Lettre ouverte à Monsieur le président de la république…

Monsieur le président,

Il nous faut mettre enfin Les moyens.

Et les moyens se trouvent non pas dans la technologie, mais, comme vous le dites depuis un certain temps, dans l’esprit d’initiative et d’entreprendre des français, et dans leurs idées.

Il est temps de donner les moyens à cette combativité, à ces idées de faire gagner la France.

Cela impose une mobilisation, un ou des plans ambitieux.

Cela impose une volonté politique, et les moyens.

Cela impose aussi un consensus, loin des guerres intestines; et surtout cela impose de modifier la façon de penser de beaucoup.

Je propose que soit donné ses chances à chacun, et pas seulement une chance ou sa chance.

Cela imposera un encadrement, nécessaire et utile, afin de pouvoir vérifier l’efficacité de ces plans. Même si dans l’absolu, celui ci devrait être supprimé par la suite.

Nous avons suffisamment de chercheurs, scientifiques, historiens, mathématiciens, visionnaires, artistes, créateurs, gestionnaires, financiers, traders, et nous avons tous les autres pour les supporter.

 

Que faut il à la France ? Une IDEE, des idées. Des processus créateurs de richesse. Donc des concepteurs, et des fabricants; enfin des commerciaux.

L’idée principale serait de donner sa chance à tout un chacun, et à tous ceux qui le voudront.

Des campus de recherche seront créés, pour lesquels seront mis à contributions tous ceux qui voudront participer, intellectuellement dans leur création, élaboration, et techniquement dans leur conception, avec dans l’esprit la mise en application de tout ce qu’il peut y avoir de mieux au niveau techniques architecturales, économies d’énergies, économies; puis organisation et gestion des possibilités de recherche créatives au sein de ces entités, puits de création et d’échange tous azimuts.

Ces campus seraient à disposition pour toute personne souhaitant élaborer un concept, avec mise à disposition de ressources matérielles conséquentes (en moyens techniques ou humains).

Les premiers demandeurs pourraient être évalués sans à priori sur la base des connaissances actuellement en vigueur par des jurys ou bien, pourquoi pas, par des panels d’internautes.

Les projets retenus devraient avoir dans un premier temps une utilité pour le pays. Dans un second temps pourrait être envisagées des recherches plus expérimentales.

Ces concepts implique une volonté réelle car demande des moyens : ces nouveaux campus devront être construits sur de nouveaux terrains, et impliqueront de nouvelles infrastructures : routes, trains, terrains de sport, immeubles de logement, restaurants, services etc….

Même si ne seraient conviés que des volontaires, cela demande des moyens conséquents.

Mais si c’est un pari sur l’avenir, c’est aussi une formidable opportunité de créer, d’élaborer et de construite de nouveaux mondes réels à venir; ceux ci devraient être créateurs à moyen terme de richesses pour tous.

Il existe plusieurs possibilités de récompenser ces futurs créateurs, sans que ce soit forcément un cout supplémentaire exorbitant.

 

 

Mais ce n’est pas la seule proposition que je ferais….

Un projet de société, lettre ouverte à monsieur le président de la république….

Monsieur le président,

Allons nous continuer longtemps à briser les vies, à casser la société, à fabriquer des légumes (assistés)?

Nous sommes, et vous en êtes les précurseur en France, sous l’égide de « 1984 », et prêt à entrer dans l’ère de « soleil vert ».

Je ne peux croire que ce soit cela que vous vouliez pour la France.

Je ne peux croire que vous ne soyez pas prêt à vous battre, à combattre et à lutter pour que cela n’arrive pas.

Nous fêtons aujourd’hui les 20 ans de l’internet, qui devait être un tel outil, si magnifique et décrié. Et 20 ans naissaient l’anpe. (aujourd’hui le pôle emploi).

Dans le m^me temps quoi qu’en disent vos ministres, nous assistons à la casse du système social créé après guerre.

Mais dans quel but ?

Faire du profit?

Gouverner le monde ?

 

Je vous dis que vous en porterez la responsabilité, mais qu’en ce cas vous ne tiendrez pas votre quinquenat.

N’avez vous pas envie dêtre celui qui a redonné à la France ses lettres de noblesse, une assise internationale avec qui l’on devra compter, telle le siècle des lumières ?

Ce n’est pas en abandonnant le français dans le monde, d’ailleurs.

 

Je propose non pas une solution, ou des solutions, mais un projet. Un vrai projet de société que je vous offre.

 

Mais il faut abandonner la sacro sainte idée de dépenser moins, de faire des économies, sans cependant dépenser à tout va.

Dépenser moins, on nous le demande depuis 1973; économiser, se restreindre, cela ne nous a rien apporté. Malheureusement, quand on regarde les différents déficits qui enflent…

Nous avons la chance d’avoir un beau pays,des hommes et des femmes entreprenants, des personnes douées et volontaires; un système scientifique et un réseau universitaire dense.

Nous avons encore de l’espace, des zones encore vierges.

Et nous avons toujours les infrastructures de nos armées que nous pouvons remettre en fonctionnement pour d’autres projets.

Je vous propose donc de remettre en fonction le « service militaire adapté ».