Stérile et cancéreuse

J’en ai assez, je susi vraiment excédé par ces messages qui prennent les gens pour des imbéciles.

Je présume pourtant que si ces messages continue à être reçu c’est que de temps en temps une réponse est faite.

C’est pourquoi il est important de diffuser ces informations pour faire connaitre ces bandits qui profitent de la crédulité humaine.

Voici le dernier message que j’ai reçu :

elianecouret@sfr.fr à elianecouret
afficher les détails 15:29 (Il y a 6 heures)

Bonjour

Je me nomme Éliane COURET née le 31-mai-1948, veuve sans enfants, et originaire de l’Île-de-France dans le 75008 arrondissement, 26 avenue Mati-gnon.Je suis stérile c’est à dire sans enfants.

J’envisage de faire une donation partielle de mes biens, J’ai travaillé dans le secteur pétrolier au Koweït, je désire qu’une partie de cet argent soit versé à différentes associations, orphelinats et aux personnes se trouvant dans le besoin.

Je désire de tout cœur vous faire don de cet argent évalué à environ 903.000 (Neuf cent trois mille Euro) qui est jusqu’à ce joue détenu dans un compté bloquer dans une banque étrangère. Je souffre énormément d’un cancer que je n’arrive presque pas à trouver le sommeil, tourmentée de savoir ce que servirait mon argent de placement après mon décès, je veux bien que cela se retrouve dans les mains d’une personne consciente et qui a la crainte de Dieu avec un cœur ouvert et généreux pouvant en faire bon usage; Mais qui ? Je ne sais pas ! Si vous le pouvez de tout cœur et accepter user sciemment cela fais le moi savoir, je vous prie !

Veuillez me contactez dès que possible si vous êtes d’accord pour mon offre. Mme Éliane COURET
Je vous pris de me répondre directement sur mon Émail personnel: elianecouret@hotmail.fr
Que la Paix et la miséricorde de Dieu soient avec vous.

Envoyé depuis SFR Mail. 10 Go de stockage – en savoir plus.

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Du nucléaire dans nos maisons, dans nos meubles?

Vous y croyez vous ?

Et bien oui c’est possible depuis l’arrêté SASP0910487A du 5 mai 2009, et pas qu’un peu.

Mais rassurez vous. Il sera pris en compte le ratio « les avantages qu’elle procure, notamment en matière sanitaire, sociale, économique ou scientifique, rapportés aux risques sanitaires inhérents à l’exposition aux rayonnements ionisants auxquels elle est susceptible de soumettre les personnes ».

Vous y croyez vous?

Quand on sait que nos poubelles nucléaires débordent?

Quand on sait que personne en France ne veut accueillir de nouveaux espaces de stockage de déchets qui perdent seulement 50% de leur nocivité en 24000 ans?

Vous ne croyez pas qu’on se moque un peu du monde ?

Utilisation de substances radioactives dans les produits de consommation et de construction 13 ème législature
Question écrite n° 11833 de Mme Marie-Agnès Labarre (Essonne – CRC-SPG)
publiée dans le JO Sénat du 28/01/2010 – page 171
Mme Marie-Agnès Labarre attire l’attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur l’utilisation de substances radioactives dans les produits de consommation et de construction.

Selon l’arrêté n° SASP0910487A du 5 mai 2009, il est désormais possible pour les industriels de contourner l’interdiction d’ajouter des substances radioactives aux produits de consommation et de construction. Ces substances sont pourtant cancérigènes et mutagènes. Dès lors il est indispensable qu’elles restent dans les circuits contrôlés.

En France, cinq catégories sont protégées : les aliments, les produits cosmétiques, les parures, les jouets et les matériaux en contact avec les aliments et les eaux.
Tous les équipements destinés aux enfants ne sont donc pas pris en compte. Ainsi les landaus, poussettes, lits, vêtements, biberons ou encore tétines peuvent contenir des substances radioactives, lorsqu’ils sont réalisés à l’aide de plastiques contaminés en provenance de la déconstruction de centrales ou d’usines d’enrichissements.

Elle déplore donc vivement que cet arrêté permette la commercialisation de nouveaux produits incluant des sources radioactives.

Elle s’interroge aussi sur la légalité dudit arrêté. Aux termes de l’article 3 de la loi n° 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire, la décision concernée aurait dû être prise sous la forme d’un décret en Conseil d’Etat et non sous la forme d’un arrêté. Elle se demande donc si cet acte ne devrait pas être retiré par le Gouvernement, dans la mesure où la procédure semble irrégulière.

Elle lui demande quelles mesures elle entend prendre pour remédier à ces irrégularités et à aux dangers que représente cet arrêté pour l’environnement et la population.

Réponse du Ministère de la santé et des sports
publiée dans le JO Sénat du 20/05/2010 – page 1295
La possibilité de déroger à l’interdiction d’addition de radionucléides est prévue à l’article R. 1333-4 du code de la santé publique. Cette dérogation est prise en application de l’article L. 1333-1 du même code lorsque l’addition de radionucléides est justifiée par les avantages qu’elle procure, notamment en matière sanitaire, sociale, économique ou scientifique, rapportés aux risques sanitaires inhérents à l’exposition aux rayonnements ionisants auxquels elle est susceptible de soumettre les personnes. Ce n’est donc pas l’arrêté du 5 mai 2009 qui rend possible cette addition de radionucléides dans les produits de construction, les biens de consommation et les denrées alimentaires. Le seul objet de cet arrêté est de fixer la composition du dossier que les pétitionnaires doivent déposer afin d’obtenir cette dérogation et de préciser les conditions d’information sur les dérogations délivrées. Les dossiers de demande de dérogation, après instruction par la mission de sûreté nucléaire et de radioprotection rattachée au ministère chargé de l’écologie, doivent être soumis à l’avis de l’autorité de sûreté nucléaire (ASN) et du Haut Conseil de santé publique (HCSP). Le Gouvernement sera très attentif aux avis de ces instances avant de prendre toute décision.