables ou se contredisent, les nouvelles possibilités offertes par la science, ici la chimie, pour décrire des comportements sociaux collectifs, sans pour cela devoir enquêter sur le terrain.

Ellene propose pas de solutions, mais permet d’affiner certaines hypothèses sur des populations données.

Le 20 ème siècle avait été le siècle des sciences. Gageons que cela n’est pas terminé, et que nous serons encore émerveillés dans les années à venir.

La science est l’avenir de l’homme, l’étude permettra de prévoir le comportement humain, la formation servira à modifier pour le meilleur celui ci.

Prospérité demain; sur quelles fondations ?

La prospérité de demain est sur les rails : les moyens mis en place par le gouvernement français, accompagné par ses alliés européens permet de prévoir un nouveau monde prospère, actif et dynamique, dont nous n’aurons pas à rougir quand nous le présenterons aux générations futures.

Est ce bien sur ? C’est en tout cas le discours tenu par

François Fillon qui appelle à « bâtir les fondations de la prospérité de demain » sur son blog.

Et de vanter la qualité du travail professionnel des salariés, la grandeur du capitalisme paternaliste, et la motivation de tous et de tout un chacun.

Pour cela :

« Notre pays doit répondre aux questions que la crise rend plus pressantes que jamais.
Quel pays voulons-nous laisser à nos enfants ?
Quels secteurs feront demain la prospérité de notre économie ?
Quelle solidarité voulons-nous entre les générations ?
Quelles conséquences nos choix actuels entraînent-ils pour les générations futures ?
Quelles contraintes sommes-nous prêts à consentir pour préserver notre environnement ?
Il faut – c’est notre responsabilité – maintenant identifier les priorités stratégiques des vingt prochaines années. »

« Il faut que nous soyons aussi capables de progresser dans la formation, dans la recherche, dans l’innovation, si nous voulons tenir notre rang dans la compétition mondiale. »

Et cela passe par les pôles de compétitivité, mais des pôles méritants et prometteurs; donc une recherche sériée et non tous azimuts, grâce à une culture qui récompenserait le mérite.

Et voila comment d’une politique ambitieuse, déjà développée sur ce blog on amerrit rapidement vers une politique de développement parcimonieuse, élitiste, centrée sur quelques idées politiques et sociales attirantes pour certains, mais sans aucune planification réelle, sans aucune ouverture d’esprit, et sans aucune réalisation concrète.

Le clou est enfoncé, profondément :

« Il faut que la mise en oeuvre des priorités des années à venir se décline à travers la politique des pôles de compétitivité, ce qui nécessite naturellement que ne soient aidés que les pôles de compétitivité qui le méritent. Il faut que notre pays s’habitue à cette culture de la compétition, de l’évaluation et rompe avec cet égalitarisme qui conduit à aider tout le monde, au motif que, naturellement, tous les territoires ont besoin du soutien public, mais qui conduit à gaspiller des moyens publics qui seraient si nécessaires pour permettre d’alimenter la croissance de l’économie nationale. »

Cela augure mal, très mal, de la réussite….

Mais quel va donc être ce nouvel avenir que l’on nous promet, sinon un avenir de compétition extrême, ou chacun devra se battre pour gagner son bifteck (cela fait un moment que je n’ai pu m’en offrir, d’ailleurs!), et éliminer toute trace de sociabilité, d’échange, d’amitié, de relation, de complaisance ou de partage.

Ce n’est pas la solution; ce n’est pas ce choix qui devrait être la norme.

« En réalité, la crise consacre l’essoufflement de tout un modèle de production et elle nous met au défi d’inventer de nouveaux rapports sociaux et de nouveaux systèmes de production. Dans les deux cas, il s’agit de remettre l’homme au centre de l’activité économique. »

C’est tellement évident et logique. Et pourtant actuellement, on essaie depuis 1973 d’enlever l’homme de l’outil de production en le remplaçant par des machines.

  • On veut soutenir l’emploi des jeunes, mais il n’y a pas de travail.
  • On veut redonner du travail aux aînés, mais ou en trouver ?

Pour cela est lancé le modèle vert, déjà mis au goût du jour par le Grenelle de l’environnement. C’est la nouvelle panacée, le nouvel Eldorado, la vache sacrée du futur développement de notre pays.

C’est vrai que les autres, « nos partenaires », vont nous laisser faire sans aucun problème, nous regarder en attendant.

Et puis quoi encore ? Pourquoi nous leurrer ? Nous sommes en train de préparer les mêmes erreurs que lors de la « bulle internet », qui n’est pourtant pas si lointaine, et dont les dégâts ne sont pas terminés.

Il n’y aura pas de place pour tout le monde; à nous de prendre le taureau par les cornes, et de nous lancer dans l’aventure. Mais pour cela il faut des biscuits. La recherche et le développement dans ces domaines ou celui de la santé (autre corne d’abondance qui en fait saliver d’envie beaucoup) impose de poser sur la table des sommes colossales, des investissements énormes, dont le retour n’est absolument pas assuré.

Nous avons des défis à relever; et celui de la recherche est le principal.

« Cette crise, elle nous défie collectivement. Nous avons le devoir de l’affronter en restant unis.  Nous avons le devoir de résister à la fatalité. Nous devons avoir la volonté aussi de nous battre ensemble pour offrir à nos enfants un monde meilleur.« 

Quel monde meilleur ? Un monde ou chacun devra assurer seul son avenir, sans solidarité, sans accompagnement, sans aide, comme avant la première guerre mondiale ?

Le meilleur des mondes ? Avec obligation de se reformer, tout au long de la vie ?

Le meilleur des mondes, avec l’obligation de se déplacer ? (ce qui est une hérésire écologique, économique, sociale).

Le meilleur des mondes ou seuls les riches pourront vivre, manger et se soigner ? le capitalisme paternaliste dans toute sa splendeur ?

Le meilleur des mondes, il est déja la, dans ses foules lobotomisées par la télévision, la mal bouffe américaine, et l’ingérence de l’Etat dans les nouveaux moyens de communication.

Il y a des solutions, déja développées dans ce blog, dont certaines semblent avoir été reprises en partie d’ailleurs…

Pourtant, on reprend les erreurs du passé, on fiance sans trop savoir quoi (en trois mois seulement) un projet à moyen -long terme, qui du temps du plan aurait mis cinq années de gestation au moins.

Les erreurs du passé sont pourtant formatrices. Les moyens à mettre en eouvre, les systèmes qui marchent existent. Le modèle américain a permis le financement de l’actuel World Wide Web, gràce à une politique des pouvoirs publics américains croyant dans la recherche.

Si les pôles de compétitivité sont une bonne chose, encore faut il permettre à tous les chercheurs, tous les gens qui cherchent, créent, inventent, lancent des idées, des concepts de pouvoir :

  1. de pouvoir apporter leurs idées
  2. participer à leur mise en application
  3. assurer leur qualité de vie

Il est irréalisable et surtout inconcevable de tout miser sur un ou deux projets phares de la recherche comme la voiture électrique eou les énergies vertes.

Evidemment, ces deux projets sont importants. Evidemment, ils peuvent rapporter de l’argent, et nourrir notre économie.

Encore qu’à ce sujet il serait opportun de mieux comprendre les tenants et aboutissants de certains carburants verts, dont on ne sait trop leur utilité (sinon gaspiller de l’eau et des terres agricoles), ou leur réelle capacité à économiser le pétrole.

« Le Centre d’analyse stratégique imagine la société numérique de 2025« 

« En 2025, les Français, lassés de l’insécurité régnant sur Internet, bouderont le réseau. A moins que, mus par une culture éco-citoyenne s’appuyant sur les TIC, ils embrassent largement la sphère du numérique et en font une part essentielle de la croissance. »

C’est ce qui ressort d’un rapport consultable ici qui propose 6 leviers d’actions sur lesquels le gouvernement devrait s’appuyer, sans forcément les reprendre tous à son compte.

« L’avenir n’étant que le fruit de politiques publiques et d’efforts de gouvernance, c’est sur ces deux voies que doivent s’orienter les pouvoirs publics pour tendre vers le scenario le plus optimiste élaboré par le Centre d’analyse stratégique. »

C’est cela qui doit être fait. Tout en donnant les coudées franches à une politique de recherche ambitieuse, non centrée sur quelques points décidés en haut lieu, mais sur une recherche fondamentale remise au gout du jour.

Tristement célèbre, comment fut créée la bombe atomique? Ou la navette spatiale?

Intervenants de tous bords, multiples sociétés, et hommes décidés et ambitieux.

Notre pays a développé une politique aéronautique que le monde entier nousenvie. l’échec commercial du concorde n’en est pas moins pour l’époque une prouesse technologique extraordianire.

Cela a été rendu possible, en son temps, dans un monde ou personne, sauf quelques visionnaires, ne pouvait imaginer voir un plus lourd que l’air voler.

Cela a été rendu possible par des hommes courageux, fiers, aventuriers, ambitieux, visionnaires, rêveurs et croyant à leur idées; Certains se sont écrasés au sol, ruinés, défaits ou morts. D’autres ont vu leur mérites récompensées.

Si l’on avait suivi Pierre et Marie Curie, aujourd’hui leur bourse de recherche ne serait pas renouvelée. Que n’aurions nous pas perdu !!!

Donnons nous les moyens, attirons les rêveurs, les imaginatifs, les chercheurs de tous poils.

De cela sortira un pays grandiose, un nouveau siècle des lumières, un pays dont nos enfants pourront être fiers…

Je suggère de plus plusieurs axes de recherche urgents :

  1. les déchets radioactifs : assurer leur traitement et leur éliminiation définitive
  2. la pollution
  3. l’eau
  4. le remplacement du pétrole
  5. la recherche médicale


Ou mes idées ne passent pas inaperçues…

J’ai l’impression, soit d’être dans l’air du temps, soit d’avoir des idées approuvées par le gouvernement.

 

En tout cas, on en reprend certaines.

 

Bon, je plaisante, mais c’est cependant ressemblant à certaines de mes théories!!!

 

Il est cependant dommage, et contre productif, par un louable soucis d’économie, et avec l’esprit de la lettre de ne pas dépenser en vain l’argent public, de prévoir des pôles de compétitivité productifs.

 

Ce qui est incohérent avec une optique de recherche tous azimuts, sur tous les tableaux.

 

Compétitivité, oui, contrôle à postériori, certainement, mais limiter la recherche à quatre domaines exclusifs pour les prochaines années, c’est faire des coupe sombres dans la recherche, qui va permettre à d’autres de tirer les marrons du feu, sans que d’ailleurs les pôles retenus soient forcément productifs. Car être compétitif, c’est bien, produire pour créér et valoriser ce serait beaucoup mieux….

Il ne suffit pas d’avoir des idées, encore faut il les concrétiser !

Les idées, c’est bien. Mais si la France à des idées disait on après le premier choc pétrolier,

"En France, le pouvoir politique ne fait a priori aucune confiance à la société civile". Ce constat, dressé par Martine Royo et Stephen Bouche

Des idées, j’ai commencé à les formuler sur ce blog.

J’estime avoir un devoir d’alerte, comme tout citoyen responsable, quant à la santé de l’économie, à la préservation de l’Etat (de droit), ou à la pertinence des politiques sociales.

C’est à la fois mon devoir et un droit, celui conféré par le fait d’avoir voté.

Que j’ai voté pour l’un ou l’autre candidat importe peu, que je sois en accord avec lui n’est pas obligatoire.

J’ai le droit de donner mon avis sur tous les aspects de la société. Car n’oublions pas que ce sont les urnes qui sanctionnent ou sanctifient.

 

Or je m’aperçois que mes précédents billets ont été entendus, ou, au minimum, ont été plébiscités, ou, au maximum, sont le reflet d’un courant de pensée qui serait dans l’air.

J’en veux pour preuve cette consultation sur l’internet du futur.

Si cette action est la reprise de mes réflexions et à au moins le mérité de prouver une fois de temps que les idées ne sont pas une science infuse  et qu’il vaut peut être mieux demander aux acteurs économiques leur avis, son adéquation par sa forme aux besoins actuels économiques est loin d’être satisfaisante.

Nous n’avons pas le temps d’attendre plusieurs mois pour mettre en œuvre de nouveaux schémas ou concepts. c’est aujourd’hui qu’il nous faut agir, et réagir.

Enfin espérons en outre qu’il ne s’agira pas d’un moyen de mettre les vrais problèmes aux oubliettes d’un Grenelle qui n’aurait pas de nom, mais seulement l’allure.

 

Dernier point : il est un peu illusoire de vouloir faire participer à ce genre de projet, sans contrepartie, les acteurs concernés en ayant le culot de leur demander leurs moyens humains et financiers

Enfin, ce n’est pas 60 personnes qui seront suffisantes, mais les ressources totales, augmentées de manière exponentielle, du Cnrs et des universités. Tous les moyens doivent être mis en œuvre, à n’importe quel prix. Un investissement pour rapporter, coute…

 

Au moment même ou j’écrivais ce billet je recevais cet article du monde publié ce jour à 15h 01 : je maintiens qu’il nous faut être des conquérants, et non plus des suiveurs.

Nous en avons encore les moyens…Mais plus pour longtemps….

Il ne suffit pas d’avoir des idées, encore faut il les concrétiser !

Les idées, c’est bien. Mais si la France à des idées disait on après le premier choc pétrolier,

"En France, le pouvoir politique ne fait a priori aucune confiance à la société civile". Ce constat, dressé par Martine Royo et Stephen Bouche

Des idées, j’ai commencé à les formuler sur ce blog.

J’estime avoir un devoir d’alerte, comme tout citoyen responsable, quant à la santé de l’économie, à la préservation de l’Etat (de droit), ou à la pertinence des politiques sociales.

C’est à la fois mon devoir et un droit, celui conféré par le fait d’avoir voté.

Que j’ai voté pour l’un ou l’autre candidat importe peu, que je sois en accord avec lui n’est pas obligatoire.

J’ai le droit de donner mon avis sur tous les aspects de la société. Car n’oublions pas que ce sont les urnes qui sanctionnent ou sanctifient.

 

Or je m’aperçois que mes précédents billets ont été entendus, ou, au minimum, ont été plébiscités, ou, au maximum, sont le reflet d’un courant de pensée qui serait dans l’air.

J’en veux pour preuve cette consultation sur l’internet du futur.

Si cette action est la reprise de mes réflexions et à au moins le mérité de prouver une fois de temps que les idées ne sont pas une science infuse  et qu’il vaut peut être mieux demander aux acteurs économiques leur avis, son adéquation par sa forme aux besoins actuels économiques est loin d’être satisfaisante.

Nous n’avons pas le temps d’attendre plusieurs mois pour mettre en œuvre de nouveaux schémas ou concepts. c’est aujourd’hui qu’il nous faut agir, et réagir.

Enfin espérons en outre qu’il ne s’agira pas d’un moyen de mettre les vrais problèmes aux oubliettes d’un Grenelle qui n’aurait pas de nom, mais seulement l’allure.

 

Dernier point : il est un peu illusoire de vouloir faire participer à ce genre de projet, sans contrepartie, les acteurs concernés en ayant le culot de leur demander leurs moyens humains et financiers

Enfin, ce n’est pas 60 personnes qui seront suffisantes, mais les ressources totales, augmentées de manière exponentielle, du Cnrs et des universités. Tous les moyens doivent être mis en œuvre, à n’importe quel prix. Un investissement pour rapporter, coute…

 

Au moment même ou j’écrivais ce billet je recevais cet article du monde publié ce jour à 15h 01 : je maintiens qu’il nous faut être des conquérants, et non plus des suiveurs.

Nous en avons encore les moyens…Mais plus pour longtemps….

Lettre ouverte à Monsieur le président de la république…

Monsieur le président,

Il nous faut mettre enfin Les moyens.

Et les moyens se trouvent non pas dans la technologie, mais, comme vous le dites depuis un certain temps, dans l’esprit d’initiative et d’entreprendre des français, et dans leurs idées.

Il est temps de donner les moyens à cette combativité, à ces idées de faire gagner la France.

Cela impose une mobilisation, un ou des plans ambitieux.

Cela impose une volonté politique, et les moyens.

Cela impose aussi un consensus, loin des guerres intestines; et surtout cela impose de modifier la façon de penser de beaucoup.

Je propose que soit donné ses chances à chacun, et pas seulement une chance ou sa chance.

Cela imposera un encadrement, nécessaire et utile, afin de pouvoir vérifier l’efficacité de ces plans. Même si dans l’absolu, celui ci devrait être supprimé par la suite.

Nous avons suffisamment de chercheurs, scientifiques, historiens, mathématiciens, visionnaires, artistes, créateurs, gestionnaires, financiers, traders, et nous avons tous les autres pour les supporter.

 

Que faut il à la France ? Une IDEE, des idées. Des processus créateurs de richesse. Donc des concepteurs, et des fabricants; enfin des commerciaux.

L’idée principale serait de donner sa chance à tout un chacun, et à tous ceux qui le voudront.

Des campus de recherche seront créés, pour lesquels seront mis à contributions tous ceux qui voudront participer, intellectuellement dans leur création, élaboration, et techniquement dans leur conception, avec dans l’esprit la mise en application de tout ce qu’il peut y avoir de mieux au niveau techniques architecturales, économies d’énergies, économies; puis organisation et gestion des possibilités de recherche créatives au sein de ces entités, puits de création et d’échange tous azimuts.

Ces campus seraient à disposition pour toute personne souhaitant élaborer un concept, avec mise à disposition de ressources matérielles conséquentes (en moyens techniques ou humains).

Les premiers demandeurs pourraient être évalués sans à priori sur la base des connaissances actuellement en vigueur par des jurys ou bien, pourquoi pas, par des panels d’internautes.

Les projets retenus devraient avoir dans un premier temps une utilité pour le pays. Dans un second temps pourrait être envisagées des recherches plus expérimentales.

Ces concepts implique une volonté réelle car demande des moyens : ces nouveaux campus devront être construits sur de nouveaux terrains, et impliqueront de nouvelles infrastructures : routes, trains, terrains de sport, immeubles de logement, restaurants, services etc….

Même si ne seraient conviés que des volontaires, cela demande des moyens conséquents.

Mais si c’est un pari sur l’avenir, c’est aussi une formidable opportunité de créer, d’élaborer et de construite de nouveaux mondes réels à venir; ceux ci devraient être créateurs à moyen terme de richesses pour tous.

Il existe plusieurs possibilités de récompenser ces futurs créateurs, sans que ce soit forcément un cout supplémentaire exorbitant.

 

 

Mais ce n’est pas la seule proposition que je ferais….

Publicité gratuite

Je regardais aujourd’hui encore le site, techniquement parlant à la pointe de ce qui se fait de mieux actuellement sur le web,  et artistiquement superbe, bien pensé et magnifiquement dessiné.

 

Je ne peux résister au plaisir de faire partager ma découverte de ces deux jeunes scientifiques entrepreneurs, sur Hélys.fr

 

« En vous proposant une image de votre ADN, HELYS vous offre une représentation du mystère de votre Vie : ce que vous êtes et ce que vous allez devenir; ce que vous avez reçu et ce que vous avez ou allez donner ».

 

Ils ont eu l’ idée de transformer votre adn en oeuvre d’ art.

Les photos du site sont superbes et permettent de donner une idée de l’ oeuvre achevée.

C’ est enfin la démocratisation de la science pour le  simple citoyen.

Leur oeuvre, superbe, mérite d’ être vue, et offerte en cadeau.

 

Cette publicité gratuite et sans contrepartie n’ engage que moi même; en aucun cas les créateurs d’hélys ne sont intervenus dans ce communiqué.

Mais leur créativité, leur sérieux, leurs compétences sont le ciment de la nouvelle politique que doit prendre en compte le politique pour sortir le pays de sa morosité dans la crise.

Des entrepreneurs de cet acabit, il y en a ; beaucoup; encore faut il peut être les pousser légèrement, les aider, sans les assister.

Pourquoi pas un tableau ADN de nos présidents au Louvre ou à L’Elysée?