#Touche pas à….

Un bus de la Ratp : monte un homme par la porte arrière avec sa trottinette. Evidemment il ne badge pas.

Le bus recommence à rouler.

Et contrôle des billets !

Les contrôleurs informent le contrevenant de son défaut de validation de son titre et de l’interdiction des trottinettes dans les bus.

Explications houleuses, le contrevenant estimant qu’ayant un titre de transport c’était bien suffisant et qu’il ne comprenait pas pourquoi on l’agressait ; grands mouvements et contrôleur pris à partie. Intervention des forces de police demandée, passagers pris en otage. Le chauffeur évacue tous ceux qui le veulent.

#stop

Marre de cette agressivité devenu coutumière. Marre de ces personnes qui transgressent sans jamais vouloir reconnaître leurs torts.

Marre pour ces hommes et femmes qui risquent leurs vies (rien n’indiquait que ces deux contrôleurs, un homme, une femme, pourrait parvenir à tenir tête sans risque à cette personne).

Marre pour tous ceux qui meurent parce qu’ils sont inconscients, ou qui restent paralysés à vie pour le non respect des règles et des normes.

ASSEZ !

#touche pas à mon contrôleur

#Touche pas à mon policier

#Touche pas à mon pompier

#Touche pas à mon infirmière

#Touche pas à mon postier

#Touche pas à mon soldat

#Touche pas une femme

#Touche pas un enfant

#Touche pas un handicapé

Et enfin : respecte toi, et respecte les #femmesdeménages et les #employésmunicipaux.

Désolé pour ceux que j’ai oublié.

Dernière chose : il y a des lois qui existent, des règlements. Un contrôle, c’est pour le bien de tous. Si tu ne veux pas le respecter, n’entre pas dans un bus.

Et tu as le droit de porter #plainte ou de #contester, ça fait partie de tes #droits ! (même si tu ne le mérites pas)

Ah et pour ceux qui adorent klaxonner : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13471?xtor=EPR-100

Et enfin ……les trottoirs ne sont pas des pistes cyclables ; et vous n’êtes pas sérieux ni corrects.

La santé en France fout le camp.

Pour vous en convaincre les statistiques proposées par le gouvernement concernant la tuberculose.

Le moins que l’on puisse dire est « peut mieux faire ».

En attendant et malgré les explications alambiquées du ministre, la réussite de la protection contre cette maladie contagieuse est loin d’être atteinte.

Et tout est à l’avenant.

Aujourd’hui, pour gagner du temps et des moyens on ne fait plus que des projections, des statistiques, des échantillonnages

Au risque de passer à côté de la question; de la à prévoir un jour une grave épidémie…..

13ème législature
Question N° : 3283 de Mme Bérengère Poletti ( Union pour un Mouvement Populaire – Ardennes ) Question écrite
Ministère interrogé > Santé, jeunesse et sports Ministère attributaire > Santé et sports
Rubrique > santé Tête d’analyse > tuberculose Analyse > lutte et prévention
Question publiée au JO le : 14/08/2007 page : 5255
Réponse publiée au JO le : 10/08/2010 page : 8897
Date de changement d’attribution : 12/01/2009
Texte de la question
Mme Bérengère Poletti attire l’attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports sur la tuberculose. En effet, cette maladie n’a pas disparu et il apparaît même que de nombreuses régions, notamment très urbanisées, demeurent touchées. A ce titre, il semblerait urgent d’élaborer un programme de lutte contre la tuberculose avec notamment une meilleure prise en charge des moyens de lutte et de la politique vaccinale. Aussi, il lui serait agréable de connaître la position du Gouvernement quant à la situation épidémiologique de la France concernant la tuberculose, d’une part, et quelles solutions il compte mettre en oeuvre afin de renforcer la prévention et la vaccination de cette maladie, d’autre part.
Texte de la réponse
L’obligation de vaccination par le BCG des enfants a été suspendue le 11 juillet 2007, après avis du comité technique des vaccinations. Cette décision a été prise en particulier au regard de la baisse majeure de l’incidence de la maladie au cours des dernières décennies, du rapport bénéfice/risque du vaccin qui dévenait défavorable et des limites de son efficacité. Cette obligation a été remplacée par une recommandation forte de vaccination des enfants les plus à risque de tuberculose. Les estimations de couverture vaccinale par le BCG reposent sur différentes sources telles que des enquêtes auprès des professionnels de santé. Ainsi, l’Institut de veille sanitaire (InVS) a réalisé en juin 2009 une enquête rendue publique à la mi-février 2010. Cette enquête porte sur la vaccination par le BCG chez les enfants nés après la suspension de l’obligation vaccinale et suivis dans les PMI de France. Elle confirme que la couverture vaccinale par le BCG est élevée. Une autre source permettant une estimation départementale de la couverture vaccinale est l’analyse des certificats de santé des 9e mois (CS9) et 24e mois (CS24) reçus au conseil général et réalisée par le service de PMI, sur la base d’un échantillonnage. Une analyse sur l’origine de ces CS montre que l’examen médical du CS9 est réalisé à 70 % en PMI (qui voit en consultation 70 % des enfants de 0 à 2 ans) et ce pourcentage est de 71 % pour les CS24. Les informations disponibles ne permettent pas la ventilation entre les catégories de professionnels vaccinateurs (PMI, libéraux, centres de santé, etc.). Ce constat ne conduit pas à baisser la garde mais, au contraire, à poursuivre et à renforcer les actions de lutte contre la tuberculose assurées par les acteurs de terrain, en particulier les mesures d’information et de formation des professionnels de santé. Les résultats obtenus sont encourageants, mais ils restent insuffisants. En effet, la ministre de la santé et des sports souhaite que le programme de lutte contre la tuberculose soit renforcé sur la totalité du territoire, dans l’objectif, au-delà de la maîtrise de l’épidémie, de parvenir à faire diminuer l’incidence de la tuberculose dans notre pays. C’est un enjeu majeur de réduction d’une inégalité sociale et territoriale. Pour cela, et sans attendre la fin de ce programme, le Haut Conseil de santé publique a été saisi sur trois points : l’évaluation du programme de lutte contre la tuberculose, l’appréciation des conséquences de l’obligation vaccinale, la proposition de mesures rectificatives le cas échéant.

Maria Montessori

Je regarde en ce moment le téléfilm qui reprend sa vie et sa méthode d’éducation, basée en particulier sur le premier principe de la science : l’observation.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Maria_Montessori

http://www.ibe.unesco.org/publications/ThinkersPdf/montessf.pdf

http://www.montessori-france.asso.fr/

Et je me dis qu’il serait peut être temps de revenir aux principes de base de notre éducation, si critiquée de toute parts.

Je vais (je l’espère d’ailleurs) faire bondir éducateurs et enseignants. Avons nous besoin d’enseignants en nombre ou d’enseignants à l’écoute?

Jamais ne s’est posée la question du maitre, solitaire dans sa classe, qui emmenait seul ses élèves, au long de la journée jusqu’au certificat d’études.

Jamais ne s’est posée la question de la classe unique dans les écoles rurales….

Et pourtant…que deviennent actuellement nos enfants, laissés souvent à eux même malgré de lourds investissements d’accompagnement pour ceux en difficultés….Et un nombre encore important d’enseignants ?

Que deviennent nos enfants, laissés au bord de la route d’un système qui ne croit plus en eux, qui ne croit plus en l’avenir, en « l’éducation des êtres humains ».

Un  enfant à qui l’on offre la vie en apprentissage, que l’on guide, et qui reçoit amour et attention ne pourra être mauvais ensuite; et conduira sa vie avec confiance malgré les difficultés. Les enfants sont l’avenir d’un pays, nous en sommes à plus de deux générations sacrifiées actuellement.

Or « l’enfant nouveau, l’enfant exalté » n’est plus qu’un souvenir aujourd’hui.

Depuis longtemps, la recherche pure, la découverte n’est plus l’important. Ce qui importe c’est de survivre pour cela de gagner de l’argent. Au mépris de la vraie vie, par obligation.

« Le renouvellement de la vie » n’est plus à l’ordre de jour.

Pourtant nous avons tous et toutes un devoir : permettre à nos enfants d’apprendre, en agissant en interaction avec le monde qui les entoure. Et pour cela nous devons les y aider.

Car aujourd’hui, par  un raccourci rapide, les cités s’enflamment et les stades aussi. Les écoles laissent entrer le mauvais côté de la rue, malgré les portes closes et les caméras.

Les jeunes laissés pour compte d’un système inopérant refusent la société qui leur est proposée, le « no future » d’une société proche de la mort économique et financière.

Mais ils ont besoin d’aide. Ne laissons pas nos enfants sur le bord de la route.

« Aide-moi à faire seul »

Les adultes éducateurs se mettent au service de l’enfant pour l’aider à devenir un être libre.