Dans mes ras le bol, le second évoquera cette heure changeante deux fois par an, sans véritable logique, si ce n’est une éventuelle économie de pétrole ou d’énergie.
L’historique de la mesure est reprise dans la réponse à cette question du sénateur Jean François Humbert :
http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ121103108&idtable=SEQ121103108&date=dateJORep&idtable=q200202%7Cq200244%7Cq200242%7Cq200277%7Cq200329%7Cq200377%7Cq200483%7Cq200608%7Cq200627%7Cq200678&id=qSEQ080403861&rch=qb&ct=1_2_3_4_5_6_7_8_9_10_11_12_13_14_15_16_17_18_19_20_21_22_23_24_25_26_27_28_29_30_31_32&al=true
Quant aux économies, argument avancé à l’époque, Science et Vie et d’autres articles avaient démontrés qu’il s’agissait d’une simple fumisterie, car non seulement aucun argument scientifique ne permettait de le prouver, mais surtout aucune étude par la suite n’a permis d’en vérifier le bien fondé.
En attendant chaque année et deux fois par an, une partie de la population se trouve incommodée et souvent malade par ce changement d’heure qui mettra plusieurs semaines ou mois à s’estomper pour l’organisme.
Le plus comique dans l’histoire, et c’est la ou je m’énerverais, c’est qu’un simple décret a suffi à sa mise en place sans aucune concertation avec quiconque.
Or maintenant si l’on décidait de la supprimer, il faudrait l’acceptation de l’ensemble des pays de l’Europe à l’unanimité !