Le 5 ème risque. Loin du compte.

Nous sommes loin du compte.
La convergence des champs vieillissement et handicap prévue par la loi de 2005 n’est plus exactement la priorité du gouvernement à la lecture de ces lignes.

Encore une réforme qui accouchera d’une nréformette.

Tant pis pour les handicapés. Dommage pour les personnes âgées.

http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-70882QE.htm

13ème législature
Question N° : 70882 de Mme Gisèle Biémouret ( Socialiste, radical, citoyen et divers gauche – Gers ) Question écrite

Ministère interrogé > Travail, relations sociales, famille, solidarité et ville Ministère attributaire > Travail, solidarité et fonction publique
Rubrique > politique sociale Tête d’analyse > personnes âgées Analyse > dépendance. prise en charge. financement
Question publiée au JO le : 09/02/2010 page : 1316

Réponse publiée au JO le : 27/07/2010 page : 8383
Date de changement d’attribution : 22/03/2010

Texte de la question

Mme Gisèle Biémouret attire l’attention de M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville sur les perspectives de création d’un 5e risque « sécurité sociale ». Le 11 février 2010 sera la date-butoir pour la mise en place d’une convergence des champs de vieillissement et du handicap, de par la loi du 11 février 2005. Aujourd’hui, il n’y a toujours pas d’échéance sur la création d’un vrai 5e risque « sécurité sociale ». De plus, le projet qui semble émerger ignore totalement cette convergence. Elle souhaite donc lui rappeler que cette création est une exigence légale et équitable afin d’éviter que la France ne soit attaquée pour mesures discriminatoires par l’âge devant la Cour européenne de justice. C’est pourquoi elle entend lui demander les intentions du Gouvernement en la matière.

Texte de la réponse

Le ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique a pris connaissance avec intérêt de la question relative à la convergence des champs du vieillissement et du handicap. Le Président de la République a fait de la perte d’autonomie une de ses priorités lors de ses voeux aux Français le 31 décembre 2009. La création de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie, en février 2005, a déjà permis de rassembler les financements consacrés à la perte d’autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées. Il s’agit d’un premier pas vers la convergence de la prise en charge de la perte d’autonomie quel que soit l’âge des personnes concernées. Cependant, convergence ne signifie pas confusion et réponse identique quel que soit l’âge, mais une approche qui ne privilégie pas l’âge en tant que tel, mais considère prioritairement l’expression des besoins de vie concrète des personnes. À ce titre, si des convergences certaines existent entre les besoins des personnes handicapées et ceux des personnes âgées, qui par ailleurs n’ont pas les mêmes parcours de vie et ne sont pas confrontées à des risques de même nature, ces convergences se concentrent principalement sur la nécessité d’une prise en charge individualisée et sur la mise au point de méthodes d’évaluation des besoins et d’élaboration des plans d’aide relativement proches.

Prise en charge de la dépendance ? Le cinquième risque

http://www.lesechos.fr/info/france/4847833.htm?xtor=RSS-2010#

 

Très élégamment décrit comme le cinquième risque, celui de la dépendance risque de devenir la préoccupation principale de la France et du monde.

 

Si certains pays , tels le Japon se sont posés la question, et si certains pays, encore traditionalistes, ont une gestion individuelle de la dépendance, conservant les ancêtres au sein de la cellule familiale, la France est plus qu’en retard sur ce sujet.

La solution ne sera pas dans une économie forcée et un appauvrissement de nos populations vieillissantes.

Pendant ce temps la, la Belgique est en train de percevoir les fruits de nos abondons, et permet à sa population active de se reconvertir dans le juteux marché des maisons de retraite et des soins infirmiers.

Pendant ce temps la, nous accueillons médecins étrangers, infirmiers et autres techniciens qui nous font cruellement défaut depuis les départs en retraite sans précédent ces dernières années, et le manque de candidats.

Les personnes âgées, si elles coutent cher à la société, n’en sont pas moins les piliers de notre démocratie.

Ils ont travaillés pour faire devenir La France d’aujourd’hui.

Que l’on mette les moyens au lieu de prévoir des minimas sociaux à minima, et des mouroirs….

Nos personnes âgées et notre pays mérite de partir en guerre contre les fléaux des nouvelles maladies, la dégénérescence ou la sénilité.

Nous avons tout à gagner à accueillir les personnes âgées et à combattre massivement les maladies qui les font tant souffrir.

Nous avons d’énormes marchés à conquérir, en particulier grâce à nos capacités de recherche et au développement de nouvelles technologies, telles celle des robots qui vont pouvoir aider et suppléer aux difficultés de ces populations.

Allons nous continuer à laisser le Japon et les Etats Unis avancer loin devant, et nous laisser les miettes d’une recherche pourtant vitale économiquement et socialement.

Nous avons besoin de buts, de plans….

 

En voici un; un défi à relever; une promesse à tenir.

Non seulement nous en sortirons grandis, mais de plus nous y gagnerons.

Prise en charge de la dépendance ? Le cinquième risque

http://www.lesechos.fr/info/france/4847833.htm?xtor=RSS-2010#

 

Très élégamment décrit comme le cinquième risque, celui de la dépendance risque de devenir la préoccupation principale de la France et du monde.

 

Si certains pays , tels le Japon se sont posés la question, et si certains pays, encore traditionalistes, ont une gestion individuelle de la dépendance, conservant les ancêtres au sein de la cellule familiale, la France est plus qu’en retard sur ce sujet.

La solution ne sera pas dans une économie forcée et un appauvrissement de nos populations vieillissantes.

Pendant ce temps la, la Belgique est en train de percevoir les fruits de nos abondons, et permet à sa population active de se reconvertir dans le juteux marché des maisons de retraite et des soins infirmiers.

Pendant ce temps la, nous accueillons médecins étrangers, infirmiers et autres techniciens qui nous font cruellement défaut depuis les départs en retraite sans précédent ces dernières années, et le manque de candidats.

Les personnes âgées, si elles coutent cher à la société, n’en sont pas moins les piliers de notre démocratie.

Ils ont travaillés pour faire devenir La France d’aujourd’hui.

Que l’on mette les moyens au lieu de prévoir des minimas sociaux à minima, et des mouroirs….

Nos personnes âgées et notre pays mérite de partir en guerre contre les fléaux des nouvelles maladies, la dégénérescence ou la sénilité.

Nous avons tout à gagner à accueillir les personnes âgées et à combattre massivement les maladies qui les font tant souffrir.

Nous avons d’énormes marchés à conquérir, en particulier grâce à nos capacités de recherche et au développement de nouvelles technologies, telles celle des robots qui vont pouvoir aider et suppléer aux difficultés de ces populations.

Allons nous continuer à laisser le Japon et les Etats Unis avancer loin devant, et nous laisser les miettes d’une recherche pourtant vitale économiquement et socialement.

Nous avons besoin de buts, de plans….

 

En voici un; un défi à relever; une promesse à tenir.

Non seulement nous en sortirons grandis, mais de plus nous y gagnerons.