On peut être inquiet pour la socialisation de l’humanité future….
Mes idées ou pensées, ou de quelques réflexions
Nous vivons dans un monde merveilleux, mais la solitude est toujours un cercueil de verre
On peut être inquiet pour la socialisation de l’humanité future….
En tout cas c’est cr que propose le ministre de l’économie numérique……
Donc nous sommes d’accord ?
Les plus gros utilisateurs des autoroutes et des routes ce sont les chauffeurs routiers. Ce sont eux qui consomment aussi le plus de pétrole (avec les avions).
Donc on va leur faire payer la réfection du bitume, les parkings et installations sanitaires et les raffineries et oléoducs.
Il faudrait peut être arrêter de dire tout sans connaitre les dossiers.
Et plutôt que de freiner les investissements en réfrénant les besoins des con (citoyens), ne vaudrait il pas mieux investir dans des réseaux numériques de qualité, fiables et aptes à absorber la croissance de la demande ?
Juste une petite anecdote.
Le nombre d’études diverses prouvant à grands renforts de chiffres et de cobayes volontaires ou non de la nocivité, ou de l’innocuité du café est phénoménal. Pendant plus de 20 années, il ne s’est pas passé une année sans qu’une nouvelle, sur la foi de chiffres et de tableaux annonce médiatiquement la maladie ou l’effondrement certain de la personne buvant trop de café, quand d’autres essayaient de prouver qu’il est bon de boire une certaine quantité de café.
Aujourd’hui, la caféine est passé dans les boissons si prisée des jeunes, apportant d’autres maux (l’alcoolisation rapide et massive), mais son utilisation ne prête plus guère à controverse.
Puis sont arrivés les jeux vidéos, si prenants pour les jeunes qui en arriveraient à se désocialiser, et à devenir des zombies, à en perdre toute notion de la vraie vie.
Mais la Wii est passée par la, et aujourd’hui elle est proposée avec profit dans les maisons de retraite pour freiner les méfaits de l’âge ou de diverses maladies, augmenter les capacités intellectuelles et physiques, et créer du lien social.
Et aujourd’hui, nous assistons à une débauche d’études contradictoires sur les méfaits, ou bienfaits, des réseaux sociaux.
La semaine dernière Twitter était à l’honneur
http://www.francesoir.fr/nouvelles-technologies/etude-twitter-est-bon-pour-la-sante
quand aujourd’hui Facebbok est à l’index :
http://www.commentcamarche.net/news/5853514-facebook-serait-il-dangereux-pour-la-sante
Gageons que de nouvelles études devront mettre celles ci dos à dos, afin de nous mettre d’accord .
Juré, je vais aller twitter, mais comme je suis facebooké, je vais arrêter…
Si la théorie des six degrés de séparation que nous rappelle Aziz Haddad sur le site Mashable France, théorie établie par le hongrois Frigyes Karinthy n’est plus forcément à l’ordre du jour, malgré les diverses études, recherches et projets menés suite à diverses démonstrations plus ou moins idéalistes, et encore en 2008 par des chercheurs de Microsoft (!), elle reste séduisante aujourd’hui, si son postulat de départ est vrai : il y aurait 5 personnes au plus entre moi et n’importe qui d’autre dans le monde…
Utopique ? Peut être pas. Le site de réseautage social Facebook nous entraine sur de nouveaux territoires inexplorés à ce jour, définissant les limites d’un monde toujours plus étroit et peuplé.
Attachant ? Oui et non
Il n’est pas neutre de se croire à portée de tout un chacun, de pouvoir flirter avec les grands de ce monde ou son sportif favori, si l’on croit pouvoir le joindre grace à quelques relations minimales.
C’est même plutôt flatteur et motivant….
Cependant dans le même temps, on peut se demander si malheureusement cette théorie frappante au niveau intellectuel n’est pas totalement inadaptée dans nos sociétés occidentales industrialisées.
S’il est probable que nos relations particulières nous permettraient de connaitre des personnes à l’autre bout du monde, ou à côté de chez soi, dans la pratique, il suffit d’ailleurs de consulter la pauvreté en général des échanges des différents réseaux sociaux, le manque d’intérêt que se portent les gens en dehors de leur cercle familial élargi (famille et travail) font qu’en définitive la compréhension de cette théorie permet peut être l’échaffaudage de diverses applications pratiques au niveau des flux collectifs d’échanges, sans pour autant apporter aucunement un mieux être social.
Le thème des transports illustre parfaitement mon point de vue.
Plus les infrastructures évoluent, planifiées pour permettre des échanges lointains de plus en plus rapides et courants, mettant les Etats unis à deux ou trois heures eulement de la France, et Strasbourg par le train à cette même durée, plus les échanges sont moins fructueux, plus ternes, et dans le même temps éloignent chacun de son cercle social.
Il est frappant de constater dans les trentes dernières années, sans réelle raisons apparentes, la déliquescence de la société française, éclatée de plus en plus au quatre coins de l’hexagone. Plus apparait un rapprochement possible des personnes, et plus celles ci s’éloignent, matériellement du fait de demandes croissantes d’expatriation pour le travail, ou socialement, préférant justement une connexion à Facebook ou Twitter, moins marquants émotionnellement, et plus tranquilisants intellectuellement.
Le monde se rétrécit, les échanges se sont mondialisés, on peut manger ce que mange son voisin de l’autre côté de la mer, mais dasn le même temsp transparait une indifférence marquée à tout ce qui n’est pas soi, ou ses très proches.
Nous en avons pleinement conscience : il suffit de parler de sa santé pour éloigner rapidement tous ses proches et ses amis….(1)
La théorie est belle mais la pratique laisse désespéré de la nature humaine.
(1) Un exemple sur le site MaBruetOrka
PS : nous ne désespérons pas cependant de la nature humaine. Tant de monde bénévole se focalise sur la détresse humaine. Cet article n’est qu’une ébauche de réflexion espérant donner matière à réflexion.
Ce commentaire fut laissé aujourd’hui en réponse à une interrogation sur mon réseau d’une personne se plaignant de la futilité des échanges virtualisés de Facebook.
Et pourquoi ne pas en rire ?
C’est plus agréable que de s’énerver sur ce genre de sujet.
FB a un gros avantage : échanger rapidement sur de longues distances.
C’est assez merveilleux pour un groupe familial éclaté par exemple, ou un groupe de pression ou politique.
Maintenant quant au niveau des échanges sur fb, il est identique à celui de msm ou des sms.
Mais est ce grave ?
Je ne le crois pas.
Cela participe d’un défouloir nécessaire et salvateur, qui permet de diminuer la pression sociale et familiale, en oubliant (en s’oubliant) sur les murs fb de ses amis proches ou non, sans que pour cela les conséquences en soient extrêmes.
L’avantage de ce genre d’endroit dans le même temps, c’est la courtoisie qui y règne, au grand dam des forums dans lesquels on retrouve souvent des débats passionnés et souvent instables, et loin de la netique.
Ce commentaire fut laissé aujourd’hui en réponse à une interrogation sur mon réseau d’une personne se plaignant de la futilité des échanges virtualisés de Facebook.
Et pourquoi ne pas en rire ?
C’est plus agréable que de s’énerver sur ce genre de sujet.
FB a un gros avantage : échanger rapidement sur de longues distances.
C’est assez merveilleux pour un groupe familial éclaté par exemple, ou un groupe de pression ou politique.
Maintenant quant au niveau des échanges sur fb, il est identique à celui de msm ou des sms.
Mais est ce grave ?
Je ne le crois pas.
Cela participe d’un défouloir nécessaire et salvateur, qui permet de diminuer la pression sociale et familiale, en oubliant (en s’oubliant) sur les murs fb de ses amis proches ou non, sans que pour cela les conséquences en soient extrêmes.
L’avantage de ce genre d’endroit dans le même temps, c’est la courtoisie qui y règne, au grand dam des forums dans lesquels on retrouve souvent des débats passionnés et souvent instables, et loin de la netique.