Est il encore temps pour des fondations d’art ?

Direct Matin ce 28 avril 2016 nous peint la future fondation d’art contemporain Pinault.

Monsieur Pinault n’en est pas à son coup d’essai, et devrait réaliser en plein coeur de Paris à l’ancienne bourse de commerce de Paris un impressionnant espace dédié à l’art contemporain sous toutes ses formes, en particulier grâce à une partie de son importante collection personnelle.

On pourrait par conséquent se répandre en élogieux termes comme la maire de paris sur cette décision, et la création d’un fantastique pôle qui devrait accueillir tous les publics.

Mais je ne suis pas persuadé que la priorité soit là.

Déjà si je ne m’abuse Paris est fortement pourvu culturellement. La dernière fondation en date du bois de Boulogne de Monsieur Louis Vuitton n’est pas si vieille.

La capitale miroite de sites prestigieux (pas forcément en valeur d’ailleurs) que les touristes et provinciaux rêvent de voir et photographier en selfie pour dire « j’y étais ».

Je ne m’attarde pas sur le coût éventuel pour la collectivité de ce projet pharaonique.

Mais je crois qu’aujourd’hui nous avons trop d’autres préoccupations essentielles pour nous attarder sur celle ci.

J’aurais apprécié que Monsieur Pinault propose de réhabiliter la bourse en logements sociaux…..par exemple…..ou se propose de trouver un toit à tous les sans abris (je ne demande pas la lune, je ne parle pas ici des mal logés….).

J’aurais aimé qu’il se propose d’améliorer le parcours des touristes sur Paris.Il faut être courageux pour être touriste aujourd’hui, à Paris. Chercher, marcher, attendre; sans explications ou si peu!

Ce ne sont pas quelques Food Trucks qui peuvent améliorer l’image de la ville….

 

Mais après tout, si Monsieur Pinault souhaite nous partager sa collection, pourquoi bouderais je ce plaisir ?

Je serais justement plus dur vis à vis de ceux qui amassent des œuvres pour n’en profiter qu’égoïstement.

 

Attendons 2018 pour pouvoir profiter d’un nouveau haut lieu de la vie culturelle parisienne.

 

Gageons que ce sera une réussite.

 

 

La Seine ne sera pas en crue grave avant 2017. Enfin espérons le !

J’adore lire certaines questions au gouvernement, particulièrement plaisantes et méritantes;

Je ne suis jamais déçu; chaque fournée parlementaire apportant son lot d’étranges échanges comiques, et de réponses alambiquées.

(je ne dis pas du tout que nos parlementaires en général ne font pas un travail conséquent, ils sont la avant tout pour veiller à l’équilibre des pouvoirs; peut être sont ils un peu trop nombreux…mais ce n’est qu’un point de vue)

L’échange apporté par la question du sénateur Alex Türk

http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ131008931.html

concernant la préservation des collections des musées du Louvre et d’Orsay, en cas de fortes crues déjà annoncées et prévues est savoureux.

 

Ou l’on y apprend que lesdites collections pourraient trouver place dans le Nord (tiens, bizarre, c’est justement de ce coin qu’émane le mandat de ce sénateur…) sur le site du Louvre-Lens.

Sauf qu’elles ne pourront y prendre place au mieux qu’en 2017….remarquez, jusqu’à aujourd’hui personne ne s’en souciait, même quand le zouave du pont de l’Alma avait les pieds dans l’eau !

 

Espérons quand même que cette catastrophe n’arrivera pas tout de suite.

Vous lirez aussi les moyens mis en oeuvre pour les autres musées. La par contre c’est le flou total, mais on maîtrise, puisque sont effectués des exercices grandeur nature. Ou, quand, comment , on ne sait, mais puisqu’on vous le dit !

 

Ne serait il pas plus simple de tout regrouper sur un site ultra sécurisé ? Car évidemment il s’agit de notre patrimoine (et c’est peut être bien tout ce qui nous restera à brader dans les années à venir d’ou l’importance de leur préservation (je tremble d’ailleurs pour l’ensemble des musées provinciaux qui n’ont pas ces moyens…).

Mais non pourquoi faire simple….

 

En tout cas on est rassuré….je n’ai pas encore vu de questions de la même veine concernant les populations des abords de la seine…..(je pense en particulier aux vendeurs d’animaux exotiques de ses bords, ou aux bouquinistes avec leurs célèbres caisses cadenassées sur les quais.

Bel exemple de dynamisme de l’ex bassin minier en tout cas. D’où l’intérêt de la question sans doute …(mercantile ? mais non….)

Eurovision ?????? sans la France sans doute….

Le groupe Twin Twin représentera la France au concours de l’Eurovision…….

La lecture des commentaires sur ce choix curieux rassure un peu à la fois sur le bon sens critique des français spectateurs d’un spectacle pourtant emblématique de la tradition culturelle française, mais pas sur le choix défini pour justement représenter la France.

 

http://www.atlantico.fr/pepitesvideo/eurovision-2014-voici-chanson-qui-representera-france-999016.html

http://www.rtl.fr/actualites/culture-loisirs/musique/article/eurovision-2014-le-groupe-twin-twin-representera-la-france-7770111522

 

On se rassurera aussi en notant le peu de commentaires en définitive concernant ce choix, qui, à une exception prêt ne rencontre pas les suffrages, c’est le moins qu’on puisse dire.

Personnellement, j’ai bien mon idée sur le futur vote du public et sur nos chances…..

Espérons que je me trompe…..

 

Ceci étant, il est curieux ce choix d’un public et d’un jury de professionnels.

Marie Myriam……c’est si lointain maintenant. Et pourtant toujours aussi envoûtant.

La France le ferait exprès pour ne pas à avoir à organiser l’événement suivant ?

La Culture, avec un grand C.

Le journal de TF1 propose ce soir un reportage sur l’un de nos fleurons : notre patrimoine, qui génère un chiffre d’affaires de 60 milliards par an ! Plus que l’agriculture !

 

Je n’ai jamais rien proposé d’autre que la mise en valeur de celui ci ; nous avons la une ressource inépuisable, et une source de nouvelles royalties pour très longtemps.

 

Pourquoi ne pas profiter pour de bon de ce que nous avons, et rayonner à nouveau sur le monde grâce à notre Culture?

Nous avons une richesse incroyable, encore très insuffisamment mise en valeur et mal connue, en particulier dans nos campagnes.

Il ne tient qu’à nous d’en profiter, et d’en faire profiter les touristes.

Mais encore pourquoi ne pas filmer nos trésors architecturaux, proposer des formations culturelles, des portails culturels???

 

Toutes les initiatives sont bonnes, et l’investissement , nous l’avons déjà fait depuis quelques centaines ou milliers d’années (je pense aux grottes rupestres et aux peintures…).

C’est 670000 emplois mais je suis certain que nous pourrions en créer énormément (et je reviens sur mon idée d’archivage électronique en masse).

Et si nous avons nous aussi un Disneyland, les eaux de Versailles ne valent elles pas aussi de nous mesurer au barnum mondial?

Si nous sommes dans la mondialisation outrancière des échanges, autant en profiter !

 

 

Google, Google Book et la numérisation du livre Pour Frédéric Miterrand, ministre de la culture

Suite à mon article Google books sur les rails de l’Europe et L’économie numérique un espoir, un atout , une promesse je suis enchanté de ce débat sur la numérisation source de création d’emplois tenu à l’assemblée Nationale avec  le ministre de la culture, qui reprend certaine de mes idées.

Le texte est assez long mais mérité d’être lu. Et donne à espérer que les moyens seront en conséquence avec les déis à relever.

A lire sur le site de l’Assemblée Nationale.

Prospérité demain; sur quelles fondations ?

La prospérité de demain est sur les rails : les moyens mis en place par le gouvernement français, accompagné par ses alliés européens permet de prévoir un nouveau monde prospère, actif et dynamique, dont nous n’aurons pas à rougir quand nous le présenterons aux générations futures.

Est ce bien sur ? C’est en tout cas le discours tenu par

François Fillon qui appelle à « bâtir les fondations de la prospérité de demain » sur son blog.

Et de vanter la qualité du travail professionnel des salariés, la grandeur du capitalisme paternaliste, et la motivation de tous et de tout un chacun.

Pour cela :

« Notre pays doit répondre aux questions que la crise rend plus pressantes que jamais.
Quel pays voulons-nous laisser à nos enfants ?
Quels secteurs feront demain la prospérité de notre économie ?
Quelle solidarité voulons-nous entre les générations ?
Quelles conséquences nos choix actuels entraînent-ils pour les générations futures ?
Quelles contraintes sommes-nous prêts à consentir pour préserver notre environnement ?
Il faut – c’est notre responsabilité – maintenant identifier les priorités stratégiques des vingt prochaines années. »

« Il faut que nous soyons aussi capables de progresser dans la formation, dans la recherche, dans l’innovation, si nous voulons tenir notre rang dans la compétition mondiale. »

Et cela passe par les pôles de compétitivité, mais des pôles méritants et prometteurs; donc une recherche sériée et non tous azimuts, grâce à une culture qui récompenserait le mérite.

Et voila comment d’une politique ambitieuse, déjà développée sur ce blog on amerrit rapidement vers une politique de développement parcimonieuse, élitiste, centrée sur quelques idées politiques et sociales attirantes pour certains, mais sans aucune planification réelle, sans aucune ouverture d’esprit, et sans aucune réalisation concrète.

Le clou est enfoncé, profondément :

« Il faut que la mise en oeuvre des priorités des années à venir se décline à travers la politique des pôles de compétitivité, ce qui nécessite naturellement que ne soient aidés que les pôles de compétitivité qui le méritent. Il faut que notre pays s’habitue à cette culture de la compétition, de l’évaluation et rompe avec cet égalitarisme qui conduit à aider tout le monde, au motif que, naturellement, tous les territoires ont besoin du soutien public, mais qui conduit à gaspiller des moyens publics qui seraient si nécessaires pour permettre d’alimenter la croissance de l’économie nationale. »

Cela augure mal, très mal, de la réussite….

Mais quel va donc être ce nouvel avenir que l’on nous promet, sinon un avenir de compétition extrême, ou chacun devra se battre pour gagner son bifteck (cela fait un moment que je n’ai pu m’en offrir, d’ailleurs!), et éliminer toute trace de sociabilité, d’échange, d’amitié, de relation, de complaisance ou de partage.

Ce n’est pas la solution; ce n’est pas ce choix qui devrait être la norme.

« En réalité, la crise consacre l’essoufflement de tout un modèle de production et elle nous met au défi d’inventer de nouveaux rapports sociaux et de nouveaux systèmes de production. Dans les deux cas, il s’agit de remettre l’homme au centre de l’activité économique. »

C’est tellement évident et logique. Et pourtant actuellement, on essaie depuis 1973 d’enlever l’homme de l’outil de production en le remplaçant par des machines.

  • On veut soutenir l’emploi des jeunes, mais il n’y a pas de travail.
  • On veut redonner du travail aux aînés, mais ou en trouver ?

Pour cela est lancé le modèle vert, déjà mis au goût du jour par le Grenelle de l’environnement. C’est la nouvelle panacée, le nouvel Eldorado, la vache sacrée du futur développement de notre pays.

C’est vrai que les autres, « nos partenaires », vont nous laisser faire sans aucun problème, nous regarder en attendant.

Et puis quoi encore ? Pourquoi nous leurrer ? Nous sommes en train de préparer les mêmes erreurs que lors de la « bulle internet », qui n’est pourtant pas si lointaine, et dont les dégâts ne sont pas terminés.

Il n’y aura pas de place pour tout le monde; à nous de prendre le taureau par les cornes, et de nous lancer dans l’aventure. Mais pour cela il faut des biscuits. La recherche et le développement dans ces domaines ou celui de la santé (autre corne d’abondance qui en fait saliver d’envie beaucoup) impose de poser sur la table des sommes colossales, des investissements énormes, dont le retour n’est absolument pas assuré.

Nous avons des défis à relever; et celui de la recherche est le principal.

« Cette crise, elle nous défie collectivement. Nous avons le devoir de l’affronter en restant unis.  Nous avons le devoir de résister à la fatalité. Nous devons avoir la volonté aussi de nous battre ensemble pour offrir à nos enfants un monde meilleur.« 

Quel monde meilleur ? Un monde ou chacun devra assurer seul son avenir, sans solidarité, sans accompagnement, sans aide, comme avant la première guerre mondiale ?

Le meilleur des mondes ? Avec obligation de se reformer, tout au long de la vie ?

Le meilleur des mondes, avec l’obligation de se déplacer ? (ce qui est une hérésire écologique, économique, sociale).

Le meilleur des mondes ou seuls les riches pourront vivre, manger et se soigner ? le capitalisme paternaliste dans toute sa splendeur ?

Le meilleur des mondes, il est déja la, dans ses foules lobotomisées par la télévision, la mal bouffe américaine, et l’ingérence de l’Etat dans les nouveaux moyens de communication.

Il y a des solutions, déja développées dans ce blog, dont certaines semblent avoir été reprises en partie d’ailleurs…

Pourtant, on reprend les erreurs du passé, on fiance sans trop savoir quoi (en trois mois seulement) un projet à moyen -long terme, qui du temps du plan aurait mis cinq années de gestation au moins.

Les erreurs du passé sont pourtant formatrices. Les moyens à mettre en eouvre, les systèmes qui marchent existent. Le modèle américain a permis le financement de l’actuel World Wide Web, gràce à une politique des pouvoirs publics américains croyant dans la recherche.

Si les pôles de compétitivité sont une bonne chose, encore faut il permettre à tous les chercheurs, tous les gens qui cherchent, créent, inventent, lancent des idées, des concepts de pouvoir :

  1. de pouvoir apporter leurs idées
  2. participer à leur mise en application
  3. assurer leur qualité de vie

Il est irréalisable et surtout inconcevable de tout miser sur un ou deux projets phares de la recherche comme la voiture électrique eou les énergies vertes.

Evidemment, ces deux projets sont importants. Evidemment, ils peuvent rapporter de l’argent, et nourrir notre économie.

Encore qu’à ce sujet il serait opportun de mieux comprendre les tenants et aboutissants de certains carburants verts, dont on ne sait trop leur utilité (sinon gaspiller de l’eau et des terres agricoles), ou leur réelle capacité à économiser le pétrole.

« Le Centre d’analyse stratégique imagine la société numérique de 2025« 

« En 2025, les Français, lassés de l’insécurité régnant sur Internet, bouderont le réseau. A moins que, mus par une culture éco-citoyenne s’appuyant sur les TIC, ils embrassent largement la sphère du numérique et en font une part essentielle de la croissance. »

C’est ce qui ressort d’un rapport consultable ici qui propose 6 leviers d’actions sur lesquels le gouvernement devrait s’appuyer, sans forcément les reprendre tous à son compte.

« L’avenir n’étant que le fruit de politiques publiques et d’efforts de gouvernance, c’est sur ces deux voies que doivent s’orienter les pouvoirs publics pour tendre vers le scenario le plus optimiste élaboré par le Centre d’analyse stratégique. »

C’est cela qui doit être fait. Tout en donnant les coudées franches à une politique de recherche ambitieuse, non centrée sur quelques points décidés en haut lieu, mais sur une recherche fondamentale remise au gout du jour.

Tristement célèbre, comment fut créée la bombe atomique? Ou la navette spatiale?

Intervenants de tous bords, multiples sociétés, et hommes décidés et ambitieux.

Notre pays a développé une politique aéronautique que le monde entier nousenvie. l’échec commercial du concorde n’en est pas moins pour l’époque une prouesse technologique extraordianire.

Cela a été rendu possible, en son temps, dans un monde ou personne, sauf quelques visionnaires, ne pouvait imaginer voir un plus lourd que l’air voler.

Cela a été rendu possible par des hommes courageux, fiers, aventuriers, ambitieux, visionnaires, rêveurs et croyant à leur idées; Certains se sont écrasés au sol, ruinés, défaits ou morts. D’autres ont vu leur mérites récompensées.

Si l’on avait suivi Pierre et Marie Curie, aujourd’hui leur bourse de recherche ne serait pas renouvelée. Que n’aurions nous pas perdu !!!

Donnons nous les moyens, attirons les rêveurs, les imaginatifs, les chercheurs de tous poils.

De cela sortira un pays grandiose, un nouveau siècle des lumières, un pays dont nos enfants pourront être fiers…

Je suggère de plus plusieurs axes de recherche urgents :

  1. les déchets radioactifs : assurer leur traitement et leur éliminiation définitive
  2. la pollution
  3. l’eau
  4. le remplacement du pétrole
  5. la recherche médicale


Analyser, compiler

S’il est une science dans laquelle nous ne sommes pas en avance dans notre pays, c’est bien celle la.

 

Aux temps de la guerre froide, existaient auprès des grands de ce monde des analystes, censés prévenir et prévoir l’avenir immédiat, en fonction des connaissances accumulées, et de leurs informations, à 12 heures près.

Cela ne serait plus possible aujourd’hui, du fait de l’avalanche d’informations complexes, liées et reliées entre elles qui interfèrent sur nos actes et nos vies.

Il était à peu près facile pour une personne sérieuse de passer son certificat d’étude et d’obtenir ainsi une culture générale qui fait rougir d’ignorance la plupart de nos contemporains; de nos jeunes en particulier.

Cela ne veut d’ailleurs pas dire que nos jeunes ne savent rien; Ils connaissent d’autres sujets, simplement, mais n’ont pas réellement une approche générale et complémentaire de l’ensemble de notre société.

Quand on voit aujourd’hui la reprise hors de son contexte d’un écrit concernant la sexualité enfantine de l’un de nos députés, sorti du contexte de l’époque, ou d’une phrase d’un discours du président américain, il y a de quoi être inquiet.

Surtout qu’aujourd’hui, un travail de journaliste digne de ce nom est grandement facilité par les nouveaux moyens de communications (les mêmes qui aujourd’hui se font l’écho de ces écrits non vérifiés et certainement non lus….). Il n’y a pas eu de vrai analyse de ces deux sujets, sinon des réactions à chaud, agressives ou ironiques, exacerbées sans la rigueur de l’analyse, de l’objectivité.

Les nouveaux moteurs de recherche émergents ont en train de prendre la place de nos réflexions, de nos cerveaux, sans que nous ayons à nous en soucier.

Pourtant dans le même temps, on nous demande d’assimiler de plus en plus, d’ingurgiter des pages entières de données, ans avoir le temps de même les assimiler, les comprendre.

Il n’est qu’à voir aujourd’hui la profusion de mels reçus dans nos boites, de documents ou sites internet à lire, voir, écouter dans le cadre de nos emplis, de nos activités.

Bien souvent, l’information est rédigée, parfaitement écrite ou transcrite, mais peu lue ou non lue, faute de temps et de moyens.

Une grosse partie de l’information disponible est écrite pour rien, ou peu de personnes.

En fait, je déclare en pesant mes mots, que de ce fait, de nombreux brevets ou inventions sont perdus qui pourraient nous faire gagner de nombreux marchés, de nouveaux marchés à conquérir ne le sont pas, et de nouvelles connaissances dont nous pourrions tirer profit soit perdues car enfouies à jamais sous le limon de l’accumulation de données.

Il est temps de créer une école d’analystes, compilateurs de notre temps.