Maintenant on va pouvoir travailler.

Et si maintenant, notre président de la république se comportait en président?

Il n’a plus rien à perdre.

Passons sur le peu glorieux brûlot de la femme trompée, qui aurait pu être évité, mais qu’il devra supporter longtemps.

Valérie Trierweiler aurait pu s’en dispenser de ce livre. Elle n’en sort pas grandie. Et c’est dommage, car , en définitive, je l’aime bien, cette femme. Comme j’ai aussi aimé Anne Sinclair et Cécilia Attias .

Leur détermination, leur vivacité, et ce front commun qu’ont ces femmes touchées par la vie.

J’espère pour Valérie Trierweiler qu’elle réussira à se reconstruire. Et à pardonner.

Mais si maintenant on passait à autre chose? Et très vite.

 

Je ne parlerais pas politique, notre président est assez malin pour s’en occuper.

Mais de La France , et des français.

Vous avez deux années, monsieur le président, pour faire ce que vous avez promis.

En deux années on peut accomplir des miracles, seul et contre tous. Et vous vous avez tout l’appareil d’Etat derrière vous.

Et les mains libres pour avancer.

Saisissez cette chance que vous avez. Vous pouvez accomplir un miracle.

 

A condition de le vouloir, et d’avancer.

Vous n’avez pas le droit de vous retirer dans votre tour d’ivoire. Vous avez le devoir d’agir. Et de prévoir. De planifier un avenir pour la France.

Allez vous rester le président honni, et défait, ou bien être le visionnaire que l’histoire gardera et encenseras?

 

Ensemble, nous pouvons faire que l’avenir devienne beau. Pour tous.

Et couper l’herbe sous le pied à tous ceux qui vous croient, ou vous espèrent fini.

Donnez moi raison.

 

Ps: il y a plus important que le genre. Il y a la lecture, et l’écriture. Le numérique aussi, mais ensuite. Pour rédiger du code, il faut savoir placer lettres et signes.

 

Et maintenant ?

Ou en sommes nous ?

 

Après deux années très contestées d’une politique socialiste très libérale, les urnes ont sonné le destin socialiste.

Je suis toujours très étonné de la versatilité des électeurs, bien que je ne puisse leur donner tort.

Mais ceux qui nous gouvernent, les politiciens qui s’occupent en premier lieu de leur portefeuilles (et je ne suis pas certain de ne parler que de portefeuilles ministériels) et de leurs situations ont ils vraiment à cœur d’améliorer la situation et œuvrer pour le bien commun?

Surtout en ont ils la possibilité ?

S’ils sont sanctionnés aujourd’hui (les socialistes) comme en leur temps précédemment l’Ump,est ce vraiment de leur faute ou plutôt de leur difficulté à changer la situation car sans aucun moyens véritables ?

A qui appartient le pouvoir de changer les choses aujourd’hui?

Certainement pas aux hommes et aux femmes, ronds de cuir du jeu politique parisien, (mais aussi de façon élargie toux ceux qui croient diriger au niveau régional, départemental ou municipal).

Le pouvoir de changer les choses n’appartient qu’à une seule personne : vous, moi;

 

Sommes nous de taille ?

On peut en douter quand on voit ce qui nous attend et notre manque de moyens :

http://www.acteurspublics.com/2014/03/31/la-dette-publique-a-atteint-93-5-du-pib-en-2013

L’endettement de la France est si fantastique que de toutes façons il ne signifie plus rien.

Nous pourrions très bien décider la =banqueroute et passer à autre chose.

Nous avons aujourd’hui un chemin tracé : chacun d’entre nous, dans la mesure de ses moyens doit tout faire pour que non seulement nous redevenions le grand pays que nous étions, participer au combat pour la démocratie si chèrement gagné, ce que nous devons absolument conserver et protéger.

En tout cas c’est que je crois, c’est ce que j’espère.

Nous avons de vrais chercheurs, de vrais scientifiques, un tissu industriel pas encore trop abîmé, des infrastructures encore solides, une main d’oeuvre qui ne demande qu’à travailler, des idées et des hommes qui en veulent.

Nous pouvons, nous devons les accompagner.

Il est inconcevable de voir autant de personnes sans travail, sans but, sans envie alors que nous manquons de tout.

Nous manquons de lien social, de solidarité , d’un projet, d’un but, d’une envie.

Ce n’est pas le discours lénifiant du président de la république de ce soir qui me donne envie de lui laisser les coudées franches sans rien faire.

Il nous faut nous unir, tous ensembles, (au delà des frontières sans doute d’ailleurs) afin d’arrêter cette spirale infernale qui nous enfonce dans un marasme si abyssal qu’à côté la crise de 1929 à l’air d’un tour du jeu de monopoly.

Sommes nous capables de le faire ?

Je le crois et je l’espère.

On s’y met ?

En tout cas cela ne pourra se faire que si la volonté de tous est présente; au delà des rivalités politiques, de castes, de bastions, ou de tout ce qui peut empêcher de nous rassembler.

La question n’est plus de savoir si nous pouvons le faire, mais comment nous pouvons le faire ! Et ce que nous voulons construire.

 

 

 

 

 

Et si la vision d’Asimov devenait réalité grâce à Google ?

Je rêve de cette civilisation des robots depuis que je suis tout petit.

Car si « Les cavernes d’acier » décrivent un monde que nous connaissons déjà plus ou moins, Avec sa pauvreté et sa mécanisation à outrance, ou les privilèges permettent de rationner avantages et nourriture sur un monde surexploité, je veux croire quant à moi, au bonheur possible grâce aux robots et la robotisation.

Google l’a bien compris….et espère en tirer des bénéfice »s colossaux.

http://www.01net.com/editorial/610838/google-domine-la-competition-de-robots-de-la-darpa/#?xtor=EPR-1-[NL-01net-Actus]-20131223

 

Ce à quoi je ne dis pas non, puisqu’ils vont devoir supporter des sommes cosmiques en recherche et développement avant d’espérer rentabiliser un jour leurs investissements.

Mais à terme j’espère et je crois que l’automatisation, la robotisation, feront plus pour le genre humain que tout autre chose produite par l’homme depuis que l’intelligence est apparue.

Je rêve d’un monde qui me permettrait de libérer mes capacités créatrices, sans être astreint à assumer mes besoins primaires, tâches laissées aux robots.

Quant à ceux qui crient haro sur les machines, pourvoyeuses de chômage, je réponds certes, pour le moment. Mais en ce cas il fallait s’y opposer dès la première machine, (la roue sans doute?), ce que suggère Barjavel dans son roman « Ravages » et surtout dès la taylorisation, et dès l’informatisation ou les télécommunications.

Et je suis persuadé que le problème est à prendre autrement : il nous faut réfléchir non pas à fabriquer plus de profits en détruisant l’humain, mais assurer son épanouissement complet en le libérant de toute entrave mercantile.

Si chacun peut avoir une imprimante 3 D (ce qui pourrait être le cas dans un avenir très proche, que restera t-il à faire ?

A nous de voir, et de savoir : Ibm propose sa projection à cinq ans : http://www.futura-sciences.com/magazines/high-tech/infos/actu/d/technologie-futurologie-ibm-prevoit-big-data-ordinateurs-bienveillants-51088/#xtor=EPR-23-%5BHEBDO%5D-20131226-%5BACTU-Futurologie-:-IBM-prevoit-le-big-data-et-des-ordinateurs-bienveillants%5D

Le siècle des lumières fut…

Contemplant de ma fenêtre placée devant mon maintenant vieillot notebook la nuit zébrée d’éclairs grandioses de cette soirée bien arrosée (non pas par la dive coupe de champagne que les vendanges tardives sparnaciennes auraient pu m’inciter à déguster), mais simplement par la pluie tombant à grosses gouttes,  le noir de cette soirée m’incite à réfléchir en parallèle à notre destinée, et évoquer le siècle des lumières qui ouvrit en partie l’horizon de l’humanité.

Qu’en reste t-il aujourd’hui de ces fabuleux moments qui ouvrit la porte d’un avenir glorieux aux hommes curieux et ouverts d’esprit ?

Un héritage fastueux, mais un héritage bien mal en point et figé dans sa strate de temps.

Tout ce qui a pu faire de ce siècle un passionnant défi d’idées à relever, de découvertes, d’aventures, d’avancées scientifiques, humaines est mort aujourd’hui.

Il y eut bien sur les guerres qui suivirent (1870, 1914, 1939), l’holocauste, la fin de la guerre avec Hiroshima.

Il y eut ensuite d’autres guérillas, d’autres massacres, d’autres tyrannies, les juntes au pouvoir, la main mise de l’Amérique sur le monde et ses ressources.

Mais surtout il y eut après un vacillant effort d’éducation sans précédent de l’ensemble des futures masses populaires, un renouveau du diktat des élites, une flambée de l’obscurantisme et de la régression des idées, avec en point d’orgue le débat sur l’évolution aux Etats Unis, confortant de ce fait intégrisme et repli sur soi.

Aujourd’hui, ce soir, je me dis que nous sommes devenus petits, apeurés, enfants vieillissants comptables des destinées humaines, aux mentalités noircies par la haine facile et l’aveuglement facilité par le manque de discernement, la pauvreté du champ des idées, ou la parole ne doit pas s’éloigner de la ligne, et ou aller vers l’autre est synonyme  de trahison, ou simplement avoir une idée serait le commencement de la déviance.

Nous sommes petits, très petits, quand nous avons peur d’agir, peur d’aider son prochain, peur simplement d’essayer de comprendre, coocoonés dans nos cellules aseptisées que sont devenus nos logis, le cerveau lobotomisé à la musique formatée et hygiénique, et la relation platonique imagée élevée au summum de l’amitié virile.

Nous n’avons pas le droit de nous laisser faire ainsi. Nous avons un devoir , une obligation primordiale. Vivre. Mais vivre en agissant.

Nous sommes actuellement, chacun d’entre nous, dans un cocon lénifiant, apaisant, drogués à la lucarne de l’information pléthorique, trop rapide et trop monstrueuse pour laisser une simple trace de son passage dans nos cervelles abruties par le programme actuel  de sape de notre société, de nos valeurs, de notre humanité.

Par pitié, détrompez moi.

 

(je sais bien qu’il existe quelques poches de résistance, et quelques idées encore éparses, mais combien encore d’originales et non recrachées de Wikipédia ou du Jt?)

 

 

 

Décroissance et sombre avenir

« Ce thème était abordé dans au moins un table ronde et deux plénières de l’Université d’Eté du MEDEF 2009 : “La décroissance prospère”, “Notre planète du pôle sud au pôle nord” et “Quand nos enfants auront 100 ans”. Voici en vrac quelques points forts de ces débats. En tout cas, qui m’interpellent… »

A lire sur le blog d’Olivier Ezratty.

Un sombre avenir pourrait nous attendre. A moins que d’ici la, la pandémie grippale n’y mette bon ordre ?

Quel est le voeu de nos dirigeants capitalistes ?