Zanzibar c’est pour bientôt.

Zanzibar c’est un roman de science fiction écrit en 1968.

C’est exactement ce à quoi nous arrivons.

John Brunner était il prophète?

 

Lisez ce qui suit et tremblez ou réjouissez vous selon votre tempérament.

http://meta-media.fr/2014/09/25/whats-next-lintelligence-artificielle-va-transformer-internet.html

 

« Honte à nous si nous ne trouvons pas les moyens de partager la nouvelle prospérité en accélérant la réinvention du système éducatif, fiscal et les institutions » Erik Brynjolfsson, directeur au MIT

 

Va peut être falloir s’y mettre?

Asimov si tu pouvais renaître !

Le sénateur Tregouet dans sa lettre RTFLASH du 7 février 2014 expose l’avenir des robots tel qu’il pourrait être.

Vous lirez son essai ici : http://www.rtflash.fr/2020-triomphe-robots/article

Il parait surpris de la montée en puissance des robots dans tous les domaines de la vie humaine, et particulièrement son impact futur (très proche) sur l’emploi.

Pourtant cela fait un moment que j’écris ici que les robots sont à la fois l’avenir de l’homme et son pire ennemi.

Il est regrettable, de ce fait, que notre ministre du redressement productif essaie encore de rafistoler par des rustines usées notre économie en lambeau quand il devrait s’intéresser véritablement et de tous son être à la nouvelle société qui émerge. Une société ou le robot sera omniprésent.

Une société ou nous devrons soit vivre avec eux, en symbiose, mais ou nous risquons en fait de perdre notre humanité en les refusant.

Car je suis persuadé que si nous ne décidons pas immédiatement de prendre en compte le futur rôle des robots dans notre vie, dès demain (cinq ou dix ans maximum), la société que nous connaissons ne sera plus qu’un vague souvenir, et que nous n’aurons plus à nous battre pour sauvegarder de l’emploi, mais bien pour notre survie.

L’équation est simple, voir simplissime; il n’est pas besoin de toute une philosophie pour l’appréhender.

Elle se résume en quelques options  déterminantes pour notre espèce.

On peut tout d’abord refuser la robotisation galopante, la nier voire la renier. On se prépare alors à des conflits puissants et meurtriers entre ces « automates », « androïdes », « machines, « robots »,  et des masses humaines, en particulier les futurs chômeurs en devenir. Et ces conflits seront meurtriers.

On peut (et le risque est latent comme cela s’est passé avec la révolution industrielle) aussi utiliser la force de travail des robots pour engranger de meilleurs bénéfices, mais cette fois ci en se passant des hommes.

En effet le robot n’est pas syndiqué, le robot ne se plaint pas, et le robot peut faire les 3X8 sans discontinuer. Et demain il se réparera automatiquement.

Et dans les prochaines années le robot comme les appareils ménagers dans leur temps verra son prix baisser drastiquement. La courbe de la baisse des prix peut être projetée à partir de celle de la baisse de prix des robots aspirateurs

Ou bien, et c’est bien sur mon rêve, espérer et vouloir vivre en symbiose, dans une société multi raciale ou les robots ne seront pas serviteurs mais accompagneront l’homme dans sa quête d’une vie meilleure et plus aisée.

Voila les possibilités qui s’offrent à nous.

Sauf que les militaires comptent déjà les utiliser dans des conflits meurtriers. Or ce ne seront pas en ce cas les soldats qui seront visés, ni d’ailleurs les machines (à quoi bon en définitive en ce cas de figure ?); mais bien les populations civiles, seule variable d’ajustement possible.

Sauf que les grandes entreprises (et le sénateur s’en fait l’écho) envisagent d’optimiser leur productivité grâce aux robots, pour le bénéfice des actionnaires.

Sauf que aujourd’hui les « masses laborieuses », les hommes et les femmes qui travaillent, ne veulent pas perdre l’emploi qui reste.

Et sauf qu’Asimov a déjà prédit qu’il serait difficile voir impossible de laisser cohabiter deux peuples, l’un organique, l’autre artificiel en même temps, l’un à côté de l’autre, ou l’un avec l’autre.

C’est aujourd’hui que nous devons décider de notre avenir, avec les robots ou sans eux. Mais vite. Ce qui veut dire innover, et prévoir.

En sommes nous capables ?

 

La robotique en France : http://www.xerfi.com/XerfiResearch-La_robotique_en_France_3EEE15.awp#.UvpoDj15NIE

L’aspirateur ; prémisse d’une révolution : http://www.neomag.fr/actualite/i-4189/laspirateur-robot-une-des-plus-belles-performances-du-pem-en-2012.html

 

 

 

 

Et si la vision d’Asimov devenait réalité grâce à Google ?

Je rêve de cette civilisation des robots depuis que je suis tout petit.

Car si « Les cavernes d’acier » décrivent un monde que nous connaissons déjà plus ou moins, Avec sa pauvreté et sa mécanisation à outrance, ou les privilèges permettent de rationner avantages et nourriture sur un monde surexploité, je veux croire quant à moi, au bonheur possible grâce aux robots et la robotisation.

Google l’a bien compris….et espère en tirer des bénéfice »s colossaux.

http://www.01net.com/editorial/610838/google-domine-la-competition-de-robots-de-la-darpa/#?xtor=EPR-1-[NL-01net-Actus]-20131223

 

Ce à quoi je ne dis pas non, puisqu’ils vont devoir supporter des sommes cosmiques en recherche et développement avant d’espérer rentabiliser un jour leurs investissements.

Mais à terme j’espère et je crois que l’automatisation, la robotisation, feront plus pour le genre humain que tout autre chose produite par l’homme depuis que l’intelligence est apparue.

Je rêve d’un monde qui me permettrait de libérer mes capacités créatrices, sans être astreint à assumer mes besoins primaires, tâches laissées aux robots.

Quant à ceux qui crient haro sur les machines, pourvoyeuses de chômage, je réponds certes, pour le moment. Mais en ce cas il fallait s’y opposer dès la première machine, (la roue sans doute?), ce que suggère Barjavel dans son roman « Ravages » et surtout dès la taylorisation, et dès l’informatisation ou les télécommunications.

Et je suis persuadé que le problème est à prendre autrement : il nous faut réfléchir non pas à fabriquer plus de profits en détruisant l’humain, mais assurer son épanouissement complet en le libérant de toute entrave mercantile.

Si chacun peut avoir une imprimante 3 D (ce qui pourrait être le cas dans un avenir très proche, que restera t-il à faire ?

A nous de voir, et de savoir : Ibm propose sa projection à cinq ans : http://www.futura-sciences.com/magazines/high-tech/infos/actu/d/technologie-futurologie-ibm-prevoit-big-data-ordinateurs-bienveillants-51088/#xtor=EPR-23-%5BHEBDO%5D-20131226-%5BACTU-Futurologie-:-IBM-prevoit-le-big-data-et-des-ordinateurs-bienveillants%5D

Le drone préfigure la civilisation de demain.

Le reportage de TF1 du 20 juin 2013 au JT de vingt heure esquissant  les futures utilisations des drones à venir me laisse à penser que notre civilisation entre dans l’ère prérobotique à grands pas.

Car si l’on entend dans ce reportage la prévision de l’utilisation à terme de bras articulés permettant à ces objets volants de devenir de vrais outils, extension mécanique de la main de l’homme qui le dirige encore, aptes à s’infiltrer à n’importe quel endroit inaccessible en particulier, leur utilisation n’est que limité actuellement par l’imagination.

 

Ce qui me fait dire que demain (très bientôt), notre vie va complètement changer. Ce sera une révolution beaucoup plus importante et remarquable que la révolution de l’informatique ou, parallèlement du web.

 

Car si demain les drones constitueront des outils de surveillance précieux, sur le même principe, des milliers de robots de tous genre pourront vaquer à la plupart des occupations auxquelles nous devons faire face aujourd’hui.

L’exemple le plus criant se trouve dans l’électro ménager et les aspirateurs robots qui font actuellement une percée remarquable dans nos salons.

Asimov et ses robots, c’est aujourd’hui.

(et encore je ne détaille pas les récentes réalisations dans le domaine médical ou les imprimantes 3 D (encore que ce ne soit pas de vrais robots, ou les percées dans l’accompagnement à la personne).

Ce qui me fait dire que l’allongement des durées de cotisation pour la retraite est une véritable galéjade. Car le travail est en train de disparaître. En tout cas dans sa teneur actuelle.

J’ai un rêve : que demain les robots deviennent nos compagnons dans notre vie de tous les jours.

A nous de nous préparer à une vie plus riche, plus élevée. A condition de le vouloir. Si nous commencions à nous préparer?

Robots, bientôt

Si Asimov fit, en créant virtuellement les robots, Honda fait en réalisant en pratique les futurs robots de demain.

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/robotique/d/honda-presente-une-nouvelle-version-dasimo-le-robot_34551/#xtor=EPR-23-[HEBDO]-20111111-[ACTU-honda_presente_une_nouvelle_version_d_asimo_le_robot]

 

A l’heure ou la crise sonne à nos portes, et ou le travail devient une denrée rare, il est temps de nous interroger et de savoir si nous continuons vers une société à deux vitesses, avec de plus en plus de pauvreté,  des pauvres relégués au fond des « cavernes d’acier » décrites par Asimov, ou si nous réfléchissons et agissons pour une nouvelle ère respectueuse de l’ensemble du monde, humains, animaux, et terre comprise.

Il est possible ce monde auquel nous aspirons tous. Et les robots peuvent nosu y aider.

Galaxy S 2 et Lego Robotics.

Quand le jouet rejoint la science.

Qui n’a jamais joué avec des briques de Lego ou de Mécano?

Si on m’avait annoncé un jour pouvoir résoudre un Rubik’s Cube avec quelques briques télécommandées par un smartphone !

Dans le temps on jouait plutôt avec la panoplie du parfait petit chimiste mais bon…

En tout cas, et bien qu’il ne s’agisse pas d’un article publicitaire, autant Légo, Samsung, et Android produisent de magnifiques outils qui révolutionneront notre monde de demain.

Légo et ses briques robotiques pour étudier et comprendre les futurs mécanismes des robots qui seront la prochaine phase de notre évolution.

Les robots mangeurs d’argent.

Les robots mangeurs d’argent.

En lisant un des billets de Jean Michel BILLAUT sur une grande firme de vente de jouets, je suis arrivé à une question qui me nargue depuis mes lectures et relectures des mondes étonnants emplis de robots d’Asimov.

Je suis donc allé parcourir comme proposé le le blog de Marshall Brain concernant notre avenir proche peuplé de robots (moins de 50 années) et ou l’homme n’aurait plus sa place ou, en tout cas plus de travail.

C’est demain, mais c’est déjà aujourd’hui…..et c’était hier.

Aujourd’hui les chaines de supermarché remplacent les hôtesses de caisse par des machines automatiques….

Demain, le personnel complet pourra être remplacé par des robots humanoïdes qui verront le jour dans les années à venir.

Dans les années 75 commencèrent à apparaître les premiers automates bancaires qui délivraient des billets. Et remplaçaient aux moins deux guichetiers.

Auparavant les premiers robots à peinture avaient vu le jour.

En parallèle l’informatique commençait à poindre le bout du nez.

Les années 80 voient l’apparition des premiers micro ordinateurs…

Aujourd’hui l’informatique médicale robotisée remplace avantageusement la main du chirurgien par aller découper à la cellule près une tumeur quelconque.

Aujourd’hui notre monde change et se transforme. Faut il en avoir peur ?

Oui, car ces changements se font à marche forcée, sans aucun accompagnement social, et surtout sans politique volontariste ou simplement sans politique du tout.

Nous pouvons avoir peur de lendemains qui déchantent, ou des masses de personnes sans emploi regarderont à travers les carreaux les machines occupées aux tâches qu’elles effectuaient naguère.

Des lendemains qui risquent d’être perturbés par toutes ces personnes désœuvrées et au chômage, sans occupation, mais aussi sans réels loisirs, amers.

Des lendemains ou la paix sociale pourrait être compromise et ou la société occidentale devra pleinement décider de ce qu’elle souhaite :

  • gérer les millions de personnes sans emploi et sans ressources, aux portes du désespoir et de la haine de ce progrès prévu seulement pour les « chanceux » et non pour les laissés pour compte du travail et de l’emploi
  • proposer une nouvelle société, une nouvelle vie, un nouvel eldorado à tous, tous les membres de la société, ou les machines ne seront pas des conccurentes, mais seront affectées au service de chacun, et non pas pour la création de profits à court terme, ou chacun pourra enfin bénéficier des progrès humains  et d’une vraie société de loisirs, pas seulement des loisirs immédiats et faciles, mais des loisirs de l’éducation et de la culture, des possibilités offertes à l’esprit humain de se grandir et de s’élever, par la connaissance et la création.

Le monde d’aujourd’hui n’est pas prêt à ces changements.

Pourtant les années qui viennent seront décisives. Ou nous restons dans la logique du profit immédiat et à court terme, afin d’enrichir quelques uns tout en laissant la plus grande partie de la population dans la misère, au risque d’ailleurs à terme de tuer la poule aux oeufs d’or, ou nous cultivons l’espoir et l’esprit d’une société d’avancée et de progrès, ou chacun serait égal à l’autre, et ou les robots feraient partie intégrante de notre vie, de notre société.

Les robots, d’ailleurs, pourront nous demain nous en passer ?

Rien n’est moins sur. La société évolue. Les besoins aussi.

Il n’est qu’à voir  par exemple l’allongement de la durée de la vie et l’augmentation exponentielle de populations vieillissantes, qui ont grand besoin d’aide à domicile assistée.

Ou des besoins en équipement robotiques dans tous les domaines (restauration, nettoyage, assistance, veille,  garde, secours….)

Ce serait aussi idiot de refuser ce progrès social que les auteurs d’anticipation nous prévoient si bien.

A condition de vouloir vraiment le bien humain et non simplement un profit.

A ce propos, les derniers évènements écologiques désastreux n’ont ils aucune signification? Ces désastres ne démontrent ils pas que nous devrions peut être aujourd’hui commencer à réfléchir à notre avenir mondial ?

Allons nous continuer à détruire la planète tout en augmentant le nombre de personnes prélevant ses ressources sur elle ?

Ou allons nous réfléchir à d’autres solutions ?

Les robots ne permettraient ils pas une conquête spatiale sans heurts et sans risques ?

Le robot qui rêvait.

Ce n’est peut être pas le meilleur des livres d’Isaac Asimov, mais il pose des questions qui sont réellement d’actualité aujourd’hui.

De plus, sa conception des trois lois de la robotique : tout un édifice de pensée et de philosophie qui me plait particulièrement.

Je vous conseille la lecture de ces quelques nouvelles, mais toute son oeuvre est source de félicité mentale. Ce qu’il annonce n’est pas reluisant, mais peut être que les robots et les ordinateurs seront la solution.

On le voit avec le plan du Japon pour les robots en tant qu’aide aux personnes âgées dans les années qui viennent ou les plus jeunes.