Google, Google Book et la numérisation du livre Pour Frédéric Miterrand, ministre de la culture

Suite à mon article Google books sur les rails de l’Europe et L’économie numérique un espoir, un atout , une promesse je suis enchanté de ce débat sur la numérisation source de création d’emplois tenu à l’assemblée Nationale avec  le ministre de la culture, qui reprend certaine de mes idées.

Le texte est assez long mais mérité d’être lu. Et donne à espérer que les moyens seront en conséquence avec les déis à relever.

A lire sur le site de l’Assemblée Nationale.

Google books sur les rails de l’Europe

Le commissaire européen à la société de l’information soutient Google books et regrette également le manque d’empressement des Vingt-Sept à enrichir le projet Europeana.

A lire sur

Question : y aurait il des garanties proposées par Google ?

Si non, pourquoi la biliothèque européenne tarde tant à prendre de l’essor ?

Est ce l’initiative privé qui doit supplanter l’Etat ou les Etats ?

Pourtant, les bibliothèques publiques existent dans tous les pays…

Ce qui pose de nouveau la question du droit d’auteur…

Maj le 12 septembre 2009 :

Le gouvernement, premier ministre et ministre de la culture en tête jouent l’apaisement.

« Pour moi Google n’est pas un problème, mais un défi. On s’est récemment ému que la BNF ose discuter avec Google au sujet de la numérisation de ses fonds d’ouvrages. Mais ce qui serait choquant, c’est qu’elle ne le fasse pas »

Une société privé américaine remplace l’Etat français.

« Cette fonctionnalité peut susciter l’envie de découvrir physiquement les sites présentés à l’écran. C’est un outil supplémentaire à disposition des visiteurs de notre pays et nous sommes ravis que les internautes français aient la possibilité d’élire leurs sites favoris », déclare Christian Mantei, directeur général d’ATOUT France dans un communiqué.

Je suis révolté. je n’ai de cesse d’expliquer ici les challenges qui nous permettraient de développer nos potentiels énormes en terme d’activité.

Et nous faisons exactement le contraire.

Si je n’ai rien contre Google, formidable outil de développemnt, et pépinière d’applications de génie, plus ou moins utiles, mais souvent remarquables, et faisant progresser la technique à pas de géants, je suis moins fiers de cette utilisation qui va être faite du tricycle de Google pour street view, autour des ites remarquables français.

S’il n’est pas question d’interdire le procédé, après tout chacun est libre de visiter et photographier les monuments et leiux touristiques français, la questio nse pose de savoir si nous ne pouvions faire la même chose nous même?

Nous avions une opportunité énorme. Nous avons les moyens humains et matériels. Nous pouvions créér un espace de visite que le monde nous aurait envié grace à nos richesses touristiques.

Et bien, c’est Google qui le fera.

Et l’on s’en félicite en haut lieu ?