Les idées, c’est bien. Mais si la France à des idées disait on après le premier choc pétrolier,
Des idées, j’ai commencé à les formuler sur ce blog.
J’estime avoir un devoir d’alerte, comme tout citoyen responsable, quant à la santé de l’économie, à la préservation de l’Etat (de droit), ou à la pertinence des politiques sociales.
C’est à la fois mon devoir et un droit, celui conféré par le fait d’avoir voté.
Que j’ai voté pour l’un ou l’autre candidat importe peu, que je sois en accord avec lui n’est pas obligatoire.
J’ai le droit de donner mon avis sur tous les aspects de la société. Car n’oublions pas que ce sont les urnes qui sanctionnent ou sanctifient.
Or je m’aperçois que mes précédents billets ont été entendus, ou, au minimum, ont été plébiscités, ou, au maximum, sont le reflet d’un courant de pensée qui serait dans l’air.
J’en veux pour preuve cette consultation sur l’internet du futur.
Si cette action est la reprise de mes réflexions et à au moins le mérité de prouver une fois de temps que les idées ne sont pas une science infuse et qu’il vaut peut être mieux demander aux acteurs économiques leur avis, son adéquation par sa forme aux besoins actuels économiques est loin d’être satisfaisante.
Nous n’avons pas le temps d’attendre plusieurs mois pour mettre en œuvre de nouveaux schémas ou concepts. c’est aujourd’hui qu’il nous faut agir, et réagir.
Enfin espérons en outre qu’il ne s’agira pas d’un moyen de mettre les vrais problèmes aux oubliettes d’un Grenelle qui n’aurait pas de nom, mais seulement l’allure.
Dernier point : il est un peu illusoire de vouloir faire participer à ce genre de projet, sans contrepartie, les acteurs concernés en ayant le culot de leur demander leurs moyens humains et financiers
Enfin, ce n’est pas 60 personnes qui seront suffisantes, mais les ressources totales, augmentées de manière exponentielle, du Cnrs et des universités. Tous les moyens doivent être mis en œuvre, à n’importe quel prix. Un investissement pour rapporter, coute…
Au moment même ou j’écrivais ce billet je recevais cet article du monde publié ce jour à 15h 01 : je maintiens qu’il nous faut être des conquérants, et non plus des suiveurs.
Nous en avons encore les moyens…Mais plus pour longtemps….