Un système d’exploitation français? Chiche

Arnaud Montebourg le veut en tout cas ! Notre ministre du redressement productif et du numérique en a esquissé les grandes lignes.

 

http://www.journaldunet.com/solutions/dsi/un-systeme-d-exploitation-made-in-france-0514.shtml

Malgré les critiques et les quolibets sur cette idée, et même s’il est probable que cela sera commencée et s’arrêtera un jour lointain sans tambours ni trompettes, mais après avoir dilapidé dans le projet de colossales sommes en deniers publics qui seraient offertes en premier lieu furent aux opérateurs télécom « amis », comme furent achevés le minitel ou le TO7….j’estime que c’est une idée à prendre en compte.

 

Aux conditions suivantes que j’ai inscrit en commentaire sur le site de JDN :

 

  •  Et bien, malgré le fait qu’effectivement cela arrive comme un cheveu sur la soupe, ce n’est peut être pas si idiot que cela en à l’air.
    A condition :

    1) de savoir exactement ce que l’on veut faire
    2) de savoir exactement ce que l’on veut en faire dans un premier temps puisqu’il serait amené à évoluer
    3) d’y mettre les moyens, et vraiment conséquents financiers
    4) d’y adjoindre les moyens humains, c’est à dire à peu près tout ce que La France compte de scientifiques et spécialistes du sujets (j’y vois par exemple grâce à ce projet le développement du réseau numérique haut débit…)
    5) d’en faire un projet consensuel français en dehors de toute démarche politicienne (apprendre par exemple aux parlementaires que l’on peut très bien se passer de windows
    6) de parier sur la durée.

    Nous avons les moyens de le faire. Reste l’envie.

    Il faudra informer; former, inciter, éduquer, et accepter les échecs successifs.

    Il faudrait une nation complète derrière ce projet.

    Une question pertinente reste en suspens : arriverons nous ensuite à le vendre? Il est quasi certain que non. C’est pourquoi il nous faudrait d’abord bien commencer par le début , le petit  2 en définitive.

    Nous verrons dans les prochaines semaines si ce projet doit perdurer…

Le vendeur est mort mais pas la prospection commerciale.

Watson arrive !

Garez vous, vous allez succomber à son bagout.

Ce logiciel devrait être déclaré meilleur vendeur du mois très vite (dans les semaines qui viennent) quand il aura ingurgité quelques données supplémentaires et compris ce qu’on attendait de lui.

Anecdotique ? Ça ne changera pas grand chose dans votre vie quotidienne ?

Peut être….

Vous pourrez toujours raccrocher effectivement. Sauf que ce programme est multi tache et s’insère aussi sur les autres médias tels un site web ou une application mobile. Et quand vous commencerez à être intéressé par un produit ou un service, demain, ce vendeur virtuel risque de vous entraîner vers des dépenses imprévisibles.

Sinon, pour l’anecdote, le risque est aussi grand de voir se concrétiser de vastes bases de données interconnectées (dans le cloud par exemple ?) qui vont permettre à Watson de tout connaitre de vous. Et à qui d’autre?

Alors; la fin des vendeurs de tapis ou d’aspirateurs ?

Merci à 01 business pour cette information.

 

Google Chrome

Je n’arrive pas à comprendre certaines politiques de Google.

J’utilise depuis sa sortie le logiciel Chrome qui me satisfait bien. Certaines fonctionnalités intéressantes de firefox peuvent ne pas être préésentes, mais dans l’ensemble sa rapidité et sa lègèreté sont largement suffisants pour les utilisations que j’en souhaite.

J’aurais aimé utiliser la barre d’outils de Google….sauf qu’elle n’est pas compatible !!!!

Je ne comprendrais jamais la politique de Google.

Informatique à l’école

Je publie ici un communiqué de l’EPI qui permet une mise à jour de mon article http://vousenpensezquoi.fr/2009/09/19/la-navrante-histoire-du-flop-de-leducation-nationale-dans-le-plan-informatique-et-maintenant-les-netic/

« Cela permettrait également de mettre en place pour la classe de seconde, dès la rentrée 2010, un « enseignement d’exploration » en informatique (actuellement absent de la liste proposée), avec une montée en charge et une généralisation progressives. L’informatique, et les technologies numériques en général, étant des composantes de la culture générale du citoyen, leur enseignement doit être proposé au plus grand nombre. »

Il est dommage que cet enseignement ne voit le jour que dans deux ans. Dans deux ans il sera trop tard. C’est aujourd’hui que nous devons mettre mettre en place les outils de demain.

A quand un plan informatique pour tous pour tout le monde, toutes les populations ; jeunes et moins jeunes et personnes âgées?

Comment pourrions nous nous passer de l’émergence des talents informatiques ou de l’expérience de nos ainés quand on voit comme ceux ci se sont appropriés l’outil informatique.

La Navrante histoire du flop de l’éducation nationale dans le plan informatique et maintenant les netic

Ne revenons pas dessus : le plan informatique pour tous dans les années 80 devaient porter la France loin devant les autres pays (en commençant par rattraper notre retard !)  et préparer nos futurs petits génies.

Ne revenons pas sur cette désagréable expérience, ce gâchis de l’argent public pour l’achat de machines périmées avant d’être achetées, la non préparation des enseignants, mais aussi la non préparation complète des équipes, des salles, et le discours particulièrement mercantile qui s’ensuivit, obligeant les parents à suivre des technologies qui les dépassaient.

Heureusement, nos enfants se sont débrouillés sans l’éducation. Il n’est qu’ à voir aujourd’hui leur démonstration de l’utilisation de l’ordinateur pour leurs activités personnelles, les génies qui se sont formés seuls et par gout dans ces diverses techniques. L’éducation nationale a laissé faire, n’a même pas suivi.

Les ordinateurs achetés à grands frais sont devenus obsolètes, relégués dans les placards.

Aujourd’hui nous arrive une nouvelle idée superbe de l’éducation nationale, qui aurait du être mise en place bien avant.

La disponibilité des cours en ligne.

Une grande avancée, nous dit le ministre, un formidable potentiel.

C’est vrai. C’est non seulement cela, mais bien plus encore.

C’est une nouvelle société de l’éducation qui pourrait voir le jour. Avec la possibilité pour tout un chacun de reprendre ses études bondonnées en cours de route, la formation en cours du soir revisitée, l’aide aux migrants possible à tout moment, l’essor de structures et formations pointues, la création de cours magistraux pointus et techniques dont nous pourrions proposer la disposition aux autres pays moyennant royalties.

Mais pour cela, il faut des moyens :

Techniques : en particulier des serveurs puissants aptes à supporter l’afflux des demandes.

Humains : l’éducation par soi même en autodidacte est une possibilité, mais rien ne remplace l’éclairage et les précisions d’un éducateur, d’un professeur.

Et donc technologiques : tout est possible, mais tout reste à découvrir et à faire : une organisation conséquente doit être mise en place pour accueillir virtuellement ou physiquement, à tous moments, grâce à des équipes motivées et des équipements de pointe (caméras, tableaux blancs virtuels, casques, 3 d, et d’autres technologies encore à découvrir), les personnes prêtes à s’investir mais ayant la demande d’être guidées.

Nous pourrions relever ce défi; un défi créateur de richesses, d’expériences, de diplômés monstrueusement capables.

Un défi créateur de techniques, de technologies.

Un défi rassembleur; un projet de société qui rassemblerait enfin toutes les couches de la population, toutes les strates, que ce soit les banlieues, les handicapés, les zones rurales, les prisonniers…

Oui, mais voila, encore faut il plus qu‘un effet d’annonce; il faut une volonté politique. Nous ne l’avons pas aujourd’hui, car nos politiques en sont encore à essayer de comprendre à quoi sert une souris. C’est ce qui risque de nous arriver encore une fois : la montagne accoucher d’une souris….

L’académie en ligne est ici.

Usage de la calculette au baccalauréat ou autres examens.

Il fut un temps pas si lointain ou la calculatrice (1975) comportait les 4 opérations de base et quelques gadgets (racine , pourcentage..)

Depuis nos députés se posaient des questions : Assemblée nationale 7 mai 1984

« Examens, concours et diplômes (réglementation).
34924 . — 4 juillet 1983. — M . Joseph-Henri Maujoüan du
Gasset expose à M . le ministre de l’éducation nationale que
depuis 1980, l’usage de la calculatrice de poche est autorisée aux
examens . Or, depuis cette date les progrès en électronique ont
transformé ces calculatrices en « mémoires », susceptibles d’engranger
l’équivalent de dix pages de textes (dates . d’histoire, superficies, chiffres
de production, théorèmes de mathématiques, lois physiques, formules,
etc .) .II lui demande si cette évolution de la calculatrice en « mémoire »
tous azimuts ne pose pas de problèmes au niveau des examens. »

En quelques années l’éducation nationale, par la force des progrès technolog »iques, dut accoucher en urgence de circulaires (1) (2) (3), (4) , (5) souvent modifiées ou annulées, concernant la grosseur de celles ci, toujours plus développées, leur capacité mémorielle, leurs possibilités communicantes et les diverses fonctions associées.

La question aujourd’hui ne se pose plus en ces termes.

L’avènement des téléphones mobiles, consoles portables, livres électroniques et divers autres gadgets, plus ou moins utiles mais dotés de capacités mémorielle très importantes, de conservation de gigantesques masses de données exploitables rapidement et immédiatement impose de réfléchir au meilleur moyen d’utiliser dans un but pédagogique ces nouveaux moyens du savoir.

L’expérience du cartable électronique est un début. Il a au moins le mérité de diminuer le déficit futur de la sécurité sociale par la diminution des scolioses!.

La question à se poser est la suivante :

  • Allons nous nier le progrès et limiter arbitrairement l’usage de ces nouveaux objets technologiques, au risque de voir nos chers bambins sécher lamentablement devant leurs copies, n’ayant pas l’usage de leurs diverses extensions robotiques ?
  • Ne devons nous pas plutôt permettre à tous de s’approprier les nouvelles technologies à venir, en insistant sur la recherche de l’information, sur la nécessité de resster curieux, en suggérant une bonne fois pour toutes que toutes ces machines peuvent être utilisées, à la condition expresse pour limiter certains abus, qu’un certain seuil monétaire dans leur achat ne soit pas dépassé.

Je suis partisan quant à moi de l’extension des ordinateurs portables (solides et bienc onçus) dès les premiers âges, reliés par wi fi à internet qui plus est!

Quant aux sujets des matières, et les examens, tout le concept aujourd’hui est à revoir.

Or la lecture et l’aprentissage du calcul, ainsi que les travaux manuels et artistiques, il faut réapprendre non pas bêtement par coeur, cela ne set plus à rien aujourd’hui; mais apprendre à traiter l’information, à vérifier les diverses sources afin de ne rien prendre pour argent comptant.

Il faut former nos élèves, nos étudiants à avoir un esprit critique, analytique, et curieux en les intéressant à découvrir et à réaliser qu’ils ne sont pas seuls sur la terre, mais au contraire qu’ils doivent apprendre des autres, dans l’optique d’un échange mondial et universel.

Il nous faut former à devenir les nouvelles élites de demain, par l’apréhension des nouvelles technologies, des possibilités sans cesse développées des bases de connaissances mise en ligne et disponible de manière aisée.

Il nous faut préparer les nouveaux enjeux de demain, par une confrontation amicale mais acharnée dans la recherche, la connaissance,et la furieuse envie d’apprendre, comprendre.

Cela passe non pas par une énième réforme de l’éducation antionale, mais au contraire par un retour aux sources : l’émerveillement devant la nature, la recherche de l’excellence, la découverte de de l’apprentissage, le sens de la pédagogie appliquée à la recherche de la connaissance.

Cela demande aussi la recherche de nouvelles méthodes, l’essor de la psychologie éducative, des sciences sociales afin d’accompagner dans cette démarche les futurs citoyens.

Car si les machines, si perfectionnées puissent elles être, sont la pour nous aider, le dernier mot, dasn tous les cas, ne pourra revenir qu’à l’homme, devenu éternel étudiant, qui, accumulant les connaissances par ses recherches, sera peut être capable, du moins pour certains defaire le lien entre divers éléments de nature et de provenances différentes, afin de proposer de nouvelles idées, de créér ou fabriquer de nouvelles idées , de nouveaux concepts applicables à l’industrie.

Ce qui implique un plan ambitieux de formation des maîtres, un plan d’équipement de tous les foyers (la fibre optique devenant une nécessité) et une motivation qui pourrait être financière à la recherche et la prospective.

Nous avons d’énormes défis à relever, mais en sommes nous capables? Je gage que oui….
[ad#Google Adsense]

Lettre ouverte à Monsieur le président de la république (….)

Emploi : pourquoi les femmes se détournent des métiers de l’informatique

 

Article sur Zdnet; les commentaires sont excessivement intéressants et donnent de premières pistes.

 

Monsieur le président,

  1. Ne gâchons pas nos formations, nos formateurs, nos réseaux d’éducation, nos universités, notre système éducatif et notre système de recherche.

Ma vie a été particulièrement marquée par cette obligation absurde et totalitaire de faire des maths.

Les mathématiques sont importantes et nécessaires.

Mais pourquoi obliger tout le monde à en faire?

C’est vous dégouter à vie, arriver à un rejet

2. Ne revenons pas sur les erreurs du plan informatique pour tous qui a proposé de quoi dégouter une génération complète à l’informatique avec des ordinateurs obsolètes et totalement à part dès leur mise en place, et n’offrant aucun moyens aux formateurs et aux éducateurs, dès la mise en place du plan.

 

3. Ne gâchons pas le plaisir, la créativité et le talent de ceux qui seront les programmeurs de demain et les créateurs de  richesses. En particulier, rapprochons nous des communautés du libre. Et amenons les à nous aider, à créer, pour la société, et pour créer de la richesse. En leur en donnant les moyens.

Nous allons avoir besoin d’une réelle volonté politique, d’un investissement dans le temps.

Et ce n’est pas irréalisable, si l’on prend le modèle Google, qui parti de rien peut employer aujourd’hui plusieurs centaines de milliers de personnes.

Je ne dis pas que nous devons concurrencer Google ou Microsoft. Mais nous avons des atouts, des opportunités. Rappelez vous le Goupil ou le Bee bop de France télécom.

Nous avons de magnifiques chercheurs, prêts à s’investir; nous avons de magnifiques esprits jeunes dans toutes les strates de la société, prêts à alimenter cette proposition, à l’améliorer et à créer cette richesse dont nous avons besoin.

 

Monsieur le président, il est urgent d’investir dans l’informatique, les réseaux, afin de donner envie à nos chercheurs, nos jeunes, de s’investir totalement, dans la joie et la bonne humeur.

Imaginez la puissance de quelques centaines de milliers de têtes bien équipées, supérieures à plusieurs ordinateurs du type CRAY.

Imaginez la mise en réseau et en commun de ces centaines de milliers de volontaires ?

Je n’imagine même pas les potentialités à court terme….

Et ce n’est que ma première idée….

Lettre ouverte à Monsieur le président de la république (….)

Emploi : pourquoi les femmes se détournent des métiers de l’informatique

 

Article sur Zdnet; les commentaires sont excessivement intéressants et donnent de premières pistes.

 

Monsieur le président,

  1. Ne gâchons pas nos formations, nos formateurs, nos réseaux d’éducation, nos universités, notre système éducatif et notre système de recherche.

Ma vie a été particulièrement marquée par cette obligation absurde et totalitaire de faire des maths.

Les mathématiques sont importantes et nécessaires.

Mais pourquoi obliger tout le monde à en faire?

C’est vous dégouter à vie, arriver à un rejet

2. Ne revenons pas sur les erreurs du plan informatique pour tous qui a proposé de quoi dégouter une génération complète à l’informatique avec des ordinateurs obsolètes et totalement à part dès leur mise en place, et n’offrant aucun moyens aux formateurs et aux éducateurs, dès la mise en place du plan.

 

3. Ne gâchons pas le plaisir, la créativité et le talent de ceux qui seront les programmeurs de demain et les créateurs de  richesses. En particulier, rapprochons nous des communautés du libre. Et amenons les à nous aider, à créer, pour la société, et pour créer de la richesse. En leur en donnant les moyens.

Nous allons avoir besoin d’une réelle volonté politique, d’un investissement dans le temps.

Et ce n’est pas irréalisable, si l’on prend le modèle Google, qui parti de rien peut employer aujourd’hui plusieurs centaines de milliers de personnes.

Je ne dis pas que nous devons concurrencer Google ou Microsoft. Mais nous avons des atouts, des opportunités. Rappelez vous le Goupil ou le Bee bop de France télécom.

Nous avons de magnifiques chercheurs, prêts à s’investir; nous avons de magnifiques esprits jeunes dans toutes les strates de la société, prêts à alimenter cette proposition, à l’améliorer et à créer cette richesse dont nous avons besoin.

 

Monsieur le président, il est urgent d’investir dans l’informatique, les réseaux, afin de donner envie à nos chercheurs, nos jeunes, de s’investir totalement, dans la joie et la bonne humeur.

Imaginez la puissance de quelques centaines de milliers de têtes bien équipées, supérieures à plusieurs ordinateurs du type CRAY.

Imaginez la mise en réseau et en commun de ces centaines de milliers de volontaires ?

Je n’imagine même pas les potentialités à court terme….

Et ce n’est que ma première idée….

Une Nation, un Etat, un but

Lettre ouverte à Monsieur le président de la Républque (…suite)

 

Monsieur le président

 

Au lendemain de la seconde guerre mondiale, sous l’égide de politiciens et d’hommes courageux et visionnaires, comme si l’on voulait compenser et faire oublier l’abondon de la France de 1940, la France et les français se mirent au travail, aidés en cela par une politique d’immigration massive.

Fut construite en quelques années la France du XX ème siècle, avec ses routes et autoroutes, ses piles et réacteurs nucléaires, son programme spatial.

Les hommes et bientôt les femmes de ce pays mirent leur volonté au service de ce pays, avec leur ardeur, du sérieux, de la volonté et l’amour du travail bien fait.

Nous vivons actuellement sur les constructions de l’après guerre, avec ses réussites (le programme nucléaire français, l’aviation, le tgv, le cnrs et beaucoup d’autres….et ses problèmes qui nous tiennent aujourd’hui à la gorge..l’immigration illicite, les ghettos des cités et des tours, la pollution, l’éducation-enseignement, la morale, le civisme, la citoyenneté, l’Europe, le monde et enfin l’OMC.

Nous sommes aujourd’hui en crise.

Mais si les établissements financiers du monde n’avaient pas créés cette spirale d’endettement qui provoque aujourd’hui une catastrophe que va payer l’ensemble du monde pour avoir profité à quelques uns, il est certain que de toutes façons, quelle que soit la manière dont on retourne le problème, la question aurait été posée en termes simples :

Ou allons nous ?

En effet, la France est aujourd’hui exsangue, à la limite de la paupérisation, en butte aux critiques les plus acerbes.

Les citoyens sont aujourd’hui épuisés de devoir se battre pour conserver un emploi qui, il n’y a pas si longtemps, leur était assuré jusqu’à leur retraite.

Une partie relativement importante n’est pas dans la capacité d’assurer seule reconversions, formations, recherche active d’emploi.

Les différentes exigences en terme d’emploi de l’entreprise (pour ne pas dire du patronat) en particulier en terme de salaire et de mobilité géographique, d’astreintes et d’heures supplémentaires sont un fardeau bien lourd à porter pour conserver un emploi aujourd’hui.

Surtout l’avenir aujourd’hui n’est pas assuré. Nous vivons dans un monde ou l’Etat ne peut protéger ses citoyens, ou ceux ci doivent se vendre et se battre quasiment pour simplement survivre.

Vous allez me dire que j’exagère; Je vous rappelle les centaines de milliers de mal logés et les milliers de personnes dans les rues, sans abri.

 

Monsieur le président, il est temps que la France se réveille; il est temps que l’Etat reprenne son rôle; il est temps que son chef dirige un pays appauvri et affaibli.

Il est surtout temps de redonner de l’espoir. Car l’espoir est le moteur d’une progression, et non de la régression à laquelle nous assistons aujourd’hui.

Parler de Marx ou donner une image de général en chef n’est pas suffisant.

Proposer une approche de développement pour le moyen et long terme est salutaire. Car au moins, les éventuelles privations nécessaires sont annonciatrices de jours meilleurs.

Sans espoir, il n’y a pas de désir. Sans espoir il n’y a pas de combat. Sans espoir il n’ a pas de vie ou d’humanité, simplement….

Prenez l’exemple à mon sens extrêmement parlant ‘et criant) du développement informatiquede la france, du plan i nformatique à l’école, du plan cable, du plan netic et autres.

Voir cet article à ce sujet

 

Quel désastre. Quel gachis. Quelles dépenses inutiles et sans fondement. Ce n’est pas si lointain