Réduire les dépenses publiques ?

Dans une interview accordée à LCI, Mr TRICHET ( président de la Banque centrale européenne (BCE)) a exhorté la France en particulier, ainsi que les autres pays de la zone euro a réduire leurs dépenses, afin de ne pas porter atteinte à la confiance des citoyens.

Nous sommes, dois je le rappeler depuis la première crise pétrolière, et malgré diverses politiques économiques visant à rétablir notre pays, en récession.

Les mesures d’économie, les plans de réduction des budgets se succèdent sans discontinuer, alors que l’on nous annonce le probable effondrement de notre système de soins, ainsi que celui de nos retraites dans un avenir très proche.

La  dette atteindrait 77% du PIB !

Chiffre énorme, mais qui ne signifie pas grand chose.

Or le fait que nous dépassons du double (8%du pib) le déficit public autorisé par le pacte de stabilité européen, ce qui nous met bien évidemment dans les mauvais élèves de l’Europe, le poids de la dette n’est qu’un élément à prendre en compte parmi divers facteurs aussi importants.

Un Etat ne se conduit pas comme un ménage. Son budget ne dépend pas forcément des économies réalisées. Un bas de laine n’est pas forcément gage de bonne santé.

Or depuis 1973, et plus particulièrement les années 1980, le budget de l’Etat français est en déficit constant.

Cela ne serait rien, si la croissance économique pouvait nous permettre d’augurer de vraies recettes; il n’en sera rien pour les prochaines années. Et très probablement plus jamais. Sauf à prévoir une nouvelle expansion, du type « new deal » américain. Ou une découverte si improbable qui permettrait de ne plus payer l’énergie (encore qu’en ce cas, le chômage atteindrait des proportions plus que considérables…).

La réalité est la suivante : nous sommes en cessation de paiement dans un avenir très proche, ou en banqueroute, si l’on préfère.¢

Quelles sont les solutions qui s’offrent ?

Écouter Mr Trichet ?

Il y en a assez de ces plans d’économies mal ficelés, de ces dépenses parallèles qui augmentent plus vite que les économies. De plus, nous sommes loin du compte aujourd’hui. Si cela était peut être possible hier, cela ne l’est plus depuis 1975 et la création des ANPE, qui deviennent aujourd’hui les pôles pour l’emploi, complètement dépassés à ce jour et pour lesquels il va falloir dépenser sans compter pour faire face à l’afflux des futurs nouveaux chômeurs.

Continuer à fabriquer de nouvelles mesures d’économie, en ne remplaçant pas les fonctionnaires ou les salariés ?

Une simple goutte d’eau dans un déficit abyssal. Qui de plus apporte un mauvais service, heurte les populations inquiètes de l’avenir, et provoque mécontentements, créé les tensions que nous connaissons actuellement économiquement, et socialement.

Emprunter pour créer des facteurs de croissance (à condition que l’argent soit effectivement utilisé dans des constructions utiles et porteuses de bénéfice, ce que ne serait pas la rénovation de l’Elysée par exemple, pourtant nécessaire)?

Cela prouve simplement qu’il y a de l’argent, peut être pas aux endroits voulus, ou nécessaire mais…

Cela me rappelle les différents emprunts de l’Etat français, qui nous ont coutés souvent si chers et ont permis la naissance de l’augmentation facile des impôts indirects….

Ce n’est pas la solution; cependant c’est un phénomène à ne pas négliger.

Mais quand EDF emprunte pour demander dans le même temps une augmentation de 20% de ses tarifs….

Que nous reste-il ?

J’ai émis sur ces différentes pages, quelques propositions.

Nous n’avons pas le choix et nous devons parier sur l’avenir.

Deux axes sont à explorer :

  • Créer de la richesse avec par exemple, la recherche et le tourisme, qui sont nos deux fleurons.

Nous avons la chance d’avoir un pays magnifique, une notoriété mondiale. Exploitons la pour d’une part, offrir aux touristes des séjours remarquables et merveilleux, qui nous permettrons de créer de l’emploi.

Dans le même temps, cette notoriété, utilisons la pour promouvoir nos centres de recherches, nos savants, et faire venir le gratin de la recherche mondiale, à des conditions avantageuses que même les américains devront nous envier.

Nous devons, cependant, être capables d’accueillir ces étrangers, afin qu’ils se sentent bien et désirent rester chez nous. Un plan d’apprentissage des langues et de l’accueil, du service, doit être mis en place, à grande échelle.

A quoi servent les études d’aujourd’hui, si nous ne pouvons pas échanger avec le reste du monde et restons dans notre monde franco-français ou francophone (qui se réduit comme une peau de chagrin)?

Promouvoir nos ressources, nos richesses, afin de les vendre dans le monde entier. Nos derniers fleurons étaient par exemple l’aéronautique : de magnifiques réalisations, de retentissants échecs commerciaux.Nous ne pouvons nous permettre de voir se reproduire ce genre de dépenses inconsidérées qui nuisent à notre image, gaspillent nos ressources, et fabriquent de la misère.

Certaines pistes commencent à être exploitées : l’INA qui permet de proposer un catalogue de publications audio visuelles extrêmement important grâce à une mise en ligne pertinente, moyennant finances.

Mais est il normal de voir Google s’insérer dans nos bibliothèques, alors même que nous avons Gallica ?

La libre concurrence nous en avons vu les méfaits avec l’Ami, l’environnement détruit ou pollués

  • Mais tout cela est bien beau, ce n’est pas suffisant. Nous pouvons, nous devons être force de proposition. Nous devons nous mettre sans tarder à ériger le monde de demain, le monde de nos enfants. Il n’est pas acceptable que des millions, voire des milliards de personnes vivent en dehors des éléments qui composent notre vie occidentale industrialisée comprenant entre autre l’hygiène, l’eau potable, l’alimentation et la santé.

Il est de notre devoir, de notre responsabilité d’hommes et de femmes de faire enfin fi des finances et partager équitablement les ressources qui nous appartiennent en commun.

Il n’est pas normal d’accepter que certaines régions ou monuments deviennent patrimoine commun de l’humanité, quand des personnes meurent de faim ou de maladie.

Nous avons un changement de mentalité terrible à assumer.

Nous avons besoin d’expliquer, de proposer et de convaincre. C’est un challenge, mais un challenge vital.

Sinon, demain, c’est à dire dans les prochaines années, notre monde éclatera, et nos petites vies tranquilles n’auront plus vraiment de prix….

Un pot de mayonnaise et un peu de café ?

Je vous livre ce texte tel que  je l’ai reçu; pour quelque réflexion :

 

L’histoire d’un pot de mayonnaise et de café.Quand il te semble qu’il y a « trop » de choses dans ta vie, quand 24 heures ne te semblent pas suffisantes… Rappelle-toi du pot de mayonnaise et du café !Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe, prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot, commença à le remplir avec des balles de golf. Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein. Les étudiants étaient d’accord pour dire que OUI. Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides entre les balles de golf. Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein. Ils dirent à nouveau OUI.Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans le pot de mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein. Les étudiants répondirent unanimement OUI. Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu du pot de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre les grains de sable. Les étudiants se sont alors mis à rire…Quand ils eurent fini, le prof dit :« Je veux que vous réalisiez que le pot de mayonnaise=2 0représente la vie. Les balles de golf sont les choses importantes comme la famille, les enfants, la santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et qu’il ne nous restait qu’elles. Les billes sont les autres choses qui comptent comme le travail, la maison, la voiture, etc… Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie. Si on avait versé le sable en premier, il n’y aurait eu de place pour rien d’autre, ni les billes ni les balles de golf. C’est la même chose dans la vie. Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps pour les petites choses, nous n’aurons jamais de place pour les choses vraiment importantes. Faites attention aux choses qui sont cruciales pour votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps d’aller chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer ses loisirs favoris. Il restera toujours du temps pour faire le ménage, réparer le robinet de la cuisine… Occupez-vous des balles de golf en premier, des choses qui importent vraiment. Etablissez des priorités, le reste n’est que du sable. » Un des étudiants leva alors la main et demanda ce que représente le café. Le professeur sourit et dit :« C’est bien que tu demandes. C’était juste pour vous démontrer que même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura toujours de la place pour une tasse de café avec un ami. »Envoie ce mail à toutes les personnes qui comptent, à moi y compris, comme ça je saurai que j’ai une place dans le pot de ton café

Un pot de mayonnaise et un peu de café ?

Je vous livre ce texte tel que  je l’ai reçu; pour quelque réflexion :

 

L’histoire d’un pot de mayonnaise et de café.Quand il te semble qu’il y a « trop » de choses dans ta vie, quand 24 heures ne te semblent pas suffisantes… Rappelle-toi du pot de mayonnaise et du café !Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe, prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot, commença à le remplir avec des balles de golf. Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein. Les étudiants étaient d’accord pour dire que OUI. Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides entre les balles de golf. Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein. Ils dirent à nouveau OUI.Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans le pot de mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein. Les étudiants répondirent unanimement OUI. Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu du pot de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre les grains de sable. Les étudiants se sont alors mis à rire…Quand ils eurent fini, le prof dit :« Je veux que vous réalisiez que le pot de mayonnaise=2 0représente la vie. Les balles de golf sont les choses importantes comme la famille, les enfants, la santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et qu’il ne nous restait qu’elles. Les billes sont les autres choses qui comptent comme le travail, la maison, la voiture, etc… Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie. Si on avait versé le sable en premier, il n’y aurait eu de place pour rien d’autre, ni les billes ni les balles de golf. C’est la même chose dans la vie. Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps pour les petites choses, nous n’aurons jamais de place pour les choses vraiment importantes. Faites attention aux choses qui sont cruciales pour votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps d’aller chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer ses loisirs favoris. Il restera toujours du temps pour faire le ménage, réparer le robinet de la cuisine… Occupez-vous des balles de golf en premier, des choses qui importent vraiment. Etablissez des priorités, le reste n’est que du sable. » Un des étudiants leva alors la main et demanda ce que représente le café. Le professeur sourit et dit :« C’est bien que tu demandes. C’était juste pour vous démontrer que même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura toujours de la place pour une tasse de café avec un ami. »Envoie ce mail à toutes les personnes qui comptent, à moi y compris, comme ça je saurai que j’ai une place dans le pot de ton café