Le siècle des lumières fut…

Contemplant de ma fenêtre placée devant mon maintenant vieillot notebook la nuit zébrée d’éclairs grandioses de cette soirée bien arrosée (non pas par la dive coupe de champagne que les vendanges tardives sparnaciennes auraient pu m’inciter à déguster), mais simplement par la pluie tombant à grosses gouttes,  le noir de cette soirée m’incite à réfléchir en parallèle à notre destinée, et évoquer le siècle des lumières qui ouvrit en partie l’horizon de l’humanité.

Qu’en reste t-il aujourd’hui de ces fabuleux moments qui ouvrit la porte d’un avenir glorieux aux hommes curieux et ouverts d’esprit ?

Un héritage fastueux, mais un héritage bien mal en point et figé dans sa strate de temps.

Tout ce qui a pu faire de ce siècle un passionnant défi d’idées à relever, de découvertes, d’aventures, d’avancées scientifiques, humaines est mort aujourd’hui.

Il y eut bien sur les guerres qui suivirent (1870, 1914, 1939), l’holocauste, la fin de la guerre avec Hiroshima.

Il y eut ensuite d’autres guérillas, d’autres massacres, d’autres tyrannies, les juntes au pouvoir, la main mise de l’Amérique sur le monde et ses ressources.

Mais surtout il y eut après un vacillant effort d’éducation sans précédent de l’ensemble des futures masses populaires, un renouveau du diktat des élites, une flambée de l’obscurantisme et de la régression des idées, avec en point d’orgue le débat sur l’évolution aux Etats Unis, confortant de ce fait intégrisme et repli sur soi.

Aujourd’hui, ce soir, je me dis que nous sommes devenus petits, apeurés, enfants vieillissants comptables des destinées humaines, aux mentalités noircies par la haine facile et l’aveuglement facilité par le manque de discernement, la pauvreté du champ des idées, ou la parole ne doit pas s’éloigner de la ligne, et ou aller vers l’autre est synonyme  de trahison, ou simplement avoir une idée serait le commencement de la déviance.

Nous sommes petits, très petits, quand nous avons peur d’agir, peur d’aider son prochain, peur simplement d’essayer de comprendre, coocoonés dans nos cellules aseptisées que sont devenus nos logis, le cerveau lobotomisé à la musique formatée et hygiénique, et la relation platonique imagée élevée au summum de l’amitié virile.

Nous n’avons pas le droit de nous laisser faire ainsi. Nous avons un devoir , une obligation primordiale. Vivre. Mais vivre en agissant.

Nous sommes actuellement, chacun d’entre nous, dans un cocon lénifiant, apaisant, drogués à la lucarne de l’information pléthorique, trop rapide et trop monstrueuse pour laisser une simple trace de son passage dans nos cervelles abruties par le programme actuel  de sape de notre société, de nos valeurs, de notre humanité.

Par pitié, détrompez moi.

 

(je sais bien qu’il existe quelques poches de résistance, et quelques idées encore éparses, mais combien encore d’originales et non recrachées de Wikipédia ou du Jt?)

 

 

 

Un futur possible

http://www.01net.com/editorial/545386/microsoft-montre-sa-vision-du-futur-en-video/

Un futur imaginé par Microsoft. La vision du futur de la productivité, au lendemain de la naissance du sept milliardième humain, laisse un peu dubitatif.

Si les effets de transition sont saisissants et bluffant, ces technologies s’adressent de toute évidence à une seule classe de population, particulièrement aisée.

Au lieu d’offrir un mieux être, une meilleure qualité de vie pour tout un chacun, ces technologies visent une seule  frange de la population susceptible de rapporter des bénéfices supplémentaires à Microsoft.

C’est dommage, car ces nouveaux concepts sont prometteurs.

Mais ils sont loin d’apporter une amélioration à la vie de nos concitoyens.

Dans un second temps,  si ces concepts sont remarquables et leur future mise sur le marché sera, n’en doutons pas un vrai succès, ils sont porteurs d’un environnement ou le stimulus est roi, et ou nos cerveaux, nos corps auront du mal, au long des années passant, à s’habituer à ne plus jamais être au repos.

 

Je ne suis pas certain, et pourtant j’ai toujours été un fervent des nouvelles technologies, que ce soit vraiment l’idéal pour apaiser l’humanité.

Quant au président de la République, qui se veut aujourd’hui le meilleur connaisseur du numérique et se rend compte que la France ne pet passer à côté des possibilités offertes par ces NTIC, je lui conseille humblement de ne pas trop loucher sur le voisin, mais de vraiment mettre en place une technologie, un ensemble cohérent qui en fasse plus appel aux technologies étrangères.

 

Il n’est pas concevable qu’avec l’ensemble des organismes et organisations tels le Cnrs, les universités et les technopoles que compte la France, nous soyons aujourd’hui incapables de fabriquer nos propres technologies et de les vendre.

La nouvelle ère sera numérique et robotique; avec ou sans nous.

 

 

 

 

 

 

Décroissance, énergie et population.

L’édito de l’ancien sénateur René  Trégouet qui sait de quoi il parle sur la fusion thermo nucléaire me laisse perplexe.

Je n’ai bien sur pas tous les éléments en main pour en débattre.

Je suis perplexe non pas par les nouvelles possibilités que la théorie d’Einstein nous ouvre (vous savez ? E=MC2, mais pas forcément mon amour ), mais par la teneur de cet article qui nous engage sur l’avenir avec comme seule solution possible cette énergie à pléthore voulue par l’Europe (les américains aussi sont dans la course) en ridiculisant au passage les faibles possibilités des énergies renouvelables.

Je suis perplexe car une fois encore on nous demande de donner les clefs du monde à un groupe de personnes qui ont peut être raison (ou peut être pas) sans vraiment savoir pourquoi. Et ensuite il sera trop tard pour modifier le tir.

Les chiffres annoncés sont impressionnant :

Chiffres impressionnants donc. Au prétexte que la demande mondiale d’énergie va progresser il nous faut foncer tête baissée dans le développement d’une énergie qu’il va nous falloir apprendre à maîtriser. Car le chemin est encore long. 2050 au bas mot…..
Pendant ce temps le budget de la recherche sur cette future nouvelle technologie explose.
De la recherche il en faut. De nouvelles technologies aussi. Je les apprécie énormément. Tout ce qui peut m’assurer un meilleur confort tout au long de ma vie en particulier.
Le siècle dernier aura été le siècle de la modernité, celui des sciences et des découvertes, dans tous les domaines. Bons et moins bons.
Les transports, la médecine, l’alimentation, les loisirs ont été les piliers du progrès social de l’humanité (enfin une toute petite partie, même si le monde entier ,virtuellement, est susceptible d’en profiter, à condition d’avoir l’argent pour). Et ce grâce à la recherche, la mise au point de nouvelles technologies.
La résultante de cet article est la peur de l’avenir.
Certes  il est nécessaire de gérer autrement. Nous ne pouvons continuer à dépouiller cette terre jusqu’à la faire ressembler à notre vieux satellite, criblé d’impacts parce que sans atmosphère.
Nous ne pouvons continuer à vivre sur des matières non renouvelables. Que ce soit pour l’énergie ou la fabrication d’objets élaborés nécessaires à notre vie ou nos loisirs.
Sinon, le monde court à sa perte.
Les tenants de la décroissance en sont convaincus.
Mais que ce soit clair : cette nouvelle et éventuelle future technologie, comme bien d’autres d’ailleurs, comporte certainement des risques.  On ne joue plus avec des allumettes mais avec l’atome. Ce si petit atome qui provoque de si grands effets.
Déjà que des technologies bien établies sont capables de provoquer des désastres sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Il suffit de voir les méfaits d’une plate forme de pétrole au large de l’Amérique, la déforestation à outrance, le japon nucléarisé, les schistes bitumineux et leur cortège de mauvaises nouvelles écologiques, les déchets nucléaires dont on ne sait toujours pas vraiment quoi faire et que l’on va léguer pour des milliers d’années à nos futurs enfants s’ils sont capables de nous survivre…
Il faudrait de petites quantités par réacteur. Soit, mais donc encore un produit qui ne sera pas inépuisable. Ensuite ?
Le second produit serait « relativement  » facile à produire…Mais encore ?
Pas de catastrophe possible. Qui peut l’affirmer aujourd’hui? Vu les quantités d’énergie en jeu, on n’en est plus à la simple escarbille de charbon dans l’oeil.
Enfin l’élément radioactif ne persisterait que 12 ans. Soit, mais encore? Et pendant ces douze années?
Le mot de la fin de cette démonstration ce sont les futures retombées économiques.
Oui, bien sur; peut être. Et  le profit sera partagé par tous ?
Si jamais effectivement cette technologie « prometteuse » voit le jour, ce sera encore pour augmenter l’appauvrissement de l’ensemble du monde. Du monde physique par une nouvelle utilisation accrue de ses possibilités; et oui, 9 milliards d’humains à faire vivre….
Cette technologie fera franchir à l’humanité un nouveau pas en avant. Pour en faire quoi ?
Le monde n’est pas glorieux, et triste actuellement.
Ses ressources s’épuisent, la plus grande partie de la population n’a d’ailleurs pas d’autre choix que de l’épuiser pour tenter de survivre.
Je ne suis pas contre les nouvelles technologies et la recherche; je suis même un fervent partisan de celle ci.
A condition de ne pas oublier l’humain, et son humanité.
Et l’humanité à son mot à dire.

La bataille de la connaissance et du savoir va être perdue.

« Pourquoi vaut-il mieux embaucher des designers plutôt que des ingénieurs pour innover ? Différences dans ces domaines entre les USA et la France ? Les Américians OSENT, les Français commencent par PHILOSOPHER (avant de commencer à tremper le petit orteil dans l’eau du bain)… Et si les pionniers de la chose n’ont pas beaucoup d’argent aux USA, ils font quand même… »

 

 

Si nous continuons à ne rien faire, la France est finie.

Désolé de le dire si crûment mais c’est la vérité.

Ce ne sont pas les centres de recherches qui profiteront peut être d ugrand emprunt qui pourront arrêter le processus.

La partie technologique, c’est terminé. Ou du moins, plus exactement reste l’aéronautique et la fabrication de l’énergie nucléaire.

Tout le reste est caduc. L’agriculture va mal….la sidérurgie, le charbon…..l’automobile vivent leurs dernières heures.

Nous sommes capables de faire aussi bien qu’ailleurs, et certainement mieux.

Mais notre outil de production a été largement délocalisé pour obtenir de meilleurs bénéfices, et de meilleurs dividendes offerts aux actionnaires.

(bien que un léger remous réactive les anciens processus, et que le savoir faire français retrouve des couleurs; on assiste, et c’est un comble à une relocalisation ! Mais pour quelques belles réalisations brillantes en pièces rapportées, combien de déserts industriels ?)

Et cette dernière annonce rapportée par l’ancien sénateur Trégouët en est la prémice : l’accès instantané à l’information c’est pour 2015. Au  pire !

http://www.rtflash.fr/l-electronique-et-photonique-convergent-pour-atteindre-l-acces-instantane-l-information/article

 

(l’information, un combat que nous sommes en train de perdre d’ailleurs : il suffit de voir le traitement de l’ancien directeur du FMI dans la presse française : un désastre que nos journalistes du siècle dernier subiraient avec consternation. Tout n’est prétexte qu’à faire de l’audience. Aucune analyse sérieuse, de la politique et de l’information spectacle pour l’audimat).

Le Cnrs ou les universités ne peuvent plus se battre à ce niveau. Nous n’en avons ni les moyens, ni les ambitions, ni les outils.

 

Je l’ai déjà affirmé, mais j’en suis encore plus convaincu aujourd’hui : nous avons des possibilités en France. Nous pouvons nous en sortir.

A condition de le vouloir; et à condition de le faire vite.

Car pendant ce temps, les géants Google, Microsoft, et Facebook se paient la part du lion.

Ce ne sont pas les timides exceptions culturelles de bibliothèques en ligne française ou européennes qui nous démarqueront suffisamment.

L’une des possibilités c’est le tourisme. A condition de le vouloir et de se donner les moyens.

Combien de nos 36000 communes équipées pour recevoir les foules de touristes qui piaffent devant nos frontières?

Combien de salariés qui pourraient travailler dans le secteur touristique si les moyens étaient prévus ?

Combien de nos stations thermales ont fait l’effort de proposer autre chose que la simple cure de remise en forme alors qu’elles auraient pu le faire ?

L’autre possibilité, et c’est la source réelle de profit c’est la connaissance, l’information.

Nous sommes doués dans ce domaine. Nous avons eu les meilleurs écrivains du monde, nous en aurons d’autres.

Nous avons eu les meilleurs savants au monde, nous en aurons peut être d’autres.

Nous avons eu les meilleurs historiens et géographes, économistes et sociologues qui ont élaboré de complexes théories qui ont irradié le monde.

Nous avons la matière grise, ou nous l’avions.

Elle est en train de disparaître, en même temps que la déliquescence d’un extraordinaire outil de progrès social et de découvreur de talents : l’éducation. Education ou système éducatif que beaucoup de pays nous enviaient.

Cette économie du savoir, c’est notre espoir. En tout cas un escabeau qui pourrait nous permettre de reprendre pied dans la course économique mondiale, avant de redevenir le leader du monde que nous fumes.

Nous avons les ressources, les idées, les hommes et les femmes. Allons nous laisser vraiment passer ces occasions, et, au lieu de former dans les prochaines années une armée de connaisseurs propres à utiliser nos richesses virtuelles pour les rendre rentables, perdre pied et devenir un Etat fantôme, pour ne pas dire fantoche, dominé par Google ou au mieux la  Chine ?

Nous pouvons le refuser, au delà des clivages politiques et de société.

A condition de vouloir, simplement.

 

Et se donner les moyens : http://www.rtflash.fr/connectivite-influence-fortement-developpement-global-d-ville/article (mais c’est une autre question; pourtant que de possibilités économiques se nichent dans le haut débit).

 

Pour aller plus loin : http://www.strategie.gouv.fr/article.php3?id_article=1425

Mettre au point des médicaments dans les secteurs ou ils manquent cruellement.

C’est ce que compte faire l’Angleterre.

http://www.generation-nt.com/centre-for-therapeutics-discovery-medical-research-council-newswire-955831.html

J’essaie de comprendre pourquoi la France qui était le fleuron (un jour lointain) des découvertes, du progrès, des réputés savants et chercheurs, ne peut que suivre aujourd’hui au lieu d’être dans les starting block de la recherche mondiale, moteur de croissance et de perspectives de retour d’investissements profitables.

L’Angleterre  a compris parfaitement les enjeux et perspectives de l’un des principaux axes de développement international, source de profits considérables dans les années à venir, la santé devenant une denrée rare.

De la déstructuration de l’armée à l’aveugle faute de moyens, ou de la mise en danger de la vie de nos soldats.

Sur le site secret Défense (un blog de libération), Jean-Dominique Merchet nous apprend les difficultés du programme de drones (ces petits avions censés pouvoir voler sans être interceptés au dessus des lignes ennemies en reconnaissance).

Les commentaires sont acerbes sur la question du temps passé pour ne déboucher que sur des fiascos, alors que pendant ce temps, les drones israéliens, eux, sont opérationnels.

C’est exactement ce que j’écris sur ce blog à longueur de temps : ne laissons pas les autres s’approprier technologies nouvelles et techniques.

Nous devons être les premiers en tout, et particulièrement dans des domaines comme celui la, dont les applications autre que militaires sont innombrables.

Acheter du matériel dans d’autres pays, c’est avouer notre impuissance ou notre manque de moyens.

Alors que nous sommes à la tête d’un pays qui a conçu les meilleurs appareils et technologies des tente dernière années.

Ne gâchons pas ce magnifique potentiel que nous avons.

Si nous nous mettions au travail ?

Usage de la calculette au baccalauréat ou autres examens.

Il fut un temps pas si lointain ou la calculatrice (1975) comportait les 4 opérations de base et quelques gadgets (racine , pourcentage..)

Depuis nos députés se posaient des questions : Assemblée nationale 7 mai 1984

« Examens, concours et diplômes (réglementation).
34924 . — 4 juillet 1983. — M . Joseph-Henri Maujoüan du
Gasset expose à M . le ministre de l’éducation nationale que
depuis 1980, l’usage de la calculatrice de poche est autorisée aux
examens . Or, depuis cette date les progrès en électronique ont
transformé ces calculatrices en « mémoires », susceptibles d’engranger
l’équivalent de dix pages de textes (dates . d’histoire, superficies, chiffres
de production, théorèmes de mathématiques, lois physiques, formules,
etc .) .II lui demande si cette évolution de la calculatrice en « mémoire »
tous azimuts ne pose pas de problèmes au niveau des examens. »

En quelques années l’éducation nationale, par la force des progrès technolog »iques, dut accoucher en urgence de circulaires (1) (2) (3), (4) , (5) souvent modifiées ou annulées, concernant la grosseur de celles ci, toujours plus développées, leur capacité mémorielle, leurs possibilités communicantes et les diverses fonctions associées.

La question aujourd’hui ne se pose plus en ces termes.

L’avènement des téléphones mobiles, consoles portables, livres électroniques et divers autres gadgets, plus ou moins utiles mais dotés de capacités mémorielle très importantes, de conservation de gigantesques masses de données exploitables rapidement et immédiatement impose de réfléchir au meilleur moyen d’utiliser dans un but pédagogique ces nouveaux moyens du savoir.

L’expérience du cartable électronique est un début. Il a au moins le mérité de diminuer le déficit futur de la sécurité sociale par la diminution des scolioses!.

La question à se poser est la suivante :

  • Allons nous nier le progrès et limiter arbitrairement l’usage de ces nouveaux objets technologiques, au risque de voir nos chers bambins sécher lamentablement devant leurs copies, n’ayant pas l’usage de leurs diverses extensions robotiques ?
  • Ne devons nous pas plutôt permettre à tous de s’approprier les nouvelles technologies à venir, en insistant sur la recherche de l’information, sur la nécessité de resster curieux, en suggérant une bonne fois pour toutes que toutes ces machines peuvent être utilisées, à la condition expresse pour limiter certains abus, qu’un certain seuil monétaire dans leur achat ne soit pas dépassé.

Je suis partisan quant à moi de l’extension des ordinateurs portables (solides et bienc onçus) dès les premiers âges, reliés par wi fi à internet qui plus est!

Quant aux sujets des matières, et les examens, tout le concept aujourd’hui est à revoir.

Or la lecture et l’aprentissage du calcul, ainsi que les travaux manuels et artistiques, il faut réapprendre non pas bêtement par coeur, cela ne set plus à rien aujourd’hui; mais apprendre à traiter l’information, à vérifier les diverses sources afin de ne rien prendre pour argent comptant.

Il faut former nos élèves, nos étudiants à avoir un esprit critique, analytique, et curieux en les intéressant à découvrir et à réaliser qu’ils ne sont pas seuls sur la terre, mais au contraire qu’ils doivent apprendre des autres, dans l’optique d’un échange mondial et universel.

Il nous faut former à devenir les nouvelles élites de demain, par l’apréhension des nouvelles technologies, des possibilités sans cesse développées des bases de connaissances mise en ligne et disponible de manière aisée.

Il nous faut préparer les nouveaux enjeux de demain, par une confrontation amicale mais acharnée dans la recherche, la connaissance,et la furieuse envie d’apprendre, comprendre.

Cela passe non pas par une énième réforme de l’éducation antionale, mais au contraire par un retour aux sources : l’émerveillement devant la nature, la recherche de l’excellence, la découverte de de l’apprentissage, le sens de la pédagogie appliquée à la recherche de la connaissance.

Cela demande aussi la recherche de nouvelles méthodes, l’essor de la psychologie éducative, des sciences sociales afin d’accompagner dans cette démarche les futurs citoyens.

Car si les machines, si perfectionnées puissent elles être, sont la pour nous aider, le dernier mot, dasn tous les cas, ne pourra revenir qu’à l’homme, devenu éternel étudiant, qui, accumulant les connaissances par ses recherches, sera peut être capable, du moins pour certains defaire le lien entre divers éléments de nature et de provenances différentes, afin de proposer de nouvelles idées, de créér ou fabriquer de nouvelles idées , de nouveaux concepts applicables à l’industrie.

Ce qui implique un plan ambitieux de formation des maîtres, un plan d’équipement de tous les foyers (la fibre optique devenant une nécessité) et une motivation qui pourrait être financière à la recherche et la prospective.

Nous avons d’énormes défis à relever, mais en sommes nous capables? Je gage que oui….
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Proxima mobile ou la recherche planifiée

proxima mobile ou la recherche planifiée.

Si ce genre de proposition est prometteur, je ne cesserais de dire qu’il ne s’agit que d’une segmentation de la recherche, et d’une segmentation en plus destinée à la scléroser, ou au moins, à la tenir sous le joug du politique.

D’une part ce genre d’appel à projet est excessivement ciblé, ce qui laisse sur le carreau d’autres possibles promesses scientifiques qui n’auront pas ces subsides pour progresser.

D’autre part, il est proposé à des spécialistes (cela pourquoi pas), mais laisse sur le carreau des possibilités plus généralistes.

Je trouve incompréhensible que l’histoire d’internet ne serve pas de modèle.

Si la planification tendu vers un seul but de la création d’une bombe destinée à terminer la guerre a tenue ses promesses, et peut donner un résultat, la possibilité laissée à chacun d’être acteur d’un projet, sans limitations, sans préjugés, ans contrôle à priori est bien plus efficace.

Quand on observe les possibilités développées par des passionnés d’internet, la façon dont la toile se tissa, sans aucune contrainte, grâce pourtant à des subsides gouvernementaux, qui aujourd’hui sont bienheureux de pouvoir utiliser ces outils, et tente de les récupérer à leur profit, on s’aperçoit que de la liberté et du chaos nait forcément des ensembles construits intelligents plus efficaces, et à peu de frais.

Il faut absolument comprendre aujourd’hui que si nous voulons pouvoir éventuellement continuer à jouer dans la cour des grands demain, il nous faut absolument laisser la bride sur le cou à nos concitoyens, et les aider à réaliser les projets les plus fous, sans états d’âme, et en assumer les risques.

De cet ensemble cacophonique naitront les nouvelles idées de nos nouvelles conquêtes que le monde nous enviera et que nous pourrons leur proposer, à notre avantage.

Réduire les dépenses publiques ?

Dans une interview accordée à LCI, Mr TRICHET ( président de la Banque centrale européenne (BCE)) a exhorté la France en particulier, ainsi que les autres pays de la zone euro a réduire leurs dépenses, afin de ne pas porter atteinte à la confiance des citoyens.

Nous sommes, dois je le rappeler depuis la première crise pétrolière, et malgré diverses politiques économiques visant à rétablir notre pays, en récession.

Les mesures d’économie, les plans de réduction des budgets se succèdent sans discontinuer, alors que l’on nous annonce le probable effondrement de notre système de soins, ainsi que celui de nos retraites dans un avenir très proche.

La  dette atteindrait 77% du PIB !

Chiffre énorme, mais qui ne signifie pas grand chose.

Or le fait que nous dépassons du double (8%du pib) le déficit public autorisé par le pacte de stabilité européen, ce qui nous met bien évidemment dans les mauvais élèves de l’Europe, le poids de la dette n’est qu’un élément à prendre en compte parmi divers facteurs aussi importants.

Un Etat ne se conduit pas comme un ménage. Son budget ne dépend pas forcément des économies réalisées. Un bas de laine n’est pas forcément gage de bonne santé.

Or depuis 1973, et plus particulièrement les années 1980, le budget de l’Etat français est en déficit constant.

Cela ne serait rien, si la croissance économique pouvait nous permettre d’augurer de vraies recettes; il n’en sera rien pour les prochaines années. Et très probablement plus jamais. Sauf à prévoir une nouvelle expansion, du type « new deal » américain. Ou une découverte si improbable qui permettrait de ne plus payer l’énergie (encore qu’en ce cas, le chômage atteindrait des proportions plus que considérables…).

La réalité est la suivante : nous sommes en cessation de paiement dans un avenir très proche, ou en banqueroute, si l’on préfère.¢

Quelles sont les solutions qui s’offrent ?

Écouter Mr Trichet ?

Il y en a assez de ces plans d’économies mal ficelés, de ces dépenses parallèles qui augmentent plus vite que les économies. De plus, nous sommes loin du compte aujourd’hui. Si cela était peut être possible hier, cela ne l’est plus depuis 1975 et la création des ANPE, qui deviennent aujourd’hui les pôles pour l’emploi, complètement dépassés à ce jour et pour lesquels il va falloir dépenser sans compter pour faire face à l’afflux des futurs nouveaux chômeurs.

Continuer à fabriquer de nouvelles mesures d’économie, en ne remplaçant pas les fonctionnaires ou les salariés ?

Une simple goutte d’eau dans un déficit abyssal. Qui de plus apporte un mauvais service, heurte les populations inquiètes de l’avenir, et provoque mécontentements, créé les tensions que nous connaissons actuellement économiquement, et socialement.

Emprunter pour créer des facteurs de croissance (à condition que l’argent soit effectivement utilisé dans des constructions utiles et porteuses de bénéfice, ce que ne serait pas la rénovation de l’Elysée par exemple, pourtant nécessaire)?

Cela prouve simplement qu’il y a de l’argent, peut être pas aux endroits voulus, ou nécessaire mais…

Cela me rappelle les différents emprunts de l’Etat français, qui nous ont coutés souvent si chers et ont permis la naissance de l’augmentation facile des impôts indirects….

Ce n’est pas la solution; cependant c’est un phénomène à ne pas négliger.

Mais quand EDF emprunte pour demander dans le même temps une augmentation de 20% de ses tarifs….

Que nous reste-il ?

J’ai émis sur ces différentes pages, quelques propositions.

Nous n’avons pas le choix et nous devons parier sur l’avenir.

Deux axes sont à explorer :

  • Créer de la richesse avec par exemple, la recherche et le tourisme, qui sont nos deux fleurons.

Nous avons la chance d’avoir un pays magnifique, une notoriété mondiale. Exploitons la pour d’une part, offrir aux touristes des séjours remarquables et merveilleux, qui nous permettrons de créer de l’emploi.

Dans le même temps, cette notoriété, utilisons la pour promouvoir nos centres de recherches, nos savants, et faire venir le gratin de la recherche mondiale, à des conditions avantageuses que même les américains devront nous envier.

Nous devons, cependant, être capables d’accueillir ces étrangers, afin qu’ils se sentent bien et désirent rester chez nous. Un plan d’apprentissage des langues et de l’accueil, du service, doit être mis en place, à grande échelle.

A quoi servent les études d’aujourd’hui, si nous ne pouvons pas échanger avec le reste du monde et restons dans notre monde franco-français ou francophone (qui se réduit comme une peau de chagrin)?

Promouvoir nos ressources, nos richesses, afin de les vendre dans le monde entier. Nos derniers fleurons étaient par exemple l’aéronautique : de magnifiques réalisations, de retentissants échecs commerciaux.Nous ne pouvons nous permettre de voir se reproduire ce genre de dépenses inconsidérées qui nuisent à notre image, gaspillent nos ressources, et fabriquent de la misère.

Certaines pistes commencent à être exploitées : l’INA qui permet de proposer un catalogue de publications audio visuelles extrêmement important grâce à une mise en ligne pertinente, moyennant finances.

Mais est il normal de voir Google s’insérer dans nos bibliothèques, alors même que nous avons Gallica ?

La libre concurrence nous en avons vu les méfaits avec l’Ami, l’environnement détruit ou pollués

  • Mais tout cela est bien beau, ce n’est pas suffisant. Nous pouvons, nous devons être force de proposition. Nous devons nous mettre sans tarder à ériger le monde de demain, le monde de nos enfants. Il n’est pas acceptable que des millions, voire des milliards de personnes vivent en dehors des éléments qui composent notre vie occidentale industrialisée comprenant entre autre l’hygiène, l’eau potable, l’alimentation et la santé.

Il est de notre devoir, de notre responsabilité d’hommes et de femmes de faire enfin fi des finances et partager équitablement les ressources qui nous appartiennent en commun.

Il n’est pas normal d’accepter que certaines régions ou monuments deviennent patrimoine commun de l’humanité, quand des personnes meurent de faim ou de maladie.

Nous avons un changement de mentalité terrible à assumer.

Nous avons besoin d’expliquer, de proposer et de convaincre. C’est un challenge, mais un challenge vital.

Sinon, demain, c’est à dire dans les prochaines années, notre monde éclatera, et nos petites vies tranquilles n’auront plus vraiment de prix….

Prospérité demain; sur quelles fondations ?

La prospérité de demain est sur les rails : les moyens mis en place par le gouvernement français, accompagné par ses alliés européens permet de prévoir un nouveau monde prospère, actif et dynamique, dont nous n’aurons pas à rougir quand nous le présenterons aux générations futures.

Est ce bien sur ? C’est en tout cas le discours tenu par

François Fillon qui appelle à « bâtir les fondations de la prospérité de demain » sur son blog.

Et de vanter la qualité du travail professionnel des salariés, la grandeur du capitalisme paternaliste, et la motivation de tous et de tout un chacun.

Pour cela :

« Notre pays doit répondre aux questions que la crise rend plus pressantes que jamais.
Quel pays voulons-nous laisser à nos enfants ?
Quels secteurs feront demain la prospérité de notre économie ?
Quelle solidarité voulons-nous entre les générations ?
Quelles conséquences nos choix actuels entraînent-ils pour les générations futures ?
Quelles contraintes sommes-nous prêts à consentir pour préserver notre environnement ?
Il faut – c’est notre responsabilité – maintenant identifier les priorités stratégiques des vingt prochaines années. »

« Il faut que nous soyons aussi capables de progresser dans la formation, dans la recherche, dans l’innovation, si nous voulons tenir notre rang dans la compétition mondiale. »

Et cela passe par les pôles de compétitivité, mais des pôles méritants et prometteurs; donc une recherche sériée et non tous azimuts, grâce à une culture qui récompenserait le mérite.

Et voila comment d’une politique ambitieuse, déjà développée sur ce blog on amerrit rapidement vers une politique de développement parcimonieuse, élitiste, centrée sur quelques idées politiques et sociales attirantes pour certains, mais sans aucune planification réelle, sans aucune ouverture d’esprit, et sans aucune réalisation concrète.

Le clou est enfoncé, profondément :

« Il faut que la mise en oeuvre des priorités des années à venir se décline à travers la politique des pôles de compétitivité, ce qui nécessite naturellement que ne soient aidés que les pôles de compétitivité qui le méritent. Il faut que notre pays s’habitue à cette culture de la compétition, de l’évaluation et rompe avec cet égalitarisme qui conduit à aider tout le monde, au motif que, naturellement, tous les territoires ont besoin du soutien public, mais qui conduit à gaspiller des moyens publics qui seraient si nécessaires pour permettre d’alimenter la croissance de l’économie nationale. »

Cela augure mal, très mal, de la réussite….

Mais quel va donc être ce nouvel avenir que l’on nous promet, sinon un avenir de compétition extrême, ou chacun devra se battre pour gagner son bifteck (cela fait un moment que je n’ai pu m’en offrir, d’ailleurs!), et éliminer toute trace de sociabilité, d’échange, d’amitié, de relation, de complaisance ou de partage.

Ce n’est pas la solution; ce n’est pas ce choix qui devrait être la norme.

« En réalité, la crise consacre l’essoufflement de tout un modèle de production et elle nous met au défi d’inventer de nouveaux rapports sociaux et de nouveaux systèmes de production. Dans les deux cas, il s’agit de remettre l’homme au centre de l’activité économique. »

C’est tellement évident et logique. Et pourtant actuellement, on essaie depuis 1973 d’enlever l’homme de l’outil de production en le remplaçant par des machines.

  • On veut soutenir l’emploi des jeunes, mais il n’y a pas de travail.
  • On veut redonner du travail aux aînés, mais ou en trouver ?

Pour cela est lancé le modèle vert, déjà mis au goût du jour par le Grenelle de l’environnement. C’est la nouvelle panacée, le nouvel Eldorado, la vache sacrée du futur développement de notre pays.

C’est vrai que les autres, « nos partenaires », vont nous laisser faire sans aucun problème, nous regarder en attendant.

Et puis quoi encore ? Pourquoi nous leurrer ? Nous sommes en train de préparer les mêmes erreurs que lors de la « bulle internet », qui n’est pourtant pas si lointaine, et dont les dégâts ne sont pas terminés.

Il n’y aura pas de place pour tout le monde; à nous de prendre le taureau par les cornes, et de nous lancer dans l’aventure. Mais pour cela il faut des biscuits. La recherche et le développement dans ces domaines ou celui de la santé (autre corne d’abondance qui en fait saliver d’envie beaucoup) impose de poser sur la table des sommes colossales, des investissements énormes, dont le retour n’est absolument pas assuré.

Nous avons des défis à relever; et celui de la recherche est le principal.

« Cette crise, elle nous défie collectivement. Nous avons le devoir de l’affronter en restant unis.  Nous avons le devoir de résister à la fatalité. Nous devons avoir la volonté aussi de nous battre ensemble pour offrir à nos enfants un monde meilleur.« 

Quel monde meilleur ? Un monde ou chacun devra assurer seul son avenir, sans solidarité, sans accompagnement, sans aide, comme avant la première guerre mondiale ?

Le meilleur des mondes ? Avec obligation de se reformer, tout au long de la vie ?

Le meilleur des mondes, avec l’obligation de se déplacer ? (ce qui est une hérésire écologique, économique, sociale).

Le meilleur des mondes ou seuls les riches pourront vivre, manger et se soigner ? le capitalisme paternaliste dans toute sa splendeur ?

Le meilleur des mondes, il est déja la, dans ses foules lobotomisées par la télévision, la mal bouffe américaine, et l’ingérence de l’Etat dans les nouveaux moyens de communication.

Il y a des solutions, déja développées dans ce blog, dont certaines semblent avoir été reprises en partie d’ailleurs…

Pourtant, on reprend les erreurs du passé, on fiance sans trop savoir quoi (en trois mois seulement) un projet à moyen -long terme, qui du temps du plan aurait mis cinq années de gestation au moins.

Les erreurs du passé sont pourtant formatrices. Les moyens à mettre en eouvre, les systèmes qui marchent existent. Le modèle américain a permis le financement de l’actuel World Wide Web, gràce à une politique des pouvoirs publics américains croyant dans la recherche.

Si les pôles de compétitivité sont une bonne chose, encore faut il permettre à tous les chercheurs, tous les gens qui cherchent, créent, inventent, lancent des idées, des concepts de pouvoir :

  1. de pouvoir apporter leurs idées
  2. participer à leur mise en application
  3. assurer leur qualité de vie

Il est irréalisable et surtout inconcevable de tout miser sur un ou deux projets phares de la recherche comme la voiture électrique eou les énergies vertes.

Evidemment, ces deux projets sont importants. Evidemment, ils peuvent rapporter de l’argent, et nourrir notre économie.

Encore qu’à ce sujet il serait opportun de mieux comprendre les tenants et aboutissants de certains carburants verts, dont on ne sait trop leur utilité (sinon gaspiller de l’eau et des terres agricoles), ou leur réelle capacité à économiser le pétrole.

« Le Centre d’analyse stratégique imagine la société numérique de 2025« 

« En 2025, les Français, lassés de l’insécurité régnant sur Internet, bouderont le réseau. A moins que, mus par une culture éco-citoyenne s’appuyant sur les TIC, ils embrassent largement la sphère du numérique et en font une part essentielle de la croissance. »

C’est ce qui ressort d’un rapport consultable ici qui propose 6 leviers d’actions sur lesquels le gouvernement devrait s’appuyer, sans forcément les reprendre tous à son compte.

« L’avenir n’étant que le fruit de politiques publiques et d’efforts de gouvernance, c’est sur ces deux voies que doivent s’orienter les pouvoirs publics pour tendre vers le scenario le plus optimiste élaboré par le Centre d’analyse stratégique. »

C’est cela qui doit être fait. Tout en donnant les coudées franches à une politique de recherche ambitieuse, non centrée sur quelques points décidés en haut lieu, mais sur une recherche fondamentale remise au gout du jour.

Tristement célèbre, comment fut créée la bombe atomique? Ou la navette spatiale?

Intervenants de tous bords, multiples sociétés, et hommes décidés et ambitieux.

Notre pays a développé une politique aéronautique que le monde entier nousenvie. l’échec commercial du concorde n’en est pas moins pour l’époque une prouesse technologique extraordianire.

Cela a été rendu possible, en son temps, dans un monde ou personne, sauf quelques visionnaires, ne pouvait imaginer voir un plus lourd que l’air voler.

Cela a été rendu possible par des hommes courageux, fiers, aventuriers, ambitieux, visionnaires, rêveurs et croyant à leur idées; Certains se sont écrasés au sol, ruinés, défaits ou morts. D’autres ont vu leur mérites récompensées.

Si l’on avait suivi Pierre et Marie Curie, aujourd’hui leur bourse de recherche ne serait pas renouvelée. Que n’aurions nous pas perdu !!!

Donnons nous les moyens, attirons les rêveurs, les imaginatifs, les chercheurs de tous poils.

De cela sortira un pays grandiose, un nouveau siècle des lumières, un pays dont nos enfants pourront être fiers…

Je suggère de plus plusieurs axes de recherche urgents :

  1. les déchets radioactifs : assurer leur traitement et leur éliminiation définitive
  2. la pollution
  3. l’eau
  4. le remplacement du pétrole
  5. la recherche médicale