Project zéro, hackers et google.

 

Au lieu d’obliger nos chères têtes blondes à se manger du code sans avoir appris à lire et écrire correctement (il va être beau ce code !), comme on nous a obligé à intégrer des concepts mathématiques abstraits, réussissant à faire souffrir et rendre ridicules des générations de collégiens et lycéens (qu’est ce que j’ai souffert!), ne vaudrait il pas mieux encourager ceux que cela branche vraiment?

Il y a des tas de possibilité pour inciter en ce domaine. Récompenses, incitations, suggestions. Mais surtout l’incitation à faire mieux que l’autre en faisant ce que l’on aime.

 

Car il y a urgence à nettoyer ce foutu boxon qu’est devenu le web.

http://www.tomshardware.fr/articles/project-zero-hacker,1-53913.html

On va laisser encore Google se coltiner avec ce truc? Quel est son but?

Avec tous les moyens que nous avons, du Cnrs à l’Ena en passant par Saclay et le Cnam nous allons laisser faire n’importe quoi?

Nous avons besoin de génies pour nous protéger, pour combattre les méchants. De vrais méchants. Accessoirement des terroristes.

Et cela ne doit pas être fait en catimini, en embauchant un stagiaire chargé au principal de la machine à café.

Nous devons pouvoir recruter en masse, proposer formations et apprentissage sur des bases solides.

Ce devrait être comme le projet Manhattan :une organisation gérée par l’éducation nationale, sous intendance militaire.

Nous devons lever une armée. Et cette armée est facile à trouver. Avec un peu d’incitations, il ne devrait pas être difficile de former de spools spécialisés ou au contraire totalement éclectiques chargés de découvrir des solutions aux problèmes posés par la mise en coupe réglée d’internet.

Notre indépendance en dépend.

Et ce serait plus utile.

Faire apprendre le code à l’école sera un gâchis de moyens et un gâchis humain. Apprendre le code sans le vouloir ne peut permettre de devenir un parfait informaticien ou programmeur.

 

Ceux qui ont lancé cette réforme savent ils ce qu’est une ligne de code?

10 go to 20

20 go to 30

30 return to 10

Ce n’était pas si loin ce basic….trop basique?

Et si la vision d’Asimov devenait réalité grâce à Google ?

Je rêve de cette civilisation des robots depuis que je suis tout petit.

Car si « Les cavernes d’acier » décrivent un monde que nous connaissons déjà plus ou moins, Avec sa pauvreté et sa mécanisation à outrance, ou les privilèges permettent de rationner avantages et nourriture sur un monde surexploité, je veux croire quant à moi, au bonheur possible grâce aux robots et la robotisation.

Google l’a bien compris….et espère en tirer des bénéfice »s colossaux.

http://www.01net.com/editorial/610838/google-domine-la-competition-de-robots-de-la-darpa/#?xtor=EPR-1-[NL-01net-Actus]-20131223

 

Ce à quoi je ne dis pas non, puisqu’ils vont devoir supporter des sommes cosmiques en recherche et développement avant d’espérer rentabiliser un jour leurs investissements.

Mais à terme j’espère et je crois que l’automatisation, la robotisation, feront plus pour le genre humain que tout autre chose produite par l’homme depuis que l’intelligence est apparue.

Je rêve d’un monde qui me permettrait de libérer mes capacités créatrices, sans être astreint à assumer mes besoins primaires, tâches laissées aux robots.

Quant à ceux qui crient haro sur les machines, pourvoyeuses de chômage, je réponds certes, pour le moment. Mais en ce cas il fallait s’y opposer dès la première machine, (la roue sans doute?), ce que suggère Barjavel dans son roman « Ravages » et surtout dès la taylorisation, et dès l’informatisation ou les télécommunications.

Et je suis persuadé que le problème est à prendre autrement : il nous faut réfléchir non pas à fabriquer plus de profits en détruisant l’humain, mais assurer son épanouissement complet en le libérant de toute entrave mercantile.

Si chacun peut avoir une imprimante 3 D (ce qui pourrait être le cas dans un avenir très proche, que restera t-il à faire ?

A nous de voir, et de savoir : Ibm propose sa projection à cinq ans : http://www.futura-sciences.com/magazines/high-tech/infos/actu/d/technologie-futurologie-ibm-prevoit-big-data-ordinateurs-bienveillants-51088/#xtor=EPR-23-%5BHEBDO%5D-20131226-%5BACTU-Futurologie-:-IBM-prevoit-le-big-data-et-des-ordinateurs-bienveillants%5D

Nous avons besoin de la fibre !!!!

Mr Billaut, en particulier, se bat depuis un moment, suivi par une communauté très large et visionnaires de personnes à connaitre, qui feront la société de demain : http://billaut.typepad.com/

Sa vison de la vie en 2.0, un internet à grande vitesse, une économie numérique de pointe, c’est le défi que nous devons relever en 2012, très vite, si nous voulons pouvoir nous relever économiquement.

C’était la vision de Jude Milhon qui réclamait des modem pour les femmes et du haut débit.

http://owni.fr/2012/07/12/modem-grrrl/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Owni+%28Owni%29

 

Le Cloud computing

Barbare comme non ?

Je trouve aussi.

L’informatique dans les nuages ça vous parle ?

Moi non plus. Heureusement que sur internet on trouve tout, et donc l’explication de ces termes.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Cloud_computing

http://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/le-cloud-computing-explique-aux-nuls_248693.html

 

Est ce la panacée de notre société actuelle ? Pas si sur.

En tout cas de nombreuses interrogations restent sans réponses; vous pourrez lire mon commentaire à l’article de Mr Billaut

http://billaut.typepad.com/jm/2011/12/my-entry.html

Je reste dubitatif et me demande si ce n’est pas surtout un concept marketing, aux risques élevés de main mises sur nos vies.

Google Chrome

Je n’arrive pas à comprendre certaines politiques de Google.

J’utilise depuis sa sortie le logiciel Chrome qui me satisfait bien. Certaines fonctionnalités intéressantes de firefox peuvent ne pas être préésentes, mais dans l’ensemble sa rapidité et sa lègèreté sont largement suffisants pour les utilisations que j’en souhaite.

J’aurais aimé utiliser la barre d’outils de Google….sauf qu’elle n’est pas compatible !!!!

Je ne comprendrais jamais la politique de Google.

Difficile à mettre en oeuvre l’écologie, surtout dans l’informatique

Et c’est particulièrement éclairant sur les nouveaux défis de notre monde de demain.

Pendant l’été de chaleur si meurtrier pour les humains, combien de climatiseurs installés pour les machines, et combien pour les humains?

Demain nous manquerons peut être d’énergie, si une solution rapide n’est pas trouvée; mais en tous cas, la priorité sera pour les machines. http://www.lesechos.fr/journal20100412/lec1_les_strategies/020454595569.htm

Informatique à l’école

Je publie ici un communiqué de l’EPI qui permet une mise à jour de mon article http://vousenpensezquoi.fr/2009/09/19/la-navrante-histoire-du-flop-de-leducation-nationale-dans-le-plan-informatique-et-maintenant-les-netic/

« Cela permettrait également de mettre en place pour la classe de seconde, dès la rentrée 2010, un « enseignement d’exploration » en informatique (actuellement absent de la liste proposée), avec une montée en charge et une généralisation progressives. L’informatique, et les technologies numériques en général, étant des composantes de la culture générale du citoyen, leur enseignement doit être proposé au plus grand nombre. »

Il est dommage que cet enseignement ne voit le jour que dans deux ans. Dans deux ans il sera trop tard. C’est aujourd’hui que nous devons mettre mettre en place les outils de demain.

A quand un plan informatique pour tous pour tout le monde, toutes les populations ; jeunes et moins jeunes et personnes âgées?

Comment pourrions nous nous passer de l’émergence des talents informatiques ou de l’expérience de nos ainés quand on voit comme ceux ci se sont appropriés l’outil informatique.

La Navrante histoire du flop de l’éducation nationale dans le plan informatique et maintenant les netic

Ne revenons pas dessus : le plan informatique pour tous dans les années 80 devaient porter la France loin devant les autres pays (en commençant par rattraper notre retard !)  et préparer nos futurs petits génies.

Ne revenons pas sur cette désagréable expérience, ce gâchis de l’argent public pour l’achat de machines périmées avant d’être achetées, la non préparation des enseignants, mais aussi la non préparation complète des équipes, des salles, et le discours particulièrement mercantile qui s’ensuivit, obligeant les parents à suivre des technologies qui les dépassaient.

Heureusement, nos enfants se sont débrouillés sans l’éducation. Il n’est qu’ à voir aujourd’hui leur démonstration de l’utilisation de l’ordinateur pour leurs activités personnelles, les génies qui se sont formés seuls et par gout dans ces diverses techniques. L’éducation nationale a laissé faire, n’a même pas suivi.

Les ordinateurs achetés à grands frais sont devenus obsolètes, relégués dans les placards.

Aujourd’hui nous arrive une nouvelle idée superbe de l’éducation nationale, qui aurait du être mise en place bien avant.

La disponibilité des cours en ligne.

Une grande avancée, nous dit le ministre, un formidable potentiel.

C’est vrai. C’est non seulement cela, mais bien plus encore.

C’est une nouvelle société de l’éducation qui pourrait voir le jour. Avec la possibilité pour tout un chacun de reprendre ses études bondonnées en cours de route, la formation en cours du soir revisitée, l’aide aux migrants possible à tout moment, l’essor de structures et formations pointues, la création de cours magistraux pointus et techniques dont nous pourrions proposer la disposition aux autres pays moyennant royalties.

Mais pour cela, il faut des moyens :

Techniques : en particulier des serveurs puissants aptes à supporter l’afflux des demandes.

Humains : l’éducation par soi même en autodidacte est une possibilité, mais rien ne remplace l’éclairage et les précisions d’un éducateur, d’un professeur.

Et donc technologiques : tout est possible, mais tout reste à découvrir et à faire : une organisation conséquente doit être mise en place pour accueillir virtuellement ou physiquement, à tous moments, grâce à des équipes motivées et des équipements de pointe (caméras, tableaux blancs virtuels, casques, 3 d, et d’autres technologies encore à découvrir), les personnes prêtes à s’investir mais ayant la demande d’être guidées.

Nous pourrions relever ce défi; un défi créateur de richesses, d’expériences, de diplômés monstrueusement capables.

Un défi créateur de techniques, de technologies.

Un défi rassembleur; un projet de société qui rassemblerait enfin toutes les couches de la population, toutes les strates, que ce soit les banlieues, les handicapés, les zones rurales, les prisonniers…

Oui, mais voila, encore faut il plus qu‘un effet d’annonce; il faut une volonté politique. Nous ne l’avons pas aujourd’hui, car nos politiques en sont encore à essayer de comprendre à quoi sert une souris. C’est ce qui risque de nous arriver encore une fois : la montagne accoucher d’une souris….

L’académie en ligne est ici.

Usage de la calculette au baccalauréat ou autres examens.

Il fut un temps pas si lointain ou la calculatrice (1975) comportait les 4 opérations de base et quelques gadgets (racine , pourcentage..)

Depuis nos députés se posaient des questions : Assemblée nationale 7 mai 1984

« Examens, concours et diplômes (réglementation).
34924 . — 4 juillet 1983. — M . Joseph-Henri Maujoüan du
Gasset expose à M . le ministre de l’éducation nationale que
depuis 1980, l’usage de la calculatrice de poche est autorisée aux
examens . Or, depuis cette date les progrès en électronique ont
transformé ces calculatrices en « mémoires », susceptibles d’engranger
l’équivalent de dix pages de textes (dates . d’histoire, superficies, chiffres
de production, théorèmes de mathématiques, lois physiques, formules,
etc .) .II lui demande si cette évolution de la calculatrice en « mémoire »
tous azimuts ne pose pas de problèmes au niveau des examens. »

En quelques années l’éducation nationale, par la force des progrès technolog »iques, dut accoucher en urgence de circulaires (1) (2) (3), (4) , (5) souvent modifiées ou annulées, concernant la grosseur de celles ci, toujours plus développées, leur capacité mémorielle, leurs possibilités communicantes et les diverses fonctions associées.

La question aujourd’hui ne se pose plus en ces termes.

L’avènement des téléphones mobiles, consoles portables, livres électroniques et divers autres gadgets, plus ou moins utiles mais dotés de capacités mémorielle très importantes, de conservation de gigantesques masses de données exploitables rapidement et immédiatement impose de réfléchir au meilleur moyen d’utiliser dans un but pédagogique ces nouveaux moyens du savoir.

L’expérience du cartable électronique est un début. Il a au moins le mérité de diminuer le déficit futur de la sécurité sociale par la diminution des scolioses!.

La question à se poser est la suivante :

  • Allons nous nier le progrès et limiter arbitrairement l’usage de ces nouveaux objets technologiques, au risque de voir nos chers bambins sécher lamentablement devant leurs copies, n’ayant pas l’usage de leurs diverses extensions robotiques ?
  • Ne devons nous pas plutôt permettre à tous de s’approprier les nouvelles technologies à venir, en insistant sur la recherche de l’information, sur la nécessité de resster curieux, en suggérant une bonne fois pour toutes que toutes ces machines peuvent être utilisées, à la condition expresse pour limiter certains abus, qu’un certain seuil monétaire dans leur achat ne soit pas dépassé.

Je suis partisan quant à moi de l’extension des ordinateurs portables (solides et bienc onçus) dès les premiers âges, reliés par wi fi à internet qui plus est!

Quant aux sujets des matières, et les examens, tout le concept aujourd’hui est à revoir.

Or la lecture et l’aprentissage du calcul, ainsi que les travaux manuels et artistiques, il faut réapprendre non pas bêtement par coeur, cela ne set plus à rien aujourd’hui; mais apprendre à traiter l’information, à vérifier les diverses sources afin de ne rien prendre pour argent comptant.

Il faut former nos élèves, nos étudiants à avoir un esprit critique, analytique, et curieux en les intéressant à découvrir et à réaliser qu’ils ne sont pas seuls sur la terre, mais au contraire qu’ils doivent apprendre des autres, dans l’optique d’un échange mondial et universel.

Il nous faut former à devenir les nouvelles élites de demain, par l’apréhension des nouvelles technologies, des possibilités sans cesse développées des bases de connaissances mise en ligne et disponible de manière aisée.

Il nous faut préparer les nouveaux enjeux de demain, par une confrontation amicale mais acharnée dans la recherche, la connaissance,et la furieuse envie d’apprendre, comprendre.

Cela passe non pas par une énième réforme de l’éducation antionale, mais au contraire par un retour aux sources : l’émerveillement devant la nature, la recherche de l’excellence, la découverte de de l’apprentissage, le sens de la pédagogie appliquée à la recherche de la connaissance.

Cela demande aussi la recherche de nouvelles méthodes, l’essor de la psychologie éducative, des sciences sociales afin d’accompagner dans cette démarche les futurs citoyens.

Car si les machines, si perfectionnées puissent elles être, sont la pour nous aider, le dernier mot, dasn tous les cas, ne pourra revenir qu’à l’homme, devenu éternel étudiant, qui, accumulant les connaissances par ses recherches, sera peut être capable, du moins pour certains defaire le lien entre divers éléments de nature et de provenances différentes, afin de proposer de nouvelles idées, de créér ou fabriquer de nouvelles idées , de nouveaux concepts applicables à l’industrie.

Ce qui implique un plan ambitieux de formation des maîtres, un plan d’équipement de tous les foyers (la fibre optique devenant une nécessité) et une motivation qui pourrait être financière à la recherche et la prospective.

Nous avons d’énormes défis à relever, mais en sommes nous capables? Je gage que oui….
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Lettre ouverte à Monsieur le président de la république (….)

Emploi : pourquoi les femmes se détournent des métiers de l’informatique

 

Article sur Zdnet; les commentaires sont excessivement intéressants et donnent de premières pistes.

 

Monsieur le président,

  1. Ne gâchons pas nos formations, nos formateurs, nos réseaux d’éducation, nos universités, notre système éducatif et notre système de recherche.

Ma vie a été particulièrement marquée par cette obligation absurde et totalitaire de faire des maths.

Les mathématiques sont importantes et nécessaires.

Mais pourquoi obliger tout le monde à en faire?

C’est vous dégouter à vie, arriver à un rejet

2. Ne revenons pas sur les erreurs du plan informatique pour tous qui a proposé de quoi dégouter une génération complète à l’informatique avec des ordinateurs obsolètes et totalement à part dès leur mise en place, et n’offrant aucun moyens aux formateurs et aux éducateurs, dès la mise en place du plan.

 

3. Ne gâchons pas le plaisir, la créativité et le talent de ceux qui seront les programmeurs de demain et les créateurs de  richesses. En particulier, rapprochons nous des communautés du libre. Et amenons les à nous aider, à créer, pour la société, et pour créer de la richesse. En leur en donnant les moyens.

Nous allons avoir besoin d’une réelle volonté politique, d’un investissement dans le temps.

Et ce n’est pas irréalisable, si l’on prend le modèle Google, qui parti de rien peut employer aujourd’hui plusieurs centaines de milliers de personnes.

Je ne dis pas que nous devons concurrencer Google ou Microsoft. Mais nous avons des atouts, des opportunités. Rappelez vous le Goupil ou le Bee bop de France télécom.

Nous avons de magnifiques chercheurs, prêts à s’investir; nous avons de magnifiques esprits jeunes dans toutes les strates de la société, prêts à alimenter cette proposition, à l’améliorer et à créer cette richesse dont nous avons besoin.

 

Monsieur le président, il est urgent d’investir dans l’informatique, les réseaux, afin de donner envie à nos chercheurs, nos jeunes, de s’investir totalement, dans la joie et la bonne humeur.

Imaginez la puissance de quelques centaines de milliers de têtes bien équipées, supérieures à plusieurs ordinateurs du type CRAY.

Imaginez la mise en réseau et en commun de ces centaines de milliers de volontaires ?

Je n’imagine même pas les potentialités à court terme….

Et ce n’est que ma première idée….