La fin de l’humanité ? Peut être pas….La fin du village mondial oui.

http://www.actualites-news-environnement.com/24024-Lutte-contre-resistance-antimicrobienne-OMS-tire-sonnette-alarme.html

L’oms officie à nouveau dans l’un de ses combats favoris. Planter la peur ou l’inquiétude dans le cerveau de nos concitoyens.

Avec une rapidité que l’on ne connait pourtant guère dans cette maison, suite à un article de la revue scientifique The  Lancet qui  » fait état de la découverte d’un nouveau gène qui permet à des bactéries de devenir hautement résistantes à presque tous les antibiotiques », l’OMS lance un cri d’alarme et demande aux nations de bien vouloir préparer et éduquer ses populations à une crise sans précédent, qui, demain, pourrait amener la mort, ou au moins la baisse de l’espérance de vie que les antibiotiques et l’hygiène avait pourtant permis d’augmenter sur des durées conséquentes.

Que les antibiotiques ne soient plus résistants, ou mutent en ne rendant plus leur office, cela fait pourtant des années que nous le savons.

Les maladies nosocomiales sont pourtant à l’ordre du jour depuis longtemps, qui ont remis à l’ordre du jour les cours de lavage des mains dans les écoles de médecine ou d’infirmières.

La fin de l’article

« Les échecs thérapeutiques allongent également la période de contagiosité, ce qui augmente le nombre de personnes infectées en circulation dans les collectivités et expose l’ensemble de la population au risque de contracter une infection à souches résistantes. »

augure d’une nouvelle ère. Peu d’années passeront avant de voir un contrôle aux frontières épidémiologique renforcé, voir des fermetures de frontières, des pays  en quarantaine, des blocs se reconstituer, comme au bon vieux temps de la guerre froide.

Il faudra alors être du bon côté.

Je prédis un monde de crainte et de douleurs. Un monde d’angoisse et de noirceur.

Un monde ou la superstition, le refuge dans les croyances reprendra essor.

Un monde ou le plus fort aura raison, et ou même les puissances dites civilisées perdront leur aura.

Un monde ou chacun sera enfin égal, devant une seule calamité : la maladie.

Ce n’est pas cela je l’espère qui sortira de ce cri d’alarme.

J’espère qu’enfin les grandes puissances vont s’unir enfin pour que la recherche médicale soit mise à contribution, que tous les moyens, et ils sont énormes, soient offerts pour les besoins d’une seule cause : la recherche de la santé, et la préservation de la vie humaine.

Vous pouvez accepter ça ? moi non.

« Il s’agit de créer un service public de l’hébergement et de l’accès au logement des personnes sans abri, avec l’objectif de réduire significativement le nombre de personnes à la rue »

C’est la la vraie politique du gouvernement ?

Réduire le nombre de sans abris en centralisant par ailleurs la démarche ?

C’est intolérable. Quand le ministre du logement se félicité que dans sa ville on attend seulement huit mois (à Châlons-en-Champagne) au lieu de huit ans à Paris…..

Quand les mal logés, dans des installations plus qu’ insalubre, dans lesquelles ne dormiraient pas nos animaux, attendent toujorus de pouvoir élever décemment leurs enfants…..

Quand, dans le même temps, la pauvreté s’accroit, la faim s’installe, même au sein de nos campagnes, qui subissent de plein fouet la misère économique grandissante, et le déclin de régions entières, pour lesquelles l’Etat ne s’investit plus, mais abandonne le terrain….

C’est intolérable…..Nous ne sommes plus un grand pays. Nous avons perdu la lumière, le 21 ème siècle devait être celui de l’éradication de la pauvreté, la gagnante devait être la science et le progrès scientifique.

Nous vivons dans un pays en voie de développement, arc bouté sur ses vestiges passés…..pendant que le reste du monde se rie de nous, et avance.

Car le monde continue de tourner….

http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-47111QE.htm


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13ème législature
Question N° : 47111 de M. Jean-Jacques Urvoas ( Socialiste, radical, citoyen et divers gauche – Finistère ) Question écrite
Ministère interrogé > Logement Ministère attributaire > Logement et urbanisme
Rubrique > politique sociale Tête d’analyse > lutte contre l’exclusion Analyse > hébergement d’urgence. perspectives
Question publiée au JO le : 21/04/2009 page : 3726
Réponse publiée au JO le : 06/07/2010 page : 7645
Date de changement d’attribution : 06/07/2010
Date de renouvellement : 20/10/2009
Texte de la question
M. Jean-Jacques Urvoas attire l’attention de Mme la ministre du logement sur le rapport qui lui a été remis le 8 avril 2009 concernant « Les politiques de prise en charge des sans-abri dans l’Union européenne ». Il en ressort entre autres que le modèle français se caractérise en la matière par une très forte centralisation, qui n’a d’équivalent dans aucun autre pays. L’auteur du rapport suggère donc « d’envisager la décentralisation de la politique de prise en charge des sans-abri ». Ainsi, poursuit-il, « sous l’impulsion de l’État et la responsabilité stratégique des régions, les départements pourraient planifier et agréer, quand les villes seraient responsables de l’offre et des résultats ». Il lui demande si une telle proposition de réforme est susceptible de retenir son attention et celle du Gouvernement.
Texte de la réponse
La proposition d’une décentralisation de la politique de prise en charge des sans-abri n’est pas à l’ordre du jour du travail gouvernemental. En revanche, le Gouvernement s’est engagé depuis novembre 2009 dans une réforme d’envergure du dispositif d’hébergement et d’accès au logement. Prenant appui sur les rapports Pinte et Damon, ce sont les principes mêmes d’organisation du dispositif d’accueil et d’hébergement qui sont repensés. Il s’agit de créer un service public de l’hébergement et de l’accès au logement des personnes sans abri, avec l’objectif de réduire significativement le nombre de personnes à la rue. C’est dans ce cadre que se situe la mise en place d’une programmation territoriale de l’offre d’hébergement et de logements adaptés prévue par la loi de mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion du 25 mars 2009. Cette planification prend la forme de plans départementaux d’accueil, d’hébergement et d’insertion (PDAHI) des personnes sans domicile. Ces plans constituent un des leviers essentiels du pilotage par l’État de la politique de l’hébergement sur les territoires.

Handicapés et préavis

Monsieur le président de la république

 

Suite à la réponse du ministère du logement, je vous prie instamment de les faire revenir sur leur décision, afin de procéder à l’équité et l’humanité nécessaire à notre Etat démocratique.

Il n’est pas acceptable que des considérations économiques prennent le pas sur le handicap.

Ou bien, ce n’était pas la peine de mettre en place un plan d’accompagnement.

Je suis déçu, pour ne pas dire écœuré.

 

Je sais que vous aurez à cœur de corriger cette erreur douteuse.

Handicapés et préavis

Monsieur le président de la république

 

Suite à la réponse du ministère du logement, je vous prie instamment de les faire revenir sur leur décision, afin de procéder à l’équité et l’humanité nécessaire à notre Etat démocratique.

Il n’est pas acceptable que des considérations économiques prennent le pas sur le handicap.

Ou bien, ce n’était pas la peine de mettre en place un plan d’accompagnement.

Je suis déçu, pour ne pas dire écœuré.

 

Je sais que vous aurez à cœur de corriger cette erreur douteuse.

Lettre ouverte à Monsieur le président de la république (suite….)

Monsieur le président,

Je fais un aparté aujourd’hui car j’ai le cœur gros et j’estime que vous avez un devoir, celui d’assistance à personnes en danger.

Pour la bonne compréhension de mon discours je vous précise être guichetier en bureau de poste, en province, mais cependant l’un des 1000 plus gros.

Ce qui me permet de voir une bonne partie de la population française, des citoyens, et en particulier les laissés pour compte de la société, les chômeurs, rmiste, handicapés de la vie, infirmes de l’éducation, ou les révoltés d’un monde en perdition.

Je vois aussi heureusement, des usagers du service public qui n’ont pas de difficultés majeures.

Aujourd’hui, j’ai du expliquer à une usa gère une règlementation concernant sa pièce d’identité. Elle venait avec sa fille pour percevoir un mandat de trente euros que sa mère lui envoyait en dépannage.

Elle m’a avoué ne pouvoir payer des photos d’identité.

Dans quel monde vivons nous, monsieur le président, ou l’on ne peut changer de papiers d’identité, périmés par la législation, du fait de malheureuses photos d’identité?

Mais ce n’est pas étonnant; une grande partie de nos habitués à les mêmes difficultés financières, que nous allons satisfaire ces jours ci grâce au paiement des échéances sociales du mois.

Mais ce n’est pas cela qui m’a révolté. C’est surtout le fait qu’après avoir remercié sa mère pour l’envoi des fonds (au figuré), elle m’a avoué attendre cet argent pour pouvoir mettre du gasoil dans son véhicule pour aller travailler…

Cela, sans se plaindre; c’était juste un constat.

Et elle a rajouté : « vous savez, je ne suis pas la seule ».

Jusqu’à présent, Monsieur le président, j’avais réussi à conserver une carapace de surface. J’ai toujours considéré que mon travail en tant que guichetier n’était certainement pas celui d’assistante sociale, et qu’il existait d’autres endroits ou d’autres structures pour se faire aider ou assister.

Mais cette femme m’a ému aux larmes.

Dans quel monde vivons nous, Monsieur le président ? Elle est partie avec un vrai sourire, non pas un sourire de convoitise sur les trente euros qu’elle venait de récupérer, mais un vrai sourire, qui emplissait le bureau de poste de sa présence, de sa bonté et de sa lumière.

Des personnes comme elles, j’en vois rarement.

Des personnes vivant sous le seuil de la pauvreté, j’en vois beaucoup trop.

Savez vous, Monsieur le président, qu’aujourd’hui vos concitoyens, malgré la sécurité sociale, ne vont pas (ou au moins retardent) leurs visites chez le médecin, et, en particulier ne se font pas soigner dents et yeux?

Savez vous que des visites chez les spécialistes sont annulées faute de moyens ? Avec des conséquences que vous n’envisagez pas encore, mais qui auront des répercussions dans un futur proche (imaginez des consultations psychiatriques et essayez d’en prévoir les conséquences….).

Des personnes qui recherchent désespérément un travail, un emploi, j’en vois trop.

Des personnes qui doivent se présenter à des emplois bidons d’une heure, à 30 km de leur domicile, je l’ai vu…

Des personnes qui ne savent plus quoi faire, et qui attendent le remboursement de la sécurité sociale pour manger, c’est monnaie courante.

Mais quand je vois que les personnes qui ont un emploi ne peuvent pas ou plus s’en sortir, je suis révolté.

Monsieur le président, il est urgent d’agir; réellement, pour le bien de tous.

Vous êtes le président d’un pays que les autres peuples nous envient, mais regardez dans les rues : sans abris; chômeurs; manifestants et laissés pour compte.

Est ce cela que vous voulez ? Est ce cela que vous avez espéré?

Le premier président de la V république a créé une grande puissance…le second n’a pas eu le temps de faire beaucoup. Le troisième, si je ne m’abuse à créé l’ANPE…le quatrième a voulu changer le monde….le cinquième a laissé son épouse s’occuper des enfants malheureux…Et vous? Quelle trace allez vous laisser ?

Dernières nouvelles éthiques de l’armée du salut ou la gestion de temps de crise du logement social. Ou il est démontré qu’il vaut mieux fermer sa g….

Libération propose une tournée dans un foyer parisien. Hallucinant mais conforme au droit. Cependant, les avantages en nature de la direction sont exorbitants et largement supérieurs au niveau de vie normal des résidents. Un logement et une voiture de fonction sont en particulier en cause.

Lire l’article ici