http://www.lesechos.fr/info/france/4847833.htm?xtor=RSS-2010#
Très élégamment décrit comme le cinquième risque, celui de la dépendance risque de devenir la préoccupation principale de la France et du monde.
Si certains pays , tels le Japon se sont posés la question, et si certains pays, encore traditionalistes, ont une gestion individuelle de la dépendance, conservant les ancêtres au sein de la cellule familiale, la France est plus qu’en retard sur ce sujet.
La solution ne sera pas dans une économie forcée et un appauvrissement de nos populations vieillissantes.
Pendant ce temps la, la Belgique est en train de percevoir les fruits de nos abondons, et permet à sa population active de se reconvertir dans le juteux marché des maisons de retraite et des soins infirmiers.
Pendant ce temps la, nous accueillons médecins étrangers, infirmiers et autres techniciens qui nous font cruellement défaut depuis les départs en retraite sans précédent ces dernières années, et le manque de candidats.
Les personnes âgées, si elles coutent cher à la société, n’en sont pas moins les piliers de notre démocratie.
Ils ont travaillés pour faire devenir La France d’aujourd’hui.
Que l’on mette les moyens au lieu de prévoir des minimas sociaux à minima, et des mouroirs….
Nos personnes âgées et notre pays mérite de partir en guerre contre les fléaux des nouvelles maladies, la dégénérescence ou la sénilité.
Nous avons tout à gagner à accueillir les personnes âgées et à combattre massivement les maladies qui les font tant souffrir.
Nous avons d’énormes marchés à conquérir, en particulier grâce à nos capacités de recherche et au développement de nouvelles technologies, telles celle des robots qui vont pouvoir aider et suppléer aux difficultés de ces populations.
Allons nous continuer à laisser le Japon et les Etats Unis avancer loin devant, et nous laisser les miettes d’une recherche pourtant vitale économiquement et socialement.
Nous avons besoin de buts, de plans….
En voici un; un défi à relever; une promesse à tenir.
Non seulement nous en sortirons grandis, mais de plus nous y gagnerons.