Pas d’énergie, ni de chauffage cet hiver?

Non, à priori cela devrait passer.

 

Mais ensuite :

http://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/0203765153620-electricite-le-risque-de-coupure-va-augmenter-en-france-1041100.php

 

Quel magnifique exemple de réussite concurrentielle….

Je n’ai même plus l’envie d’énoncer l’ensemble des promesses qui furent faites par les différents gouvernements, et cette obligation absolue de tout mettre en concurrence…

 

On en voit les magnifiques résultats…

Quant à cette pénurie d’électricité…..

Ne voudrait on pas nous revendre l’image du nucléaire, seule énergie salvatrice?

 

C’est à se poser la question, non?

 

Vous en pensez quoi, vous?

 

L’hélium : pénurie ?

Je viens de lire l’excellent article du blog avions légendaires.

Vous savez que je gère un autre site, de l’association fibromyalgies.fr, qui traite de cette maladie.

Or on apprend dans cet article que l’hélium, très important dans divers domaines, dont la gestion de la recherche et celle des appareils médicaux sans lesquels beaucoup de médecins seraient incapables de formuler un diagnostic serait épuisé dans les trente ans à venir.

On fait quoi ? Vous en aviez entendu parler ?

Il y a encore beaucoup d’autres problèmes comme celui ci dont nous allons devoir nous saisir nous même afin d’y pallier ?

 

 

 

 

Usa : une nouvelle frontière ? Le new deal?

 

Quand la production d’énergie ou la dépendance énergétique fait débat en France, c’est le début d’un nouvel age d’or et d’une nouvelle expansion économique pour les Etats unis, doublé par une vraie indépendance énergétique; l’Amérique deviendrait la première puissance économique mondiale, et pourrait se donner les moyens d’une indépendance économique et énergétique, bases de sa prédominance renouvelée.

En tout cas c’est ce qu’affirme cette information de l’agence internationale  de l’énergie :

 

« l’Agence internationale de l’énergie prévoit que les Etats-Unis accéderont, avant la fin de cette décennie, à l’indépendance énergétique et deviendront le plus grand producteur mondial de pétrole, devant l’Arabie Saoudite et la Russie ! »

http://www.rtflash.fr/hydrocarbures-non-conventionnels-revolution-energetique-mondiale-se-profile-pour-2030/article

 

Si personnellement, je suis contre l’exploitation du gaz de schiste dans les conditions actuelles, du fait de ses conséquences sur l’environnement et la pollution qui en découle, ou de plusieurs autres systèmes énergétiques qui provoquent plus de pollution que de gain énergétique (voir par exemple cette étude sur la pollution solaire induite : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2944_solaire_pollution_plomb.php ) je suis parfaitement conscient du l’incroyable demande énergétique induite par le développement mondial et à laquelle nous allons de voir faire face, en tentant de subvenir à nos besoins propres par nos moyens internes, mais aussi en espérant exporter un surplus d’énergie, comme nous le faisons encore il n’y a pas si longtemps dans les années 70.

Nous allons devoir faire face à une telle demande que nous allons être dans l’obligation de réfléchir à l’exploitation de toutes nos ressources, dans un contexte contrôlé, et propre à protéger l’environnement mais aussi nos ressources dans un contexte durable.

 

Mais des ressources nous en avons, et sans doute insoupçonnées à ce jour dans l’hexagone .

Mais les plus grandes se trouvent sans doutes autour de nos territoires d’outre mer : l’océan sera notre frontière à nous, à condition de le vouloir, et de nous en donner les moyens.

En attendant, nous devons continuer, car l’indépendance énergétique est une chose, mais insuffisante, à utiliser au mieux nos ressources dans un véritable plan d’essor économique, dans le cadre d’un tourisme plaisir, et  d’un tourisme économique, en mettant en valeur notre patrimoine artistique, économique et industriel, architectural, et nos capacités d’hébergement et de retraite sur nos territoires appelés à accueillir des populations désireuses de se ressourcer et d’apprécier le charme de notre belle France.

 

la gestion de l’énergie : une vraie folie.

http://www.terraeco.net/Air-conditionne-la-facture-qui,45522.html

De la plupart des questions que nous aurons à résoudre dans les années qui viennent, la plus importante selon moi sera la gestion de l’énergie, en perpétuelle augmentation de sa demande.

 

Tout le reste en dépendra, que ce soit l’activité économique, la pollution, la santé, la croissance de la population…

On ne peut que s’alarmer de cette demande, pourtant légitime, à avoir plus frais.

Mais est ce que la question est vraiment celle la ?

 

Économiser l’énergie, ou l’utiliser autrement, certes. Mais il suffit d’un peu de bon sens pour comprendre que l’énergie fossile, qui ne peut être renouvelée, sera un jour, disparue.

Que faisons nous aujourd’hui pour satisfaire  cette demande si importante, amenée à croître?

Rien du tout, ou si peu.

Depuis la création du four solaire d’Odeillo, et l’usine maréemotrice de la Rance rien ou si peu n’est fait pour proposer des voies alternatives à cette demande en essor.

En France le tout nucléaire ? Mais et les déchets ? Quant au risque de contamination, surtout n’en parlons ps n’est ce pas ?

Sinon on exploite les derniers gisements de pétrole, de gaz, et on casse la roche au détriment de la nappe phréatique. Avec la pollution qui va bien.

Il est urgent vraiment aujourd’hui de faire pression sur l’ensemble des Etats du monde, sur les politiques et les financiers.

Car je n’ai pas envie de finir en mangeant du « soleil vert« .

 

par Mecanopolis

 

 

Les nouvelles technologies de l’énergie à Singapour

Les nouvelles technologies de l’énergie à Singapour

« Aussi, à l’instar de ce qui a été entrepris il y a une trentaine d’année pour promouvoir le secteur biomédical à Singapour, les organes gouvernementaux tentent désormais d’équiper l’île d’infrastructures de pointe et de main-d’oeuvre qualifiée pour répondre aux futurs besoins des industries du secteur de l’énergie. Pour ce faire, ils n’hésitent donc pas à investir dans des programmes d’expérimentation des NTE et tenter d’attirer des experts de renommée mondiale pour former les singapouriens. »

Je le répéte maintenant depuis un certain : c’est cela que nous devons faire, sans nous occuper de l’argent dépensé, sinon dans ce but de futur investissement productif; mais pour cela il nous faut décupler tous azimuts nos possibilités de recherches et de recherche applicative.

Seule cette optique nous permettra de surmonter notre retard dans les dix prochaines années.

Sinon, ne rêvons pas; d’autres feront à notre place, et nous n’aurons plus qu’à suivre.