Hydratation et santé au travail.

J’ai toujours estimé que les conditions de travail devaient commencer par des bases simples.

Etre bien au travail commence par de bonnes conditions de travail.

 

Ces conditions de travail se résument à quelques bases :

  1. un climat (température, hygrométrie) confortable.
  2. des locaux agréables et propres
  3. des relations humaines cordiales
  4. une hydratation constante.

Or, le 4 ème point s’avère fortement oublié.

Dans les grandes entreprises, en général, des machines distributrices de boissons moyennant paiement sont souvent installées, remédiant à cette problématique.

Mais dans les Pme, la réglementation est rarement respectée.

Elle est pourtant précise et simple à faire appliquer.

« Article R4225-2 du code du travail :
L’employeur met à la disposition des travailleurs de l’eau potable et fraîche pour la boisson.

http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000018532169&cidTexte=LEGITEXT000006072050

 

Les obligations de l’employeur sont limitatives :http://www.juritravail.com/idees-recues/Id/202

 

Pourtant la question est loin d’être réglée par méconnaissance. Alors même qu’un simple robinet d’eau potable suffit en général.

 

La question reste toujours d’actualité :

 

http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140511435.html

 

Hydratation

14e législature

Question écrite n° 11435 de Mme Patricia Schillinger (Haut-Rhin – SOC)

publiée dans le JO Sénat du 01/05/2014 – page 1001

Mme Patricia Schillinger attire l’attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la question de l’hydratation. Des études récentes ont montré que deux Français sur trois ne s’hydratent pas correctement et que seulement 5 % des boissons de la journée sont consommées au bureau. En dépit des obligations réglementaires auxquelles doivent répondre les employeurs, seulement un tiers des employés a accès dans des conditions sanitaires acceptables à une eau fraîche et potable sur le lieu de travail.
Le rapport visant à donner un nouvel élan à la politique nutritionnelle française remis en janvier 2014 par le professeur Serge Hercberg (« Propositions pour un nouvel élan de la politique nutritionnelle française de santé publique dans le cadre de la stratégie nationale de santé ») préconise notamment d’améliorer l’accessibilité de l’eau (mesure n°6). Par ailleurs, une des mesures du plan d’action gouvernemental de lutte contre les drogues et la toxicomanie vise à lutter contre la consommation d’alcool sur les lieux de travail. Ces dispositions ouvrent ainsi un cadre propice au traitement du sujet de l’hydratation. Elles invitent à renforcer les politiques de prévention au sein de la population générale et auprès des entreprises en particulier qui pourraient passer par une campagne d’information nationale et la mise en place d’un repère de consommation efficace. La France continue d’ignorer les bienfaits de l’hydratation en ne développant aucune campagne en sa faveur telle que « buvez 1,5 litre par jour ». Par sa simplicité, un message de ce type aurait un impact fort. Cette démarche pourrait à juste titre s’inscrire dans la future loi de santé publique et le prochain Plan national nutrition santé. Par conséquent, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles mesures elle entend prendre en faveur de la promotion de l’hydratation dans le cadre de la stratégie nationale de santé.

Transmise au Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

publiée dans le JO Sénat du 09/10/2014 – page 2290

Sur la base des travaux scientifiques menés par l’ancienne agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA), le programme national nutrition santé (PNNS) recommande de boire chaque jour de « l’eau à volonté ». En effet les besoins varient selon divers facteurs comme l’âge, la saison, l’activité physique. La sensation de soif est le signe que notre corps manque d’eau. Ce n’est pas tant le choix de l’eau qui est important mais plutôt le fait d’en boire suffisamment chaque jour. L’eau du robinet est régulièrement contrôlée pour garantir sa qualité. Elle constitue la source à privilégier pour l’ensemble de la population. Le PNNS mentionne également comme repère de limiter la consommation de produits sucrés notamment les boissons sucrées. Le PNNS a produit de nombreux outils et mécanismes incitatifs, servant de support aux actions. Le repère « eau à volonté » est présent dans les différentes affiches ainsi que dans les guides nutrition de l’institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) diffusés à plus de 20 000 exemplaires. Une fiche repère « de l’eau sans modération » a été largement diffusée à la population. L’hydratation sur les lieux de travail fait l’objet d’une réglementation particulière dans le code du travail aux articles R. 4225-2 à R. 4225-4. L’obligation principale de l’employeur est de mettre à la disposition des travailleurs de l’eau potable et fraîche pour la boisson. L’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), qui a succédé à l’AFSSA, a été saisie en 2012 par la direction générale de la santé pour actualiser les repères de consommations alimentaires du PNNS, dont celui de l’eau pour les différents groupes de population. Le rapport est attendu à la fin de l’année 2014 et il fournira les bases pour actualiser en 2015 les outils de transmission des messages liés aux repères actualisés.

 

A condition que l’eau ne dépasse pas la température de 15 ° !

La pénurie de sable va t-elle nous sauver ?

Je viens de lire une information excessivement importante : il n’y aura bientôt plus de sable.

« Entre autres, il apparaît ainsi que nous allons aussi bientôt manquer de sable« .

Pas n’importe le quel : celui qui sert à fabriquer verre et béton !

J’avais déjà il y a un moment parlé de la raréfaction des « terres rares« .

Ce qui veut dire que malgré tous nos progrès  nous sommes maintenant soumis à de futures restrictions dues à l’puisement de réserves naturelles non renouvelables.

Le pétrole en a été une qui a freiné la croissance avec les différents chocs pétroliers depuis 1973.

Mais aujourd’hui la question de l’énergie ou des déplacements ne sera plus que l’une des questions auxquelles l’humanité devra faire face si effectivement demain l’ensemble des ressources s’amenuisent et tend à disparaître.

Avec en parallèle la question cruciale de la gestion de l’eau.

Que peut il arriver que nous ne sachions déjà ?

  • La guerre ou des rivalités inter frontières pour l’accaparement de telle ou telle ressources indispensable au bon fonctionnement de l’économie d’un pays ou d’une région.
  • Une lutte de tous les instants entre détenteurs des ressources et ceux qui n’en ont pas (l’exemple en Afrique par exemple du pillage des pipe lines avec des moyens dérisoires par des populations en manque de matières premières, qui n’ont rien, et voit ainsi de quoi améliorer un peu un ordinaire destructeur.
  • Des politiques protectionnistes de plus en plus contraignantes avant une explosion sociale programmée.

Ou bien, nous prenons cela comme une chance d’aller de l’avant.

Des possibilités existent sans doute, que la nature nous réserve.

Par exemple le vent pour fabriquer de l’électricité, ou la terre pour fabriquer de la chaleur.

Nous avons une sacré occasion de progresser, comme la civilisation l’a toujours fait jusque la.

Mais soit nous le faisons bien, soit nous le faisons mal. Et si nous le faisons mal ce sera l’extinction de l’humanité.

Nous avons une belle occasion de progresser, à nous de nous y mettre, mais sans attendre, immédiatement.

Car peut être n’y a t-il pas d’autre solutions que d’aller dans les étoiles ? Et en ce cas cela nécessite de préparer cela dès demain.

Car du sable on devrait pouvoir en trouver ailleurs que sur cette planète non ?

 

 

Usa : une nouvelle frontière ? Le new deal?

 

Quand la production d’énergie ou la dépendance énergétique fait débat en France, c’est le début d’un nouvel age d’or et d’une nouvelle expansion économique pour les Etats unis, doublé par une vraie indépendance énergétique; l’Amérique deviendrait la première puissance économique mondiale, et pourrait se donner les moyens d’une indépendance économique et énergétique, bases de sa prédominance renouvelée.

En tout cas c’est ce qu’affirme cette information de l’agence internationale  de l’énergie :

 

« l’Agence internationale de l’énergie prévoit que les Etats-Unis accéderont, avant la fin de cette décennie, à l’indépendance énergétique et deviendront le plus grand producteur mondial de pétrole, devant l’Arabie Saoudite et la Russie ! »

http://www.rtflash.fr/hydrocarbures-non-conventionnels-revolution-energetique-mondiale-se-profile-pour-2030/article

 

Si personnellement, je suis contre l’exploitation du gaz de schiste dans les conditions actuelles, du fait de ses conséquences sur l’environnement et la pollution qui en découle, ou de plusieurs autres systèmes énergétiques qui provoquent plus de pollution que de gain énergétique (voir par exemple cette étude sur la pollution solaire induite : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2944_solaire_pollution_plomb.php ) je suis parfaitement conscient du l’incroyable demande énergétique induite par le développement mondial et à laquelle nous allons de voir faire face, en tentant de subvenir à nos besoins propres par nos moyens internes, mais aussi en espérant exporter un surplus d’énergie, comme nous le faisons encore il n’y a pas si longtemps dans les années 70.

Nous allons devoir faire face à une telle demande que nous allons être dans l’obligation de réfléchir à l’exploitation de toutes nos ressources, dans un contexte contrôlé, et propre à protéger l’environnement mais aussi nos ressources dans un contexte durable.

 

Mais des ressources nous en avons, et sans doute insoupçonnées à ce jour dans l’hexagone .

Mais les plus grandes se trouvent sans doutes autour de nos territoires d’outre mer : l’océan sera notre frontière à nous, à condition de le vouloir, et de nous en donner les moyens.

En attendant, nous devons continuer, car l’indépendance énergétique est une chose, mais insuffisante, à utiliser au mieux nos ressources dans un véritable plan d’essor économique, dans le cadre d’un tourisme plaisir, et  d’un tourisme économique, en mettant en valeur notre patrimoine artistique, économique et industriel, architectural, et nos capacités d’hébergement et de retraite sur nos territoires appelés à accueillir des populations désireuses de se ressourcer et d’apprécier le charme de notre belle France.

 

Quelle sera demain la pénurie première?

Nous avons tous en mémoire la question de l’eau, qui, si elle recouvre la plupart du globe n’est nulle part quasi potable. A tel point que les ressources diminuent, que dans le désert on gaspille l’eau fossile pour arroser les mais de Khadafi, désert qui avance d’ailleurs à grandes enjambées, et que la conquête de l’eau par canaux ou barrages interposés fait aujourd’hui partie de la politique de conquête de certains pays (la Turquie par exemple).

L’alimentation est une autre des questions existentielles préoccupantes, quand un milliard au moins d’êtres humains ne mangent pas à leur faim.

La pénurie de carburant (le pétrole en premier) est une autre des sources de conflit. Et d’inquiétude.

La pénurie de jeunes peut aussi inquiéter les générations plus âgées, dans une moindre mesure. La question mérite d’être pourtant posée alors que le renouvellement n’est pas suffisant pour combler les générations.

Certains emplois sont aussi menacés….selon l’OMS, il manquerait dans le monde plus de 4,5 millions de personnels de santé….

Mais le gagnant toute catégorie sera l& pénurie d’énergie non pas pour faire tourner nos ordinateurs, mais pour les refroidir : plus de 50% de l’énergie utilisée pour les ordinateurs n’est pas envoyée vers les processeurs mais vers les systèmes de refroidissement !!!

D’ici à ce qu’on nous demande d’arrêter les ordinateurs et les wii; il n’y a pas loin !

La solution de refroidissement par eau chaude pourra t-elle nous sauver ?

Du nucléaire dans nos maisons, dans nos meubles?

Vous y croyez vous ?

Et bien oui c’est possible depuis l’arrêté SASP0910487A du 5 mai 2009, et pas qu’un peu.

Mais rassurez vous. Il sera pris en compte le ratio « les avantages qu’elle procure, notamment en matière sanitaire, sociale, économique ou scientifique, rapportés aux risques sanitaires inhérents à l’exposition aux rayonnements ionisants auxquels elle est susceptible de soumettre les personnes ».

Vous y croyez vous?

Quand on sait que nos poubelles nucléaires débordent?

Quand on sait que personne en France ne veut accueillir de nouveaux espaces de stockage de déchets qui perdent seulement 50% de leur nocivité en 24000 ans?

Vous ne croyez pas qu’on se moque un peu du monde ?

Utilisation de substances radioactives dans les produits de consommation et de construction 13 ème législature
Question écrite n° 11833 de Mme Marie-Agnès Labarre (Essonne – CRC-SPG)
publiée dans le JO Sénat du 28/01/2010 – page 171
Mme Marie-Agnès Labarre attire l’attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur l’utilisation de substances radioactives dans les produits de consommation et de construction.

Selon l’arrêté n° SASP0910487A du 5 mai 2009, il est désormais possible pour les industriels de contourner l’interdiction d’ajouter des substances radioactives aux produits de consommation et de construction. Ces substances sont pourtant cancérigènes et mutagènes. Dès lors il est indispensable qu’elles restent dans les circuits contrôlés.

En France, cinq catégories sont protégées : les aliments, les produits cosmétiques, les parures, les jouets et les matériaux en contact avec les aliments et les eaux.
Tous les équipements destinés aux enfants ne sont donc pas pris en compte. Ainsi les landaus, poussettes, lits, vêtements, biberons ou encore tétines peuvent contenir des substances radioactives, lorsqu’ils sont réalisés à l’aide de plastiques contaminés en provenance de la déconstruction de centrales ou d’usines d’enrichissements.

Elle déplore donc vivement que cet arrêté permette la commercialisation de nouveaux produits incluant des sources radioactives.

Elle s’interroge aussi sur la légalité dudit arrêté. Aux termes de l’article 3 de la loi n° 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire, la décision concernée aurait dû être prise sous la forme d’un décret en Conseil d’Etat et non sous la forme d’un arrêté. Elle se demande donc si cet acte ne devrait pas être retiré par le Gouvernement, dans la mesure où la procédure semble irrégulière.

Elle lui demande quelles mesures elle entend prendre pour remédier à ces irrégularités et à aux dangers que représente cet arrêté pour l’environnement et la population.

Réponse du Ministère de la santé et des sports
publiée dans le JO Sénat du 20/05/2010 – page 1295
La possibilité de déroger à l’interdiction d’addition de radionucléides est prévue à l’article R. 1333-4 du code de la santé publique. Cette dérogation est prise en application de l’article L. 1333-1 du même code lorsque l’addition de radionucléides est justifiée par les avantages qu’elle procure, notamment en matière sanitaire, sociale, économique ou scientifique, rapportés aux risques sanitaires inhérents à l’exposition aux rayonnements ionisants auxquels elle est susceptible de soumettre les personnes. Ce n’est donc pas l’arrêté du 5 mai 2009 qui rend possible cette addition de radionucléides dans les produits de construction, les biens de consommation et les denrées alimentaires. Le seul objet de cet arrêté est de fixer la composition du dossier que les pétitionnaires doivent déposer afin d’obtenir cette dérogation et de préciser les conditions d’information sur les dérogations délivrées. Les dossiers de demande de dérogation, après instruction par la mission de sûreté nucléaire et de radioprotection rattachée au ministère chargé de l’écologie, doivent être soumis à l’avis de l’autorité de sûreté nucléaire (ASN) et du Haut Conseil de santé publique (HCSP). Le Gouvernement sera très attentif aux avis de ces instances avant de prendre toute décision.

La guerre économique sans merci que nous livrons, la grippe h1n1, le terrorisme absurde et honteux, la misère ambiante, le stress de l’après ne doivent pas faire oublier le plus important

Et c’est quoi le plus important allez vous me demander ?

Au risque de vous surprendre, pour une fois il ne s’agit aucunement de prévoir les lendemains des crises, ou préparer la lutte contre une pandémie qui en définitive à du mal à s’épandre (ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre), ou de’augmenter les moyens de la lutte contre le terrorisme mondial, la drogue ou l’alcool, les trafiquants, les bandits de tous poils, ou la lutte contre le danger du nucléaire militaire.

Il ne s’agit pas non plus de la lutte contre la pauvreté, les moyens à mettre en oeuvre pour atténuer la « sinistrose » ambiante.

Il s’agit plutôt d’un concept fondamental, qui, si nous ne nous décidons pas à le prendre en compte, et en mains (sans jeu de mot), pourrait sonner demain le glas de l’espèce humaine.

Heureusement qu’au jour d’aujourd’hui nous avons la faculté de nous prévenir de ce fléau grâce aux antibiotiques, et aux divers processus sanitaires,ou au réseaux d’alerte sanitaire.

Pourtant, nul n’en a conscience aujourd’hui. Mais si demain nous ne faisons rien, le risque que la question devienne cruciale pour notre avenir existera.

C’est un soucis qui tue déjà énormément de personnes dans le monde entier. Dans l’indifférence générale.

Et c’est une démarche qui n’est absolument pas prise en compte dans nos sociétés.

Les diverses études qui ont été faites démontrent à l’excès le manque de conscience de l’espèce humaine de la question.

La question est si fondamentale que cela est devenu une journée mondiale parrainée par les Nations unies : la journée mondiale du lavage des mains

La question n’est pas innocente : 64 des femmes se laveraient les mains au sortir des toilettes pour 32 % des hommes.

Les conséquences actuelles dans nos civilisations occidentales ne sont pas encore visibles, grâce à une panoplie de médicaments, vaccins, antibiotiques à spectre large.

Mais les conséquences sont catastrophiques dans divers pays en voie de développement, ou la mort frappe directement à cause de ce manque d’hygiène. Tant de morts pourraient être évités pour le prix le plus dérisoire de toutes les actions de prévention déja élaborées!

Seule manque une volonté politique. C’est le mérite de cette journée de nous rappeler de nous poser la question : nous lavons nous les mains correctement?

Cette question n’est pas du tout ironique, mais part d’un simple bon sens.

Mais avec les problèmes émergents de la répartition de l’eau, les manques criants d’hygiène dans diverses parties du monde mais aussi dans nos civilisations dites développées, et les difficultés actuelles à continuer à proposer des programmes de santé performants et de qualité, la question est bien d’actualité.

Si demain un effort réel n’est pas fait , et si les hommes (et les femmes) ne prennent pas conscience de la nécessité de prendre en charge leur hygiène, qui nous dit que demain nous pourrons faire face à une épidémie que les médicaments éventuels ne pourront pas contrer.

Une mort par diarrhées n’est pas utopique puisque 1.5 millions d’enfants en meurent chaque année, faute de soins simples.

Mais la population mondiale pourrait être visée.

Donc lavez vous les mains, dans un premier temps, et évitez de serrer la main de votre voisin, surtout en ces périodes de grippe,de plus!

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