Livre : Douglas Kennedy : à la poursuite du bonheur

Avons nous le choix ou la vie nous impose t-elle ceux ci?

Le résumé du livre parle d’une histoire d’amour.

Certes, et magnifique. Sur fond d’après guerre, en Amérique, et du maccarthysme. Période difficile américaine, qui laisse encore des traces.

Avons nous droit au bonheur et pouvons nous en décider ? pouvons nous être acteurs de notre propre vie, ou ne sommes nous que figurants, avant la touche finale ?

Et devons nous laisser conduire, accepter de trahir nos idéaux, notre conduite peut elle et doit elle être guidée par la société et ses diktats?

Essayons de faire du mieux possible, c’est le message de ce livre. Sans oublier de pardonner.

Dans notre société d’aujourd’hui, ou tout n’est plus que faux semblant et apparence, ce livre rappelle que nous ne sommes que des hommes, ou des femmes, souvent faibles, mais que seule la morale nous grandit.

Une lecture agréable, une fin intéressante. Tous les conditions pour un bon roman, à la finesse du trait constante.

Beaucoup voudraient ressembler à la protagoniste principale de ce roman, qui vit ses rêves, malgré échecs et désillusions, et sa désillusion. Sa liberté ne sera jamais remise ne cause.

Cinq jours de Douglas Kennedy

Sommes nous libres de choisir le bonheur ?

5 jours

L’histoire d’une femme qui ne comprend plus sa vie et se demande comment elle a pu passer autant de temps avec un homme qu’elle n’aime pas vraiment, et s’enterrer dans une bourgade de province.

Et puis la découverte du coup de foudre durant un séminaire à Boston. Trois jours de symbiose et l’envie de recommencer sa vie.

Mais ce compagnon de trois jours prend peur et se sauve avec un message sms et le refus du dialogue.

Une vie bouleversée . Une remise en question.

Le retour vers une vie quotidienne banale et sans surprise, ou la dépression guette ou l’essor vers une nouvelle vie ?

Beau et frais, mais qui met à mal les standards de la vie de couple et de l’amour éternel.

Avons nous le droit, ou devons nous éviter le bonheur par obligation?

Aux éditions Belfond.

Facebook soupape de sécurité sociale?

Ce commentaire fut laissé aujourd’hui en réponse à une interrogation sur mon réseau d’une personne se plaignant de la futilité des échanges virtualisés de Facebook.

 

Et pourquoi ne pas en rire ?
C’est plus agréable que de s’énerver sur ce genre de sujet.
FB a un gros avantage : échanger rapidement sur de longues distances.
C’est assez merveilleux pour un groupe familial éclaté par exemple, ou un groupe de pression ou politique.
Maintenant quant au niveau des échanges sur fb, il est identique à celui de msm ou des sms.
Mais est ce grave ?
Je ne le crois pas.
Cela participe d’un défouloir nécessaire et salvateur, qui permet de diminuer la pression sociale et familiale, en oubliant (en s’oubliant) sur les murs fb de ses amis proches ou non, sans que pour cela les conséquences en soient extrêmes.
L’avantage de ce genre d’endroit dans le même temps, c’est la courtoisie qui y règne, au grand dam des forums dans lesquels on retrouve souvent des débats passionnés et souvent instables, et loin de la netique.

Facebook soupape de sécurité sociale?

Ce commentaire fut laissé aujourd’hui en réponse à une interrogation sur mon réseau d’une personne se plaignant de la futilité des échanges virtualisés de Facebook.

 

Et pourquoi ne pas en rire ?
C’est plus agréable que de s’énerver sur ce genre de sujet.
FB a un gros avantage : échanger rapidement sur de longues distances.
C’est assez merveilleux pour un groupe familial éclaté par exemple, ou un groupe de pression ou politique.
Maintenant quant au niveau des échanges sur fb, il est identique à celui de msm ou des sms.
Mais est ce grave ?
Je ne le crois pas.
Cela participe d’un défouloir nécessaire et salvateur, qui permet de diminuer la pression sociale et familiale, en oubliant (en s’oubliant) sur les murs fb de ses amis proches ou non, sans que pour cela les conséquences en soient extrêmes.
L’avantage de ce genre d’endroit dans le même temps, c’est la courtoisie qui y règne, au grand dam des forums dans lesquels on retrouve souvent des débats passionnés et souvent instables, et loin de la netique.

Lettre ouverte à Monsieur le président de la république (suite….)

Monsieur le président….

Il est urgent d’agir.

Les dernières études montrent que le système monétaire international pourrait ne pas tenir jusqu’ à l’ été 2009.

Et ce ne sont pas forcément des Cassandres qui annoncent un délitement de la société occidentale telle que nous la connaissons, le retour au protectionnisme ou au féodalisme.

Mais avant cela, apparaîtront des heurts, des soulèvements, des groupes qui seront animés par leur seul intérêt. Toute les structures morales, la police qui fait le ciment de l’ humanité sont amenées à disparaître ou à devoir changer pour survivre.

Quant à l’Etat politique, il sera le premier à subir de plein fouet l’ échec de l’ économie mondiale (merci le libre échangisme… ou l’OMC…)

La peur du lendemain, la paupérisation, la misère humaine vont soumettre la société à un risque sans précédent d’ éclatement, qui se manifestera au mieux par des révoltes ou des révolutions, au pire par la fin de l’ humanité. Et le mot n’ est pas trop fort.

Vous avez un devoir, Monsieur le président; vous avez été élu pour conduire la France et les français, et, comme vous aimez à le dire, tous les français.

La solution ne passe pas par un soutien sans concession au système; ou au moins pas seulement.

La solution impose un nouveau projet de société, un new deal interne à la société française; un projet que tous les français devront accepter et concrétiser.

 

La route est longue avant que ce projet prenne forme et produise ces fruits; mais une partie de celui ci peut être mis en place rapidement, sans délai et avec très peu d’ intervention.

Il est temps que le Plan reprenne sa place, dans un but de prospective quinquennale, et à 10 ans.

Avez vous l’ envie de changer le monde, Monsieur le président; avez vous le désir de créer un monde nouveau ?

C’est possible, même si malheureusement certains seront abandonnés au bord de la route.

Le prix à payer sera lourd, mais si rien n’ est fait demain sera terrible….