La Champagne, la nouvelle poubelle nucléaire de la France. A quel prix? Qui est gagnant dans cette affaire ? Le sénateur Longuet ?

C’est une honte écologique et politique.

Mais allons y. Puisque la France doit devenir une poubelle nucléaire, je propose que les déchets du monde entier viennent s’agglutiner sur nos territoires. Au moins on gagnera de l’argent……

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Au vu des dépenses prévues on peut se demander pourquoi cet argent ne servirait pas plutôt à trouver une vraie solution pour les éliminer ?

 

L’écologie française est désastreuse, mais avec ce cavalier budgétaire on arrive aux sommets. c’est la gauche qui s’y colle ? je n’ose imaginer les diatribes vengeresses si cela avait été  la droite !

 

Ou passe le débat démocratique dans l’histoire ?

 

C’est excessivement grave, au niveau écologique, au niveau de la liberté, au niveau de la démocratie.

Et surtout c’est du grand n’importe quoi. Avons nous vraiment des personnes qui nous gouvernent ou sommes nous devenus une république bananière ?

 

http://www.boursorama.com/actualites/france-feu-vert-a-l-enfouissement-de-dechets-radioactifs-a-bure-d7d05a90e95be4d35950482e3689e6a5

 

Refuser la légion d’honneur >? si c’est possible : il l’a fait.

Et personnellement je l’en félicite.

Même s’il doit complètement ne rien avoir à faire de mon opinion.

 

http://actualite.portail.free.fr/toute-l-actu/01-01-2015/l-economiste-thomas-piketty-refuse-la-legion-d-honneur/

Enfin un homme intelligent. c’est rafraîchissant quand d’autres s’abonnent au journal officiel pour y guetter leur hypothétique nomination !

Néanmoins, une petite recherche démontre qu’il n’est pas le seul à l’avoir refusé. Il peut être fier de faire partie de ce panthéon.

La légion d’honneur à largement été désacralisée et donnée  offerte au plus grand nombre d’artistes en particulier.

http://www.europe1.fr/societe/ces-personnalites-qui-ont-refuse-la-legion-d-honneur-2332551

Cependant loin de moi l’idée de fustiger ceux qui l’ont accepté comme notre Mimie nationale.

La valeur de ceux qui l’ont reçu n’est pas ici en cause.

Mais ce geste de refus est tout simplement un beau symbole qui risque de faire tâche, et de devenir l’icone d’un système différent, à l’opposé de ce que nous connaissons.

On n’a pas fini de parler de lui. Et j’aime çà !

La France vend ses bijoux de famille. Et les bijoux des familles ! Quelle tristesse!

Si c’est tout ce que l’on a à nous proposer afin de remplir le gouffre financier de la dette, c’est bien triste.

Vendre les immeubles publics, laisser notre patrimoine immobilier tels les palaces parisiens se vendre aux fonds de pensions américains ou à certains richissimes oligarques, ou  brader nos haras nationaux (simples exemples mais c’est toute la France qui est vendue actuellement, et très vite) c’es triste et illusoire.

Cela ne sert à rien et ne nous sauvera pas.

Un ménage qui fait cela se retrouve très vite à ne plus rien avoir à vendre et sera incessamment à la rue.

Mais l’Etat aurait le droit lui?

 

Quelle vision à court terme.

Ou bien les propositions sont elles si alléchantes?

C’est à se demander….Enfin ce que je dis…..

Enfin ! On revient de loin. L’économie se reprend, mais surtout la future nationalisation est en route.

Sauf que cela prendra des années….Et que pourtant c’est aujourd’hui qu’on devrait la faire !

 

La disparition par rachat de l’un des opérateurs télécoms, c’est à dire SFR est le prélude d’une future renationalisation d’un secteur, les télécoms, qu’il est urgent de protéger contre les grands acteurs mondiaux du secteur.

Pour une compréhension rapide de la question il suffit de lire le très bon billet de Jean-Marc Sylvestre.

Cela est valable aujourd’hui pour des pans entiers de l’économie, ce qui augure mal des tenants d’un capitalisme à outrance, ou la libre concurrence détrônerait le rôle régulateur et planificateur de l’Etat.

Et il n’est que temps.

Qu’apporte en effet une libéralisation du secteur des télécoms ou celui de l’énergie ?

Rien, si ce n’est des factures finales plus élevées.

Les baisses, minimes, d’entreprises totalement virtuelles et sans aucun outil de production, sont totalement illusoires, et largement sujettes à une entente préalable entre elles.

Quant à certains secteurs, libéralisés ou en voie de libéralisation, la encore le client usager final n’est sans doute pas gagnant. Il suffit de regarder le secteur postal et l’augmentation des tarifs de La Poste pour s’en convaincre.

Pourtant, il faudra sans doute beaucoup de temps pour que ce principe qui fera d’un acteur fortement médiatique et décrié car sentant le souffre le chantre de la réunification d’un secteur fragilisé par une concurrence forcenée atteigne l’économie en son entier.

Car pendant ce temps, l’éclatement des entreprises d’Etat fait la joie de marchés juteux et de copinages financiers.

Mais l’essentiel, la sécurité, des tarifs raisonnables et justes, et la protection d’outils financés par nos impôts, clairement bradés à ce jour. Pour un résultat final catastrophique.

La pénurie de sable va t-elle nous sauver ?

Je viens de lire une information excessivement importante : il n’y aura bientôt plus de sable.

« Entre autres, il apparaît ainsi que nous allons aussi bientôt manquer de sable« .

Pas n’importe le quel : celui qui sert à fabriquer verre et béton !

J’avais déjà il y a un moment parlé de la raréfaction des « terres rares« .

Ce qui veut dire que malgré tous nos progrès  nous sommes maintenant soumis à de futures restrictions dues à l’puisement de réserves naturelles non renouvelables.

Le pétrole en a été une qui a freiné la croissance avec les différents chocs pétroliers depuis 1973.

Mais aujourd’hui la question de l’énergie ou des déplacements ne sera plus que l’une des questions auxquelles l’humanité devra faire face si effectivement demain l’ensemble des ressources s’amenuisent et tend à disparaître.

Avec en parallèle la question cruciale de la gestion de l’eau.

Que peut il arriver que nous ne sachions déjà ?

  • La guerre ou des rivalités inter frontières pour l’accaparement de telle ou telle ressources indispensable au bon fonctionnement de l’économie d’un pays ou d’une région.
  • Une lutte de tous les instants entre détenteurs des ressources et ceux qui n’en ont pas (l’exemple en Afrique par exemple du pillage des pipe lines avec des moyens dérisoires par des populations en manque de matières premières, qui n’ont rien, et voit ainsi de quoi améliorer un peu un ordinaire destructeur.
  • Des politiques protectionnistes de plus en plus contraignantes avant une explosion sociale programmée.

Ou bien, nous prenons cela comme une chance d’aller de l’avant.

Des possibilités existent sans doute, que la nature nous réserve.

Par exemple le vent pour fabriquer de l’électricité, ou la terre pour fabriquer de la chaleur.

Nous avons une sacré occasion de progresser, comme la civilisation l’a toujours fait jusque la.

Mais soit nous le faisons bien, soit nous le faisons mal. Et si nous le faisons mal ce sera l’extinction de l’humanité.

Nous avons une belle occasion de progresser, à nous de nous y mettre, mais sans attendre, immédiatement.

Car peut être n’y a t-il pas d’autre solutions que d’aller dans les étoiles ? Et en ce cas cela nécessite de préparer cela dès demain.

Car du sable on devrait pouvoir en trouver ailleurs que sur cette planète non ?

 

 

On décide de bouger ou pas ? World Policy Conference

Il faut se décider maintenant rapidement.

Et si ce n’est pas avec les politiques, ce devra être sans eux. Et surtout sans l’état anachronique, sans sclérose anarchique (pardon Enarchique), oligarchique.

Nous devons réagir, maintenant, aujourd’hui, tout de suite.

A tous les niveaux, partout et sans aucun contretemps.

 » L’exemple français a été cité comme la caricature d’une bourgeoisie qui s’enferme sur ses acquis sociaux et qui ne voit pas le monde bouger »

http://www.atlantico.fr/decryptage/monde-trois-raisons-inquieter-world-policy-conference-jean-marc-sylvestre-926210.html?page=0,1

 

 

 

 « l’effet de l’austérité est plus fort que prévu, c’était une erreur d’appréciation »

C’est ce que Christine Lagarde a déclaré : http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20130125trib000744853/christine-lagarde-l-effet-de-l-austerite-est-plus-fort-que-prevu-c-etait-une-erreur-d-appreciation.html

 

Mais bien sur…..En attendant qui paie ou va payer cette légère erreur d’appréciation? Les futurs nouveaux chômeurs ?

Le Fmi est il encore le pompier des pays en difficultés ou un gendarme de l’austérité de nos économies ?

Le suicide aux Etats unis est la dixième cause de décès , en progression constante. Ne serait pas parce que les conditions économiques et donc sociales deviennent trop difficiles pour être supportées en les vivant ?

http://www.01net.com/editorial/585497/facebook-partage-des-donnees-pour-lutter-contre-le-suicide/#?xtor=EPR-1-[NL-01net-Actus]-20130129

 

Et la France?

C’est bien mon leitmotiv depuis la création de ce site.

Si nous ne nous préoccupons pas de l’avenir, si nous ne progressons pas, si nous n’investissons pas, en nous diversifiant, alors même qu’aujourd’hui nous avons les outils et les infrastructures pour le faire (il ne nous manque vraiment plus que le câblage en haut débit par un maillage complet du territoire), comment pourrons nous espérer faire face à l’envahissante progression exponentielle des autres pays qui ont eux compris les challenge de demain?

C’est le cas de la Russie :

Dernier exemple en date : la Russie avec cette annonce assez extraordinaire mais cependant réalisable :

http://www.romandie.com/infos/news2/100224121728.w5dmnutu.asp

qui a bien compris ou se trouvaient les priorités, avec cette annonce étonnante, mais peut être réalisable.

Et même si le but n’est pas atteint, l’expérience acquise dans ces domaines leur donnera une longueur d’avance dont ils pourront titrer profit commercialement.

A bon entendeur….

Hadopi ne survivra pas à la crise.

C’est un fait avéré. Le piratage, la copie illégale ont précédé quasiment les nouvelles technologies offertes au public.

Déjà, l’apparition du magnétophone à bande, puis à cassette, offrit non seulement la possibilité de copier, recopier, mixer et diffuser morceaux de musiques et chansons, à sa convenance, loin de l’ordre établi, par gout et plaisir.

La disquette (merci Apple), le cdrom (merci Sony, Philips et Hitachi), le dvd, le magnétoscope numérique, internet et ses banques de données ont profondément bouleversés la médiatisation des oeuvres culturelles, quelles que soient celles ci (musiques, cinéma, chant, desseins, photos, vidéos…), et leur diffusion élargie dans le domaine public, au mépris des droits d’auteur, des taxes culturelles, et des auteurs eux mêmes.

Aujourd’hui n’importe qui ayant un peu de volonté peut télécharger gratuitement (ou presque) le film qu’il va regarder ensuite, ou la musique qu’il va avoir envie d’écouter sur son baladeur numérique.

Hier, la diffusion culturelle passait par les bibliothèques, pour les livres, les musées pour les oeuvres pictographiques, les théatres et opéras pour les comédies et les oeuvres classiques du répertoire, le cinéma pour les films.

Des essais avaient été fait de prêt de disques 33 tours dans quelques bibliothèques, dont Beaubourg, puis  de cassettes audios, vhs et enfin de cdrom, ce dans les dernières années.

Aujourd’hui cette forme de propagation de la culture est morte, aussitôt née. Pourquoi aller dans une bibliothèque chercher un document ou un produit comme une chanson ou une musique, que l’on peut obtenir si aisément depuis chez soi?

Le politique a essayé de canaliser, bon gré mal gré, ces dérapages et cette contrebande des oeuvres de l’esprit. en créant les taxes sur les cdrom vierges ou les disques durs. Mais c’était insuffisant, et n’empêche pas l’enregistrement massif et détourné des créations dès leur apparition, voir même souvent (pour les films surtout) avant leur sortie commerciale.

Des réseaux fortement implantés proposent une telle masse de données à libre disposition que le combat est devenu inégal, et parfaitement impossible.

L’élaboration de la loi Hadopi qui doit normalement pénaliser les fraudeurs à la source, en leur supprimant leur connexion internet, est totalement archaïque et or de propos.

Les données téléchargées illégalement dans les différents disques durs des internautes représente déjà une masse considérable de données disponibles, dont l’échange via les réseaux sociaux pourra continuer, vaille que vaille sans aucun contrôle.

La mise en ligne d’artistes contemporains, en dehors du système de diffusion des oeuvres contrôlés et mercantiles offre aux internautes une magnifique découverte de talents et de découvertes d’horizons différents, totalement à l’opposé des produits stéréotypés et brossés, vendus dans les bacs.

Les nouveaux ordinateurs, les nouvelles consoles et les nouveaux outils de lecture sont en train d’apporter de nouvelles perspectives aux usagers et clients libres d’entendre et d’écouter un catalogue aussi vaste que le monde entier et aussi vaste que les nouveaux territoires explorés en leur temps par les mouvements rocks ou punk, puis le rap etc…

La consommation effrénée en produits technologiques incite à croire que les échanges légaux ou illégaux ne feront que croitre…

Il est illusoire, sauf à bloquer complètement les tuyaux, ce qu’essaient de faire certains pays, avec plus ou moins de succès comme la Chine ou certains pays du Maghreb, de simplement croire arriver à une surveillance totale, et ciblée.

Mais il est encore plus illusoire aujourd’hui de vouloir arriver à une surveillance généralisée, à un blocage total de flux transmis ou reçus.

Sans être technicien, il suffit de voir aujourd’hui la généralisation d’internet, qui passera certainement demain par le biais de terminaux portables, pour comprendre que l’économie mondiale, les échanges économiques, le savoir, les ressources dépendent aujourd’hui de ces réseaux.

Or, les attaques de virus et chevaux de troie démontrent à l’envie qu’il est absolument possible de passer des messages au milieu d’autres données, et absolument impossible de se prémunir contre ce genre d’attaques.

A l’heure actuelle, il n’est pas question de freiner les échanges raréfiées de l’économie, il n’est pas question non plus d’aller contre le progrès bien au contraire.

C’est pourquoi je crois que Hafopi ne sera que de la poudre aux yeux, une de ces nombreuses lois inappliquée, mise au premier rang de l’actualité par des effets d’annonce, mais totalement oubliée après avoir été votée.